#976
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Titans: Beast World #3
Bof, bof. Si la saga principale m'a plu jusque-là, pour son côté blockbuster épatant, c'est beaucoup moins prenant ici dès que Ivan Reis n'est pas là. Ici, Tom Taylor livre surtout de la bagarre, Détective Chimp qui vient évoquer un plan derrière les actes des animaux, et Amanda Waller qui libère Lex Luthor. C'est moyen, oui. Tom Taylor ne me passionne pas, fait trop stagner sa saga et Lucas Meyer s'en sort honorablement mais est loin de la puissance de Ivan Reis. C'est fort dommage qu'il soit absent dès le troisième numéro. Trop moyen, hélas. |
#977
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Titans #6
Pas mal. En marge de Beast World, bien jusqu'à un #3 faiblard, Tom Taylor livre un spin-off efficace qui en dit plus sur Brother Eternity et fait avancer doucement l'ensemble. Un focus sur l'enfance de Starfire permet de préparer la révélation où, après une attaque de Tempest possédé de la Titans Tower avec Brother Eternity, Nightwing est possédé (transformé en renard ?) et il est révélé que Pas mal, oui. Tom Taylor gère bien les rappels sur Kory, et amène tranquillement les événements. C'est solide. Graphiquement, Travis Moore propose de jolies planches colorées. Maîtrisé et efficace. |
#978
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Alan Scott: The Green Lantern #3
Efficace. Tim Sheridan avance sa saga intelligemment, avec Alan qui découvre que plusieurs homosexuels évidemment cachés sont tués et la police semble ne pas enquêter. Il collabore avec Jay, mais surtout le Spectre qui est chargé de ces meurtres. Alan et Corrigan discutent, le second apaise le premier dans ses doutes et l'aide à comprendre. L'ami taxi conduit un étranger mystérieux chee Alan, qui découvre chez lui le mystérieux Red Lantern original qui est C'est bien, oui. Bon, sans être relou, le fait que Alan soit pleinement gay alors qu'il doit avoir des enfants après et faire son coming out récemment, ça crispe un peu mais soit. L'ensemble est efficace, surtout avec une belle discussion avec le Spectre. Je ne suis pas fan du lien entre Alan et le Red Lantern, mais ça fonctionne. Graphiquement, Cian Tormey livre des planches solides et aussi efficaces. C'est réussi. |
#979
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Amazons Attack #3
Efficace, aussi. Josie Campbell avance sérieusement son intrigue, sans trop en faire maiz avec application. Alors que les Esquecida semblent s'être auto détruites, les héroïnes se séparent après cette révélation : Mary va enquêter sur la fille Sivana qui allie techno et magie (et confirme intervenir ici depuis sa prison mais se joue de Mary et la piège) ; Yara est seule et poursuivie ; Faruka et Nubia découvrent que la Grèce accueille des réfugiées liées aux Amazones mais que leur piste Eris comme responsable est fausse. Car C'est bien, oui. Josie Campbell gère bien ses personnages, utilise la continuité récente (sur Mary) et livre de bonnes réflexions sur Eris et ce qu'elle incarne des femmes. C'est sérieux et prenant. Graphiquement, Vasco Georgiev n'est pas éblouissant mais fait le job. Bien fait, tout simplement. |
#980
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Justice Society of America #8
Un bon épisode. Geoff Johns aborde pleinement le sujet du Red Lantern original, via sa fille Ruby. Celle-ci s'est échappée des terribles Red Labs, et mène une quête brutale et mortelle pour retrouver son père. En Amérique, Helena Wayne veut la recruter pour être sûre qu'elle et les autres membres de sa JSA vont bien, mais Alan Scott met son veto. Helena et Stargirl s'orientent vers le fils Harlequin, alors que Alan interpelle Ruby... et en vient à l'amener à la JSA, troublé qu'il est par ce rappel de Vladimir et parce qu'il ne sait pas quoi faire d'elle. Et ils sont surveillés dans l'ombre par C'est bien, oui. Geoff Johns continue son exploration des personnages ramenés de leur exil temporel, avec ici le mystérieux Red Lantern (vu aussi dans la mini-série sur Alan) et sa fille Ruby. Et si la fixation de Helena sur l'intégration de son équipe à la JSA du présent est lourde, le focus sur Ruby est bon. Pas éblouissant mais bon et prenant. Notamment avec ce final surprenant, même si les délires temporels me lassent un peu. Mikel Janin revient, assure aux dessins même si le visage de sa Ruby ne m'emballe pas. Un bon moment, maîtrisé. |
#981
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Power Girl #4
Basique mais efficace. Leah Williams livre une grosse bagarre entre une PG possédée par le Symbioship, définitivement derrière l'intrigue et le virus kryptonien, et Superman. Ça tape dur, mais Omen et le chat viennent aider et PG repousse la créature. Superman s'excuse de ne pas l'avoir crue, tout va bien même si PG est blessée à l'œil, mais... Leah Williams ne surprend guère ici mais s'en sort bien. Son scénario est convenu mais fonctionne, avec surtout une belle aide par Omen. Le final est classique mais ça prend bien. Graphiquement, Eduardo Pansica assure dans des planches dynamiques. Zéro surprise mais zéro défaut. |
#982
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Action Comics Annual 2023 #1
Petit final d'un bon run. Phillip Kennedy Johnson achève son bon passage sur le titre et la franchise par une conclusion assez basique. C'est une grosse bagarre avec Sister Shadow, la survivante de la dynastie Al Ghul vaincue par Superman & Batman et The Authority qui veut posséder Otho-Ra pour conquérir la Terre Zéro avec ses troupes. Superman s'allie à Etrigan er Bloodwynd, Otho-Ra se libère, Osul-Ra assure pour protéger le monde, l'ennemie est vaincue et tout se termine sur l'ouvrier ancien criminel vu il y a peu et qui célèbre la vie dans la ville de Superman. C'est bien, hein. La bagarre est efficace, l'ensemble est convenu mais fonctionne, et les dernières pages sont bien dialoguées. Mais... bon, ça manque d'ampleur, de grandeur et de la profondeur que le scénariste a mis dans son run. Dommage. Graphiquement, tout est dessiné par Max Raynor, qui livre des planches correctes ; pas épatantes mais correctes. Définitivement une conclusion pâle face au run qui m'a bien plu. |
#984
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Timeless est une sorte de Marvel Point One ratez matiné de what if dessiné par un Cabal qui n à plus la même énergie qu à l époque de GoG : oubliez les décors ou les compositions intrigantes.
Ce titre pose une fois de plus la question de l exigence des mecs aux commandes. Pour paraphraser Shooter : " et si vous essayiez tous, pour une fois, de produire autre chose que de la merde?" |
#985
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Qu il aurait pu s appliquer..son deuxième run sur avengers est la pire période.. y a d autres trucs qui valent pas grand cjose
Il lance team america ou user quand il disait ça il parlait des howard de gerber et colan ou des master of kung fu de mornch |
#986
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Avengers Inc. #4
Efficace et prenant. Al Ewing, proche de la fin de sa série, amène des révélations et explications bienvenues dans un récit maîtrisé. Un nouveau super-vilain se fait tuer en apparence et récupéré par le médecin légiste, alias le vieux Hank Pym. Janet et Vic Shade enquêtent dessus, comprennent que les décédés sont frappés par des fourmis et trouvent Hank. Ce dernier explique s'être libéré de Ultron à la fin de la mini-série Ant-Man mais son corps a vieilli. Il enlève des super-vilains pour former une Lethal Legion afin de détruire Ultron qui, il le sent, revient. Mais Vic Shade C'est bien, oui. Al Ewing déroule intelligemment sa saga, avec toujours une bonne voix off de Janet et des explications pertinentes sur Hank. Le cliffhanger surprend, l'ensemble est prenant et réussi. Graphiquement, Leonard Kirk est moins éclatant que d'autres fois mais il assure. Pertinent et prenant. |
#987
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Captain Marvel #3
Pas si mal, mais pas formidable. Alyssa Wong enchaîne avec Yuna perdue dans le Sanctum Sanctorum avec Carol trop vidée dans la Zone Négative pour arriver. Carol se recharge là-bas, Yuna croise Clea et Stephen, puis une piste est évoquée pour mieux comprendre. Sauf que l'amie de Yuna est révélée Ça se lit. Alyssa Wong livre un scénario classique mais fluide, avec des éléments convenus mais bien posés. Ce n'est juste pas passionnant, et ça avance très lentement. Graphiquement, Jan Bazaldua et Ruairi Coleman se partagent le dessin. Sans briller. Pas sûr d'y revenir. |
#988
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The Sensational She-Hulk #3
Prenant et mignon. Rainbow Rowell continue doucement son intrigue, toujours concentrée sur les émotions que sur le fond de l'intrigue. Là, grosse bagarre avec April, la scientifique qui a voulu le sang de Jen pour sauver son mari Muté Gamma et qui l'est désormais elle-même. Hulk s'en prend plein la tronche, April rejette la solution de son mari, Hulk et Jen partent pour parler à coeur ouvert. Hulk repart, mais tout le monde voit les dégâts : les Avengers veulent parler à Jen, et sa cheffe est mécontente... C'est bien, oui. Rainbow Rowell maîtrise les dialogues et les émotions, même si l'intrigue avance lentement. L'échange avec Hulk est bon, et je suis curieux de la suite. Andres Genolet assure sur un dessin classique et agréable. Ça touche bien au cœur. |
#989
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Timeless 2023 #1
Mais quel machin. J'aime bien Collin Kelly & Jackson Lanzing, mais ce one-shot est un machin qui annonce maladroitement des événements à venir (dont l'apparente arrivée des sidekicks Marvel oubliés, apparus en variant cover comme Spider-Boy ; y en a qui ont lu Stargirl and the Lost Children ici, super). Surtout, on est dans le futur dominé par Khonshu et un empire techno-magique dirigé par Moon Knight. Luke Cage veut les empêcher d'anéantir l'humanité, et ce Luke âgé a le pouvoir de Sentry, le sang de Hulk et le poing d'acier. Grosse bagarre donc, avec un MK qui est Quel bordel, hein. Ça sonne comme une mauvaise fanfic, bien chaotique et sans grand intérêt. Ça se lit, mais le buzz Luke Cage edt passé, et c'est vraiment bourrin. Graphiquement, Juann Cabal livre une prestation moyenne, voire même faible. Un machin bien mal fichu. |
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