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#1
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Critiques indés de décembre
Bon, les fervents défenseurs des petits éditeurs étant occupés à faire leur sapin et leur crèche, je m'y colle, un peu lapidairement, pardon.
[B]Walking Dead [/B]#33 (Image) : Un smiley valant mieux qu'un long discours, on qualifiera cet épisode de :burp: Kirkman nous conte dans le détail et avec bruitage la revanche de Michonne. C'est assez gratuit, même dans le contexte d'une série où le cannibalisme et le démembrement sont monnaie courante, c'est ultra-violent, bref : :burp: Pour se changer les idées, rien de tel que [B]True Story, swear to God [/B]#2, dans lequel la fiancée de notre narrateur, très attirée par le bouddhisme, décide de se raser la tête, au grand dam de sa famille. Toujours aussi drôle, tendre, et prouvant à lui tout seul que les romance comics ont un avenir. [B]Hero Squared [/B]#4 (Boom!) : Giffen & DeMatteis continuent de se donner en spectacle. On est loin des meilleurs moments de leur [B]Justice League[/B], mais la série à ses moments, quelques bouts de dialogue vraiment drôles, et Abrahams continue de faire des progrès. Pas mal de choses bonnes chez Wildstorm aussi. [B]Desolation Jones [/B]#8 pour commencer, presque entièrement dédié à Philip K. Dick, sa vie, son oeuvre. Ca se présente très très bien. Dans un genre beaucoup plus super-héroïque, [B]Tranquility [/B]de Simone & Googe démarre pas mal du tout. Une ville faisant office de lieu de retraire pour super-héros fatigués. Une galerie de personnages hauts en couleurs, immédiatement attachants, de l'ex-redresseuse de torts souffrant d'Alzheimer à l'aimable officier de police chargée de faire cohabiter tout ce petit monde. En un seul épisode l'univers est posé et ses principaux protagonistes cernés. Beau démarrage. [B]Midnighter [/B]#2 continue d'intriguer et de ne pas ressembler à du Garth Ennis, malgré le contexte (ici les tranchées de la Première Guerre Mondiale). Je ne me souviens pas avoir vu Ennis faire du mainstream aussi classique, aux antipodes de ses Boys pour comparer avec un truc récent. Ceci dit ça fonctionne très bien au niveau scénario, et Chris Sprouse est comme toujours impeccable. Côté Vertigo, mon revendeur ayant oublié de glisser [B]Otherside [/B]#3 dans mon sachet :non: mes lectures se sont limitées à [B]The Exterminators [/B]#12, conclusion d'un two-parter assez sordide et très réussi dans le genre. En attendant le prochain, je vais me relire la première année, histoire de. |
#2
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[IMG]http://img.photobucket.com/albums/v674/Niglo/Niglo2/esc06.jpg[/IMG]
[B]The Escapists [/B]#6 (2.99$, 28 pages, sorti le 13 décembre 2006) [B]Scénario [/B]: Brian K. Vaughan. [B]Dessin [/B]: Steve Rolston, Jason Shawn Alexander, Eduardo Barreto. [B]Couleurs [/B]: Matt Hollingworth, Dan Jackson, Dave Stewart. [B]Couverture [/B]: Steve Rolston. Conclusion de toute beauté pour la mini-série de Brian K. Vaughan. La fin de l’épisode précédent laissait présager un fin tragique, mais le scénariste a opté pour quelque chose de beaucoup plus subtil et nuancé. Alors oui, certes, le rêve de Maxwell Roth se brise, le trio n’est plus, le Grand Capital arrive à ses fins, effectivement, oui. Mais… [B]The Escapists [/B]est d’une grande cohérence tout du long. Sur un même matériau de base, Brian K. Vaughan a opté ici pour une approche radicalement différente de celle choisie pour les anthologies [B]Amazing Adventures of the Escapist[/B]. Le choix de Jason Shawn Alexander, dont le style se rapproche davantage de celui de Jae Lee que de Jack Kirby, mettait bien en évidence cette différence. Ce dernier épisode met encore davantage les points sur les i. Il s’agit moins ici pour le scénariste de célébrer une époque mythique et disparue que de puiser dans ces racines l’inspiration pour offrir aux lecteurs une œuvre résolument moderne et originale. Ce qu’il fait dans cette mini-série avec un talent incontestable. [CENTER][IMG]http://img.photobucket.com/albums/v674/Niglo/Niglo2/esc06-2.jpg[/IMG][/CENTER] Au-delà du discours sur le medium, il y a évidemment les relations entre nos trois héros, qui constituent également l’un des grands intérêts de ce récit. Là aussi, Brian K. Vaughan conclut leur histoire de fort belle manière. Chacun s’adaptant à une situation nouvelle, allant de l’avant malgré les contraintes du monde réel. Mais chacun gardant en lui l’étincelle du désir et de la passion qui l’ont conduit dans cette aventure. Il suffirait d’une rencontre, aussi improbable soit-elle, pour que… Encore une fois, Steve Rolston et Jason Shawn Alexander sont impeccables dans leur rôle respectif. Ils accueillent également pour cet ultime épisode le vétéran Eduardo Barreto, qui signe un pastiche de Gil Kane assez bluffant. [B]The Escapists [/B]est sans conteste une réussite, l’une des toutes meilleures mini-séries parues en 2006, et à mon avis la meilleure utilisation faite jusqu’à présent de l’œuvre de Michael Chabon. A lire absolument. [CENTER][IMG]http://img.photobucket.com/albums/v674/Niglo/Niglo2/esc06-1.jpg[/IMG][/CENTER] |
#3
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[QUOTE=Niglo][IMG]http://img.photobucket.com/albums/v674/Niglo/Niglo2/esc06.jpg[/IMG]
[B]The Escapists [/B]#6 (2.99$, 28 pages, sorti le 13 décembre 2006) [B]Scénario [/B]: Brian K. Vaughan. [B]Dessin [/B]: Steve Rolston, Jason Shawn Alexander, Eduardo Barreto. [B]Couleurs [/B]: Matt Hollingworth, Dan Jackson, Dave Stewart. [B]Couverture [/B]: Steve Rolston. Conclusion de toute beauté pour la mini-série de Brian K. Vaughan. La fin de l’épisode précédent laissait présager un fin tragique, mais le scénariste a opté pour quelque chose de beaucoup plus subtil et nuancé. Alors oui, certes, le rêve de Maxwell Roth se brise, le trio n’est plus, le Grand Capital arrive à ses fins, effectivement, oui. Mais… [B]The Escapists [/B]est d’une grande cohérence tout du long. Sur un même matériau de base, Brian K. Vaughan a opté ici pour une approche radicalement différente de celle choisie pour les anthologies [B]Amazing Adventures of the Escapist[/B]. Le choix de Jason Shawn Alexander, dont le style se rapproche davantage de celui de Jae Lee que de Jack Kirby, mettait bien en évidence cette différence. Ce dernier épisode met encore davantage les points sur les i. Il s’agit moins ici pour le scénariste de célébrer une époque mythique et disparue que de puiser dans ces racines l’inspiration pour offrir aux lecteurs une œuvre résolument moderne et originale. Ce qu’il fait dans cette mini-série avec un talent incontestable. [CENTER][IMG]http://img.photobucket.com/albums/v674/Niglo/Niglo2/esc06-2.jpg[/IMG][/CENTER] Au-delà du discours sur le medium, il y a évidemment les relations entre nos trois héros, qui constituent également l’un des grands intérêts de ce récit. Là aussi, Brian K. Vaughan conclut leur histoire de fort belle manière. Chacun s’adaptant à une situation nouvelle, allant de l’avant malgré les contraintes du monde réel. Mais chacun gardant en lui l’étincelle du désir et de la passion qui l’ont conduit dans cette aventure. Il suffirait d’une rencontre, aussi improbable soit-elle, pour que… Encore une fois, Steve Rolston et Jason Shawn Alexander sont impeccables dans leur rôle respectif. Ils accueillent également pour cet ultime épisode le vétéran Eduardo Barreto, qui signe un pastiche de Gil Kane assez bluffant. [B]The Escapists [/B]est sans conteste une réussite, l’une des toutes meilleures mini-séries parues en 2006, et à mon avis la meilleure utilisation faite jusqu’à présent de l’œuvre de Michael Chabon. A lire absolument. [CENTER][IMG]http://img.photobucket.com/albums/v674/Niglo/Niglo2/esc06-1.jpg[/IMG][/CENTER][/QUOTE] :yo: :yo: :yo: :yo: :yo: :yo: :yo: cet issue est genial,tres sympa la critique l'herisson
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"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
#4
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Tout tout pareil que Niglo (oui, j'ai aussi oublié de me glisser Other side dans mon sac 8)), sauf que j'ai pas lu True story, car j'ai pas le courage d'en commander... c'est aussi bien que l'amour coréen? ;)
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#5
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[QUOTE=gillesC]Tout tout pareil que Niglo (oui, j'ai aussi oublié de me glisser Other side dans mon sac 8)), sauf que j'ai pas lu True story, car j'ai pas le courage d'en commander... c'est aussi bien que l'amour coréen? ;)[/QUOTE]
Si tu parles de [B]Love as a Foreign Language [/B](dont je dois avoir au moins 2 tomes de retard :oups: ) c'est beaucoup moins ado dans le traitement. |
#6
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Ha je n'ai pas oublié de glisser le other side dans ma besace, et ce numéro oui est le plus beau de tous. Un très grand moment qui s'éloigne enfin des lieux communs du début.
Et le desolation jones est tout aussi superbe, et ce malgré Zeljy qui est sauvé par Villarubia. Quand à elephantmen, j'arrête d'en dire du bien, car personne ne le lit. J'y peut rien si les 3/4 d'entre vous iront pourrir en enfer à cause de cela.
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
#7
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m'en manque toujours un tome de Love as a Foreigne Language, et je dois avouer, en baissant les yeux, que j'aime bien ce truc, malgré son dessin très manga, son intrigue amoureuse un peu ado sur les bords. c'est du fun léger et sans prétention qui immerge dans une culture sud coréenne intéressante avec un graphisme passe partout mais efficace.
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johnkeats.space-blogs.com |
#8
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Je ne suis plus le seul lecteur de Love as a foreign language, voilà qui me fait chaud au coeur. Exactement pareil que sir Keats pour mon avis.
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
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[QUOTE=john_constantine]Je ne suis plus le seul lecteur de Love as a foreign language, voilà qui me fait chaud au coeur. Exactement pareil que sir Keats pour mon avis.[/QUOTE]
ah j'ai commandé les deux omnibus regroupant les 6 volumes... on verra dans quelques mois donc.
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On débarrasse HERE ! nouveau déstockage avril 2022 ! My dead Blog ! Mes critiques après tout le monde ! 600éme !!! TPB Waiter |
#10
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Déjà, tu es loin d'être le seul lecteur d'Elephantmen, on est au moins 4! :flex:
Par contre, comment on peut apprécier Love as.. et ne pas aimer Mary-Jane, cela dépasse Niglo et moi. :D |
#11
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ça s'appelle être snob, et ça ne s'invente pas.
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#12
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Arf, quelques trucs du mois passé. Même si le gros de ma commande indé est chez Arkham et m'attend patiemment (avec du 7 brothers et du Wasteland dedans).
[B]The Walking Dead #33[/B] [IMG]http://www.imagecomics.com/content/schedule/images/walkingdead_33.jpg[/IMG] [U][I]Kirkman(W)/Adlard(A)[/I][/U] Alors que toute la troupe fuit la ville, Michonne reste, elle a un compte à régler avec le chef. L'affrontement dans l'appartement de ce dernier tourne rapidement à l'avantage de notre jeune amie. Jeune amie qui décide de s'amuser un peu. Rappellez moi de ne jamais parler à une demoiselle disposant d'un Katana. Mais quel putain de numéro. Rien d'intelligent, rien de subtil. Non, c'etait même très provoc', tres violent et effrayant. Même Ennis ne m'a pas choqué comme ça (peut-etre aussi car chez lui, c'est tres souvent teinté d'humour). Donc, voilà, on a le droit à presque une vingtaine de pages de torture. Des ongles enlevés à la pince, des perceuse dans des bras, des bras sectionnés, des yeux enlevés à la petite cuillere (précedemment enfoncée dans un anus) et le tout bien souvent explicitement montré. Delectable ? D'une maniere assez flippante pour ma santé mentale, ouais. Et non, je vous rassure. Avouez que vous l'attendiez, ce moment où le [I]commandante[/I] allait payer (si ce n'est pas le cas, vous ne lisez pas Walking Dead, et pour ça, vous meritez de vous y mettre et vite). Ouais, vous attendiez, mais vous ne vous attendiez pas à ce qu'on vous le montre et peut-etre pas à ce que ce soit aussi horrible et sérieux à la fois. Et là, on se sent géné devant notre comic-book. Kirkman a réussi son coup, nous choquer (je dois avouer, j'aime ça). Peut-etre bien qu'on avait pas envie de voir tout ça et que "suggerer a plus d'impact". Pas ici, j'etais hypnotisé par cet épisode, completement mauvais gout assumé, qui trouve sa place dans la série, parceque pour une fois, voir des actes d'une sauvagerie absolue a un impact aussi important que la double page [I]"We are the Walking Dead"[/I] du #24 sur le fait que le point de non-retour est franchi par notre troupe et Michonne en particulier (même si elle a toujours été la plus psychopathe de tous). Un fou de numéro; [B]A Man Called Kev #5 (of 5)[/B] [IMG]http://www.midtowncomics.com/images/PRODUCT/FUL/627445_ful.jpg[/IMG] [U][I]Ennis(W)/Ezquerra(A): You'll be a man, my son[/I][/U] Fin de la route pour Kev. Alors que tous ses amis sont morts, il ne lui reste qu'à rechercher l'homme (et sa pote femme ninja) responsable de ses derniers ennuis et le faire payer. Dont acte ? Bah, voilà, la fin révée pour les aventures de Kev, c'est là. Tous ses mates sont morts et il a peut-etre enfin trouvé la voie de la rédemption. Quoi c'est facile tout ça en un numéro ? Quoi c'est facile ? Mais non, mais non, on se calme. Donc oui, finalement tout venait du mec que Bob a assommé dans le #3, quelqu'un qui n'est donc responsable que de la mort de Bob et Tiny. Et pourtant Kev (plein de classe) ira se le faire lui et sa pote ninja. Et quand il a enfin le pauvre arabe sous son canon, il le torture (encore ! vous allez finir par croire que je ne lis que ça), une façon de le faire payer pour des trucs qu'il n'a pas connu. Mais all the same, Kev, il s'en fout, il a vu ses potes crever un à un et rester le même loser idiot et bigot, c'est l'occasion de passer ses nerfs et de prendre un nouveau départ. La transformation a pris quand même une série en 5 (dont 2 épisodes assez vides) mais au final, c'est une lecture sympa, du Ennis en forme quoi. La boucle est bouclée, apres toutes ses autres pérégrinations, notre héros trouve enfin la paix aux cotés d'un tigre et d'une ravissante jeune femme. Ca a mis du temps, et ça nous laisse 3 bonnes mini-séries et un one-shot, tous plus ou moins drôles pour un personnage atypique chez Wildstorm. A prendre pour les familiers du perso, les autres s'y emmerderont fort surement. Si j'ai du courage, je vous ferai ptet Midnighter bientot.
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Mes ventes de Comics VO ! |
#13
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une très belle sortie cette semaine, le volume un Archives du Savage Dragon chez Image, réalisé il y a de ça bien des lunes par Erik Larsen. très bel objet qui compile la mini série originelle (en trois numéros) ainsi que les 21 premiers numéros de la série régulière.
[IMG]http://talesofwonder.com/images/OCT061864.jpg[/IMG] pour tous ceux qui comme moi étaient passés à coté de cette série, et qui mourraient d'envie de malgré tout se la lire depuis ses débuts, en voilà une belle occasion, surtout que ça m'étonnerait que les premiers numéros, ou trades, soient disponibles facilement ces jours ci. bon alors évidemment pas de couleurs ici, sur le modèle des showcase et essential, mais bon 20 dollars pour 500 pages de comics! semaine lourde et chargées en belles choses pour moi en tout cas.
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johnkeats.space-blogs.com |
#14
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Hé ! Mais c' est certainement mieux en B&W les Savage Dragon (surtout les premiers).
Donc peut-être mine. :merci: |
#15
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Le Dragon reprend également toutes les back-ups ou uniquement l'histoire principale ?
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