#46
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Rat queens #10
RAT QUEENS #10 (Kurtis J.WIEBE / Stjepan SEJIC)
Niveau narration ce dixième numéro de Rat Queens envoie du lourd. Je dois même dire que ce ne fut pas une lecture si aisée que cela mais c'est tant mieux car du coup on prend plus le temps pour admirer les très belles planches de Stjepan SEJIC (définitivement rentré dans l'esprit de la série) mais surtout on remarque le très bon travail fait par Kurtis J.WIEBE sur les personnages depuis le début. En fait le truc en plus de cet épisode conclusif du deuxième arc c'est que sous couvert de résoudre l'intrigue sur Gerrig le vilain Lovecraftien du coin, le récit avance dans les différentes strates de l'esprit avec des flashbacks sur différents personnages à chaque fois très intéressants et révélateurs de leur caractère. Le scénariste n'oublie pas non plus de continuer d'exposer les diverses relations amoureuses qu'il a construit au fur et à mesure comme ce baiser passionné en plein combat entre Dave et Violet. La relation entre Sawyer et Hannah (déjà présente dans la très bonne scène d'introduction se déroulant dans une université à fait pâlir Poudlard) prend également une tournure intéressante surtout quand on apprend à quoi sert la grosse chevelure de la belle. Atmosphère mystique maitrisée également grâce aux dessins et compositions de Sejic qui arrive à bien positionner les raccourcies du scénario (en clair on ne va pas faire comme certains scénaristes et des combats s'étalant sur 4 épisodes) et nous projette dans le monde éthéré crée par Gerrig. Pour ne pas déroger à l'excellent esprit de cette magnifique série l'humour (osée mais jamais vulgaire) et les décapitations (pas de violence gratuite) sont encore une fois de mise, la palme revenant à la dernière page et une utilisation orignal des moyens des communications modernes. Excellent numéro (comme le précédent), ce #10 donne carrément envie de relire les deux arcs pour mieux apprécier tout le travail de fond réalisé depuis le début. |
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No Mercy #1 est une excellente série, pour le moment je suis conquise, l'approche du scénariste sur le titre est vraiment originale en soit et il sait donner envie de lire la suite. J'aime beaucoup son approche de l'univers de l'adolescence. Le scénariste distille les informations de manière efficace, nous forçant à continuer de tourner les pages pour en savoir plus. Campi nous propose une étude de personnages intéressante qui est certes courte car pour le moment ce n'est que le premier numéro. On sent les liens en tout cas entre les personnages et je dois dire que ce qu'il nous présente semble réellement réaliste ce qui fonctionne très bien. Son écriture est excellente et même si nous n'avons pas tous les éléments pour savourer le récit pleinement, on a assez de matière pour avoir le sourire à le lecture de ce titre. C'est un nouveau monde qui s'offre à notre groupe de personnages et le scénariste joue beaucoup sur le mystère entourant son titre ce dont nous n'allons pas nous plaindre, c'est bien de ne pas pouvoir dominer à l'avance l'histoire et les différents évènements de l'intrigue. Certains personnages sont étranges et je dois dire qu'on s'interroge sur les relations des uns et des autres. L'accident est le moment clé du récit et il est aussi impressionnant que prévu dans le traitement. Bref au niveau du scénario le récit tient la route. Les dessins sont très bons eux aussi, il sait mettre en valeur le récit qui pourrait sembler pourtant très classique aux premiers abords. Il a un découpage très particulier, mais qui fonctionne bien et donne une approche originale au récit. En tout cas on peut dire que c'est un très bon titre même si tout n'est pas parfait. Il y a un certain potentiel et le mystère de ce récit donne envie d'en savoir plus sur le récit. No Mercy #1 est une bonne trouvaille en soit et je recommande la lecture de ce titre en tout cas à ceux qui veulent un peu d'originalité.
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"Si tous tiraient dans la même direction, le monde basculerait." ---------- "my feminism will be intersectional, or it will be bullshit." Kelly Sue Deconnick “Conscience. Conscience is the ultimate measure of a man.” G. Willow Wilson "Magneto would be all, "Mutants shall rule all" and Sex Giraffe would be all, "One second there, broski." Gail Simone |
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Bloodshot Reborn #1
Alors que j'ai acheté ce chapitre sans grande conviction, j'ai pourtant bien aimé. A la fin de The Valiant #4, En ce qui concerne l'intrigue, c'est à peu près tout. Tout le début est assez lent, assez redondant même et pas très subtil (Bloodshot c'était la MORT, alors que la Geomancer c'est la VIE, mais
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"It's not about adding diversity for the sake of diversity, it's about subtracting homogeneity for the sake of realism." une cacahuète dans la nuit. Dernière modification par cosmos ; 15/04/2015 à 20h12. |
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Merci pour ce retour sur du Valiant. Je pense le lire ce soir.
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Convergence : Green lantern parallax #1
CONVERGENCE : GREEN LANTERN PARALLAX #1 (Tony BEDLARD / Ron WAGNER / Bill REINHOLD)
C'est simple je l'ai pris pour voir à nouveau Hal Jordan au début de sa période Parallax, pour Kyle qui est mon Green Lantern préféré et enfin pour le combo Ron WAGNER - Bill REINHOLD. Sur tout ces points là aucune déception. Tony BEDLARD ne révolutionne nullement les personnages détenteurs de l'anneau des GL étant même plutôt dans la redite mais c'est bien écrit et voir la déchéance de Hal dans la prison se faisant remonter le moral par le jeunot qu'est Kyle est assez drôle. Par contre c'est dommage que le scénariste de s'attarde pas plus sur l'année passée sous la dôme (quoi que pour Hal c'est assez simple). Néanmoins cela laisse de la place pour un affrontement qui ne tourne pas comme on pouvait le penser et on retrouve avec joie la folie destructrice de Parallax. Graphiquement il faut aimer le style de Wagner et Reinhold, ce qui est mon cas. De forts belles planches avec beaucoup de dynamisme renforcés par l'encrage de Reinhold sur Wagner. Cela m'a fait plaisir de lire à nouveau quelque chose sur ces personnages. Ma note spécial convergence : 7/10 Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 04/05/2015 à 00h43. |
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Bloodshot reborn #1
BLOODSHOT REBORN #1 (Jeff LEMIRE / Jeff LEMIRE Mico SUAYAN)
Le dessinateur principal de Bloodshot Reborn m'en a mis plein les yeux. Je le prenais pour un Bermejo du pauvre, je découvre un artiste tout en nuance maitrisant son trait, assez fin, sachant utilisé les dégradés et ses compositions de planches sont très variés et fourmillent de détails. On est loin de dessins photoshopés, à mi chemin entre la peinture et la photographie mais on est bien dans du dessin. A signaler l'excellent travail de David BARON aux couleurs avec un travail sur la lumière très intéressant. Bloodshot dans sa première version ne m'avait pas plus enchanté que cela. Ce que propose Jeff LEMIRE me semble re donner un intérêt certain à ce personnage comme Peter Milligan a su le faire avec Shadowman (sans suite malheureusement). |
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En fait j'ai bien plus de titre à lire et donner des avis que j'avais prévu. Donc je reviens vers vous plus tard les gars. Là je suis sur Eight3 qui est pourrait me faire changer d'avis quand à ma lecture de cette série. Je le dis d'entrée pour vous appâtez.
Il me cris dans ma pile pour le lire ... Lis moi ! J'arrive, j'arrive ^^ |
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J'avoue que je suis un peu un psychopathe de la scène d'exposition, mais pour moi la première page ne sert à rien par exemple.
Comme le chapitre est un peu plus gros qu'à l'accoutumée et sans hausse de prix, heureusement ce n'est pas comme si ça empiétait sur le récit : on a quand même droit à une bonne vingtaine de pages d'histoire juste après. Et puis j'aime bien la façon dont les images de jeux vidéos et d'images de JT violentes se mélangent un peu dans sa tête et nous montrent qu'il est assez perturbé par ce qui lui est arrivé, le tout de façon assez originale avec Bloodsquirt
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"It's not about adding diversity for the sake of diversity, it's about subtracting homogeneity for the sake of realism." une cacahuète dans la nuit. |
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Néanmoins j'ai passé un excellent moment, sans commune mesure avec le Ninjak #1 de Matt Kindt que j'ai même relu sans plus de succès. |
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The kitchen #6
THE KITCHEN #6 (Ollie MASTERS / Ming DOYLE)
Petit coup de gueule à la lecture de ce numéro que j'ai terminé en 5min. Oui 5 min car même si l'histoire de Ollie MASTERS est toujours aussi forte (et ici cela avance) je dois dire que j'aurais quand même aimé un peu plus de développement, plus de caractérisation et l'utilisation de l'ensemble du casting (une des femmes est absente). Car là je commence à me dire que finalement le scénariste n'avait pas tant de chose à raconter et qu'il comble son histoire avec des pages comportant des 3 à 4 cases sans dialogues (5 pages sur 20 et 2 avec pas grand chose). Oui j'aurais aimé plus de densité dans la narration qui du coup devient trop légère alors qu'il y a tellement à raconter avec un pitch pareil. Je commençais déjà à avoir cette impression dans le numéro précédent mais là cela se confirme. Cela m'a gâché ma lecture alors que pourtant le récit avance. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 04/05/2015 à 00h42. |
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Imperium #3
IMPERIUM #3 (Joshua DYSART / Doug BRAITHWAITE)
Passionnant. C'est le mot qui m'est venu immédiatement en tête quand j'ai reposé ce troisième numéro de Imperium. Joshua DYSART travaille sur la longueur et nous propose cette fois ci de voir comment Harada fonctionne dans l'utopie qu'il a crée. Le côté geo politique des premières pages est très intéressant dans le sens où Dysart prend le contre pied de Harbinger et nous montre réellement ce que la doctrine de Harada peut produire quand elle est en application. Moins d'action également que dans la première série mais plus de temps de réflexion, d'introspection et de pause, ce qui en fait déjà un comics dont la lecture n'est pas rapide (merci) mais surtout les personnages prennent une réelle profondeur. Ici le focus est bien sur Harada avec son rôle de gourou/leadeur manipulateur dans la grande tradition des méchants ambivalents intéressants (comme un Doom ou bien un Magneto). Mais à travers les actions de Harda on suit également Sunlight On Snow (Mech Major) qui va devoir couver un ambrions des Vines (et hop comment je fais le lien avec X-O Manowar) et qui surtout en deux apparitions est en train de s'affirmer comme le personnage à suivre. Le scénariste n'oublie pas également la rôle (le pauvre il ne va pas être gâté) que Gravedog est amené à jouer ce qui entraine la première apparition de Broken Angel amené à tenir un rôle important dans les prochains numéros au vu des previews. Doug BRAITHWAITE contiune de se sentir très à l'aise chez Valiant et rend encore une fois une excellente copie. IMPERIUM de part sa structure narrative (3 numéros différents dans ce qu'ils racontent jusqu'à présent) surprend en bien et s'impose comme la série à suivre dans l'univers Valiant. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 04/05/2015 à 00h50. |
#57
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Ne criez plus j'arrive. Petit est grand prenez place et asseyez vous.
Venez ouïr mon odyssée en terre comics nommée perfection. Ca va être dure à noter/départager, je le dis de suite. Number 7 Titre : Shaper Tome : 2 Titre en couverture : Heroes shape the future ! Editeur : Dark Horse Auteurs : Illustrateur : Ace Continuado Encrage : Adele Corona Scénariste : Eric Heisserer Pourquoi je l'ai pris : Parce que je l’avais prés-commandé. Pitch : Alors que sa mère est mener à Cal Victus et que son père est interroger par ce dernier, notre jeune héros se base sur son jeux de cartes pour trouver des alliés … Mais un jeu de cartes et la réalité peu avoir des différences importante. Phrase qui fait écho à ma lecture : "We have something in common then." Avis : Les personnages - Le personnage principal est plein d’innocence, ce qui est a la fois la force et la faiblesse du récit. Rand the galaxian et Adagia sont deux bonnes surprises et assez drôles. Cale Victus est parfait en méchant impitoyable. L'histoire - J’ai surement été assez dure avec le numéro 1. Le 2 est dans la lignée, et pourtant je l’ai préférer (Alors que j’étais près à ne pas l’aimé). Le coté western et Star Wars est très plaisant. Malgré tout cela reste facile et déjà vu parfois. Et on s’attend à la seconde surprise. Le graphisme - Toujours à osciller entre bon et moins bon. Bonne gestion des pages. Juste un manque de fluidité sur les actions. Les couvs sont la force du titre qui me donne à chaque fois envie de craquer et acheté. L'atmosphère - De conflit à la star wars. De promesse de découvrir des horizons inconnu. De se mettre en travers de pouvoirs impressionnant et de renverser le cour de la bataille en cours. Conclusion - Un petit plus qui n’aurait pas été désagréable aurait été d’avoir comme dans Munchkin une carte du jeu par numéro ^^. J’ai déprogrammé la commande du 3 dans mon listing, je le regrette presque. Pourtant au vu de mes achats de Juin je n’ai pas le choix. Cependant à tout ceux qui aime star wars je demande de jeter un œil à ce titre, en single ou TPB il devrait vous en donner pour votre argent. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 8/10 Scénario : 8/10 Intérêt : 5/6 Originalité : 3/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 8/10 Number 6 Titre : Superior Iron Man Tome : 7 Editeur : Marvel Titre de l'épisode : Stark Contrast Auteurs : Illustrateur : Yildiray Cinar & Felipe Watanabe Encrage : Yildiray Cinar & Ruy Jose Scénariste : Tom Taylor Pourquoi je l'ai pris : Parce que j’aime cette série. Pitch : Stark fait face à une de ses anciennes armures. Mais qui l’habite est plus que surprenant. Et pas sur que le détenteur de cette dernière soit meilleur que notre extravagant & immoral millionnaire. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Pepper doesn’t need to hear this." Avis : Les personnages - Stark toujours aussi arrogeant/sur de lui. Son rival en armure pas beaucoup mieux ce qui rend intéressant la rencontre car : L'histoire - Une bonne histoire, même si un gout d’action délité et de facilité. Le graphisme - J’aime beaucoup, mais pourtant seul Pipper est raté. Ca fait plus physique de figurante que personnage L'atmosphère - Agréable de voir Tony se faire dominer et pourtant un peu déçu de voir son adversaire pas meilleur. Une fin surprenante et pas illogique et un bon cliffanger. Conclusion - Un bon numéro où pourtant il manque quelque chose. Ce sera malheureusement la phrase écho à cette série. Couverture : 1/2 Dessin & encrage : 9/10 Scénario : 10/10 Intérêt : 6/6 Originalité : 4/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 9/10 Number 5 Titre : Ei8ht Tome : 3 Editeur : Dark Horse Auteurs : Illustrateur & encrage : Raphael Albuqueque Scénariste : Raphael Albuqueque, Mike Johnson Pourquoi je l'ai pris : Je l’avais prés-commandé, puis demandé de retiré de ma liste. Mais il avais déjà commandé donc je l’ai pris. Pitch :A Joshua et Nila sont prévenus que the Spear va venir capturer Joshua et relâché une sur la tribu de Nila. Alors que les anciens se préparent à fuir, Nila et Joshua eux décide de pénétrer dans la capital et tuer le dictateur avant que l’escouade de Spear prennent la route. Phrase qui fait écho à ma lecture : "This isn’t a request it’s a order" Avis : Les personnages - Nila continue à s’affirmer comme le personnage fort. Joshua commence à se rappeler. The Spear nous révèle un peu plus du mystère qui l’entoure. L'histoire - Intéressante entre les éléments du passé et du Meld. Ainsi que ce qu’est le Meld. De plus les auteurs mettent la seconde ce qui est agréable. Le graphisme - Superbe de bout en bout. L'atmosphère - De combat perdu d’avance. Avec un bonne dose de mystère et de moment d’héroïsme. Conclusion - Autant je doutais sur le premier épisode. Autant le second déjà meilleur me perdait malgré tout (Surtout que j’étais persuader de pas prendre le 3). Autant là les auteurs me convainquent enfin. Mais n’est-ce pas un peu tard ? Pour moi si car comme pour Shapper malgré une certaine qualité, y’a aussi des défauts et que j’ai un gros mois de juin à venir. Couverture : 1/2 Dessin & encrage : 10/10 Scénario : 8/10 Intérêt : 6/6 Originalité : 6/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 9,25/10 Number 4 Titre : Deathlok Tome : 7 Editeur : Marvel Auteurs : Illustrateur & encrage : Mike Perkins Scénariste : Nathan Edmondson Pourquoi je l'ai pris : Parce que j’aime ce titre. Pitch : Henry a une nouvelle mission mais va faire quelque difficulter qui met la puce à l’oreille de son employeur. Il met non seulement sa vie en danger, mais aussi celle de sa fille et de son contact J.J. Phrase qui fait écho à ma lecture : "It matter because I asked Control." Avis : Les personnages - Depuis qu’Henry est conscient de son état il devient intéressant. Certes il arrive rapidement à se faire à ses capacités, mais pas à ce qu’on lui ordonne. Par contre j’avoue ici on voit mieux le mystérieux employeur (Inconnu au bataillon) et je me suis trompé. Ou alors on nous a montré qu’un nouveau pion. L'histoire - Remet la seconde mais cette fois faudra rester pied au planché. Le prochain numéro devrait promettre un combat du feu de dieu. Le graphisme - Parfait … Bonne utilisation des ombres. Cela va bien à ce titre. L'atmosphère - Une atmosphère assez lourde avant le renversement de situation, et du coup de nouvelle direction. Conclusion - Je ne regrette pas d’être rester à bord jusqu’ici. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 10/10 Scénario : 8/10 Intérêt : 6/6 Originalité : 6/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 9,5/10 Number 3 Titre : Chrononauts Tome : 2 Editeur : image Auteurs : Illustrateur & encrage : Sean Gordon Murphy Scénariste : Mark Millar Pourquoi je l'ai pris : Parce que j’avais énormément aimé le 1. Pitch : Après être parti à la recherche du Dr Quin et de recevoir une flèche dans la jambe voilà que Danny se retrouve au milieu d’un combat … Et y’a des véhicule moderne et des armes à feu à un âge ou cela ne devrait exister. Phrase qui fait écho à ma lecture : "Score Board" Avis : Les personnages - Le Dr Quin digne de stark est incroyable. Danny Reilly est un bon second qui lui aussi à ses défauts. Quand au scientifiques et l’équipe de récupération il promettent autant que Savar (J’adore la bouille de savar qui change peu à peu au fil du récit). L'histoire - J’avais peur d’un grand n’importe quoi que j’allais détester avec la preview, mais les deux bougres de Millar et Murphy me convainquent encore plus que sur le 1. On peu regretter le peu de changement sur le long terme de notre temporalité. Comme si cela devais être/A été. Les changements sont plus ou moins important selon les périodes et toutes amène du fun. Bravo. Le graphisme - Murphy L'atmosphère - De délire spacio-temporelle que même le docteur ne dédaignerait pas. Conclusion - On se demande comment ils vont pouvoir remettre l’histoire sur une bonne route. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 10/10 Scénario : 9/10 Intérêt : 6/6 Originalité : 6/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 9,75/10 Number 2 Titre : Convergence : Green Lantern-Parallax Tome : 1 Editeur : DC Titre de l'épisode : Crime & Punishement Auteurs : Illustrateur : Ron Wagner Encrage : Bill Reinhold Scénariste : Tony Bedard Pourquoi je l'ai pris : Pour Kyle … En plus on nous promet du Parallax. Pitch : Alors que le dôme à recouvert métropolis Kyle vient visiter un Hal qui s’est rendu de lui même à la police et tente de lui faire comprendre que c’était pas sa faute. Mais dès que le dôme s’abat Kyle et Hal retrouve leur pouvoir … Et Hal sa folie. Phrase qui fait écho à ma lecture : "No more guilt, no more doubt" Avis : Les personnages - Un hal sans pouvoir et un kyle assez juste. Un parallax plein d’ardeur (Vont me faire regretter de pas avoir un convergence Superboy Prime ^^). Une princesse fern que je connaît peut et qui a mon grand étonnement m’a fait m’attaché. Même si c’est la méchante. L'histoire - Certes peu orginal. Hal s’en veut et ça prend peut être une trop grande part (Mais c’était important). Et Parallax lui est sur de son bon droit. Dommage que Kyle soit si vite mit HS. Un bon point que le moniteur du premier ministre montrant à la fois le combat de Fern mais aussi celui de Lady Quartz avec Supergirl/Matrix. Ca me donne presque envie d’acheter ce dernier (Bien joué). Cela me fait pardonner à Bedard ces Exiles c’est dire. Après je me suis positionner dans une lecture avec Hal/Parallax sans puis avec la praticipation du sinestro lantern (Ca marche tout autant l’un et l’autre). Marrant qu’ici l’interférence de Paralax n’est pas plus de concéquence (Quand dans Batgirl ont entend bien que Robin et Blackbat ne devraient pas intervenir). Ou le manque de cohérence … Dans Batgirl celle ci et enlever par une boule qui ici ne vient pas chercher kyle. Le graphisme - Il est bon, j’y vois un peu de byrne ou plutôt du Romita Jr parfois. C’est certes débutant mais méritant. Il pourrait mériter de revenir en soutient sur des titres DC pour faire leurs armes avant de s’affirmer au sein d’un titre à eux. L'atmosphère - J’ai pas connu cette periode pour Kyle/Parallax. Je peux pas donc dire de nostalgie mais tout de même (Quoique moins que le retro-active Green Lantern 90’s). De destruction a venir ou de voir kyle s’opposer à parallax et devenir défenseur d’une cité qui est déstiner à sombrer de toute manière. Conclusion - Un très bon premier numéro qui nous donne envie d’attendre la suite. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 9/10 Scénario : 10/10 Intérêt : 6/6 Originalité : 6/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 9,75/10 Alors pourquoi devant chrononautes ? Parce que c’est mon coup de cœur. Number 1 Titre : Ms.Marvel Tome : 14 Editeur : Marvel Titre de l'épisode : Crushed Auteurs : Illustrateur & encrage : Takeshi Miyazawa Scénariste : G.Willow Wilson Pourquoi je l'ai pris : Parce que j’adore cette série. Pitch : Kamala craque de plus en plus pour son Kamran aux grand-dames de Bruno qui ne se voit pas vraiment réconforter par le frère de Kamala. Mais que cache ce garçon parfait ? Phrase qui fait écho à ma lecture : "It couldn’t be more perfect" Avis : Les personnages - Kamala insouciante a souhait et amoureuse mais mimi (Danse du popotin de magda ^^ ). Bruno qu’on plein et le frère de Kamala qui pour une fois est sympathique (Miracle). Kamran qu’on apprécie tout en se méfiant et avec raison. L'histoire - D’insouciance du premier amour et de voir sa confiance mise entre de mauvaise main. Vraiment un must cette série. Le graphisme - Ce n’est toujours pas Alphona mais ça reste superbe donc on s’en fout. Et on savoure notre chante. L'atmosphère - Légère et douce puis plus dure pour Kamala mais intéressante malgré qu’il ne se passe pas grand chose dans les faits. Conclusion - Hatters gonna Hates. Moi j’adore. Couverture : 2/2 Dessin & encrage : 10/10 Scénario : 10/10 Intérêt : 6/6 Originalité : 6/6 Plaisir de lecture : 6/6 Note : 10/10 |
#58
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The woods #12
THE WOODS #12 (James TYNION IV / Michael DIALYNAS)
Dernier numéro en single pour moi qui correspond en plus à la fin de la première saison (c'est annoncé comme cela). James TYNION IV construit un récit avec de la qualité et des intrigues à tiroir mais sur la longueur le scénariste commence à me perdre. En fait depuis l'introduction d'élément fantastique (entendait pas là très SF) son histoire peine à me convaincre complètement. En plus le mélange entre ancien et nouveau personnages est assez brouillon. C'est dommage car dans les premiers épisodes il y avait un très bon travail de fond fait sur les protagonistes que j'ai du mal à complètement retrouver tant le récit a tendance à se disperser. Je pense que James Tynion IV n'a pas pris assez de temps pour certaines choses et a mis trop d'éléments trop vite. Enfin Michael DIALYNAS réalise un travail correct mais on a l'impression qu'il n'arrive pas à progresser, ce qui aurait été un argument pour continuer la série tout les mois (et puis j'ai un problème avec la colorisation de Josan GONZALEZ). Je quitte quand même avec regret cette série que je suivrais désormais en TP car elle a des qualités et l'histoire reste intrigante et intéressante. Mais je ne prends plus aucun plaisir à la lire tous les mois. |
#59
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Ms. Marvel #14
MS. MARVEL #14 (G. WILLOW WILSON / Takeshi MIYAZAWA)
Crushed part 2 of 3 Il est sympa cet arc qui met bien en évidence le personnage ado de Kamala Khan. En fait le capital sympathie provient que j'ai eu l'impression de lire un vieux épisode des X-Men à l'époque où le certains jeunes mutants s'interrogeaient sur leur place dans le monde et comment leur différence était perçue et souvent rejetée. L'intrique est bien menée et le personnage de Kamran est bien plus complexe qu'il ne paraissait au départ. Et puis quel joie de voir que cet arc est seulement en 3 épisodes à l'heure où il en faut 6 ou 7 rien que pour manger un hamburger. G. WILLOW WILSON laisse de la place dans le récit à Bruno (le meilleur ami de Kamala secrètement amoureux d'elle) et à son frère. Le côté religion pourrait être un plus poussé mais cela a l'avantage de ne pas tomber dans un pathos inutile en appuyant trop sur ce concept. Cela reste frais et léger comme des récits de Spider-Man ont pu l'être. Enfin la scénariste joue à fond la carte des origines de Ms. Marvel et l'intrigue tourne autour des Inhumains. J'avoue que cela m'a dérangé un moment car je me suis dit qu'ils commençaient à me gonfler, en plus d'être énervé de ne pas lire ce type d'histoire chez mes mutants préférés mais au final je me suis dit que c'était logique et bien en phase avec l'environnement de Ms Marvel. Bien joué madame Willow Wilson. Graphiquement Takeshi MIYAZAWA n'a pas à rougir de sa prestation qui reste dans l'esprit de ce que produit Adrian Alphona. Surtout que la colorisation de Ian HERRING donne cet unité graphique que les fans apprécient. C'est du tout bon. Ms. Marvel reste une des valeurs surs de Marvel. Pour l'instant la qualité est au rendez vous et cela fait plus d'un an que cela dur. Profitons en. Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 04/05/2015 à 00h44. |
#60
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Bon, c'est toujours minoritaire, mais ça n'est plus (quasi)absent du marché comme ça pouvait l'être il y a quelques années.
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