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Bon je vais faire baisser le niveau culturel de cette rubrique
Les gens de Bragellone viennent de lancer une nouvelle collection de livre qui s'apelle "Mylady". Dans le tas, en plus d'une collection en poche avec entre autre "Legende" de Gemmel et la reeditions de la serie de roman Indiana Jones (toute mon enfance!) n peut y trouver en grand format une redition en integrale et en grand format de deux titres majeur des royaumes oubliés (mais si vous savez, les ouquin mal édité par fleuve noir dans l'univer de donjons et dragons...): Les chroniques de Drizzt, ou "L'elfe noir" et les Dragon Lance (ou Lance Dragon chez Fleuve noir) le tout en intégrale. Et c'est pas mal du tout! De la trés trés bonne fantasy, dans la définition de Howard plus que dans celle de Moorcock (c'est a dire que pour Howard la fantasy c'est juste fait pour raconter des histoire, pas pour avoir un fond, un second degré de lecture.) C'est sympa, c'est fun et ça change des Tolkien-like qui pourissent les étals des libraires.
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Pour être clair, Adam et Eve non PAS eu une relation incestueuse. Definitivement pas. A la limite c'etait une forme baroque d'onanisme. Au pire... |
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ah oui alors justement, j'ai vu le Légende hier de Gemmel, et il m'a bien titillé (7euros pour quasi 500pages avec une belle couv'). Seulement en regardant à l'intérieur, j'ai vu qu'il faisiat partie d'un cycle (le cycle de Drenaï je crois). Sont-ils lisibles indépendamment (à la Pratchet et son Disque monde) ou est-ce une grosse histoire en 11volumes???
Par contre trop cool, pour les bouquins D&D, j'adorais ça!!
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Alors Legende est independant mais il y a une prequelle de deux tomes (Druss la legende et la legende de Marche mort) qui reprenne le personnage avant Legende. Ils sont completemet dispensable pour la compehension de Legende cela dit.
Sinon Waylander est en trois tomes et pour les autres je sais pas (Cad: la Quete des Heros perdus et Les Guerriers de l'hiver) Mais Legende a été écrit pour être independant au depart
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Pour être clair, Adam et Eve non PAS eu une relation incestueuse. Definitivement pas. A la limite c'etait une forme baroque d'onanisme. Au pire... |
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Je suis en train de lire La Séparation de Christopher Priest. On y retrouve le thème de la gémellité, déjà exploité dans Le Prestige. La description de Londres sous la menace du Blitz est, je pense, très bien retranscrite. L'auteur tente de redonner l'ambiance d'inquiétude, d'incompréhension et de terreur qui régnait à l'époque. On sent qu'il s'est réellement documenté avant de se lancer dans l'écriture de ce roman. L'utilisation d'ellipses est, parfois, surprenant mais contribue à garder un rythme convenable.
Une bonne lecture, pour l'instant.
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"Please allow me to introduce myself. I'm an alien superfiend. I've come tonight to judge you all. Let me say you what I mean! Pleased to meet you. Judge Death is my name!" Ted Notts: Galaxy Trotter! Moi aussi, je raconte des histoires. L'atelier |
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La lecture de Jacob Von Gunten de Walser (kiffé par Kafka), fin et d'une superficialité pénétrante, fût agrémentée de la Maison des Feuilles qui est plutôt pas mal, saupoudrée d'une pinçée Pantagruelesque qui elle même se voit prendre son envol dans le lyrisme Pessoaien du Faust de ce dernier.
Bref un bon début de vacance.
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
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moi mon prochain essai sera un roman de Georges Palecanos, histoire de voir sur ses bouquins sont aussi bons que ses scénarios de the wire.
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johnkeats.space-blogs.com |
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De Pelecanos, Soul Circus est vraiment pas mal. Pas tant au niveau de la forme que du fond, qu'il maîtrise admirablement.
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Eh bien, c'est excellent et en effet ça rappelle énormément The wire. Particulièrement la troisième saison dont le bouquin a en commun la même thématique principale (la réinsertion, la réforme, la rédemption), même si elle est plus resserrée et moins choralement distribuée dans Drama city. Sinon, je viens de termine Amuleto de Roberto Bolano et cet auteur ne cesse de m'impressionner. Il s'agit ici d'un récit allégorique sur la résistance dans l'art, un récit marqué par l'horreur des sombres années de dictature et de répressions policières que l'Amérique latine (et l'auteur lui-même) a traversées dans son récent passé.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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c'est celui là que je lis, j'en ai passé cinquante pages aujourd'hui, et oui c'est fortement agréable.
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johnkeats.space-blogs.com |
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Entre les murs de François Bégaudeau
L'ordinaire d'un prof de français dans un lycée parisien et accessoirement le roman qui a servi de matériau de base à la palme d'or 08. Alors, oui, j'ai trouvé ça bien, ça se lit aisément mais ce n'est pas la surleculterie à laquelle je m'attendais et partout proclamé. Disons que les moments avec les élèves sont vraiment intéressants, on cerne les difficultés écrasantes auxquelles peuvent être confrontés les profs (voir le topic de l'éducation nationale). Pour le reste, les tentatives d'humour tombent à plat, les mises en situation sont parfois confuses et la volonté de faire littéraire, notamment en ne laissant jamais une situation se conclure, en enchaînant les moments censés être signifiants mais qui ne parlent pas forcément à qui n'est pas du cénacle m'ont grandement laissé sur ma faim. Mais, je peux comprendre que les profs kiffent grave la ouala ce roman du réel. |
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J'ai fini Légende de Gemmel. Bon bin franchement je suis assez surpris. C'était très bien. Bonne histoire, bon persos. Juste un peu gêné au début sur la rapidité de la relation Rek/Virae, mais sinon ouais vraiment très bien.
En plus, à la fin on a le droit à quelques pages de Waylander pour nous appater et ça a l'air tout aussi excellent. Seul problème: la suite n'est pas prévu avant octobre. Ce que je trouve vraiment très con. Surtout qu'à côté les bouquins dérivés d'Indiana Jones vont sortir pendant trois mois à raison de deux par mois.
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Si ayant frappé ton prochain sur une joue, il te tend l'autre, frappe le sur la même, ça lui apprendra à faire le malin ! Cavanna |
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En plus le Légende en poche chez Milady c'est très bien comme édition, c'est juste dommage de mettre 4mois entre chaque tome.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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Très bon topic sur lequel je viens de tomber.
Dernièrement, j'ai beaucoup aimé ça : Attention, excellente pièce de théâtre ! Le songe d’Eichmann de Michel Onfray constitue une formidable charge contre la pensée d’Emmanuel Kant. En lisant Eichmann à Jérusalem d’Anna Harendt, Onfray découvre qu’Eichmann (inventeur de la chambre à gaz) se réclame de la philosophie de Kant. Stupeur et déni d’Harendt. Non, répond Onfray : il y a, dans la pensée de Kant, les prémisses du fascisme. Et il le démontre en citant les textes. La pièce confronte Eichmann à Kant : un procès à charge terrible duquel le philosophe allemand sort perdant. Il faudrait bien sûr entendre un autre son de cloche mais en l’espère, le livre se dévore. Envie d’une petite frayeur ? Aucun problème avec Coraline de Neil Gaiman, à la petite condition que vous ayez conservé quelque chose de votre âme d’enfant. Coraline rappelle en effet l’univers des contes de notre enfance, mais habilement remis au goût du jour par un romancier bien connu des amateurs de fantasy, comics et fantastique. La petite Coraline vit dans une grande maison dont elle occupe un étage en compagnie de ses parents. Au rez-de-chaussée, on retrouve deux vieilles dames, anciennes gloires du théâtre et à l’étage un « crazy old man » comme elle l’appelle qui promet de lancer un spectacle avec des rats… S’ennuyant, la petite questionne sa maman sur la présence d’une porte bien mystérieuse : cette dernière s’ouvre en effet sur… rien ! Ou plutôt, sur un mur qui a bouché l’ancienne demeure à laquelle l’actuelle maison fut un jour accolée. Mais voilà : à trop vouloir ouvrir des portes donnant nulle part, on finit par réveiller de vilaines choses. C’est qu’il y a un autre monde derrière cette porte, prêt à s’ouvrir uniquement pour Coraline et où l’attendent ses « other parents » bien plus gentils et attentionnés que les siens mais dont les yeux ont été remplacé par des boutons cousus… Un grand plaisir de lecture attend l’amateur qui ouvrira Coraline. Neil Gaiman a, dès ses premiers romans et nouvelles, déployé de louables efforts, et il signe ici un de ses meilleurs livres. Le style reste très accessible en Anglais, puisque destiné à des enfants. Son histoire ressuscite les histoires de notre enfance mais pour un public contemporain. Les situations sont inquiétantes, certes, mais Gaiman réussit néanmoins à éviter toute sensation d’angoisse. Du coup, on peut vraiment donner ce genre de livre à un gamin dès ses huit ans. La morale du livre, par contre, manque un peu de cohérence. A moins qu’il ne faille considérer que ce livre a pour but de dédramatiser le rapport de l’enfant avec tout ce qui est de l’avenir et de l’inconnu. Néanmoins, le roman donne à voir un beau portrait de fillette, courageuse et intelligente qui plaira autant au jeune public qu’aux grands enfants. Harper Trophy, 6,99 dollars. |
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Pour Coraline, ce que j'en attends c'est la version de Russell qui devrait sortir dans l'année (elle a été sollicité il y a quelques mois il me semble).
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Ça resitue les merguez dans un contexte littéraire et intellectuel qui est le bienvenu. Viens découvrir la saison des animes qui fleurissent. |
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