#451
|
||||
|
||||
Rien ne mérite un biopic.
Le biopic, c'est le degré zéro du cinéma.
__________________
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#452
|
||||
|
||||
Quoi? Et La bible alors????
|
#453
|
||||
|
||||
Il y a des biopics intéressants quand même, quand il y a un vrai point de vue et une démarche artistique. Ils sont rare mais un film comme Controlréalisé par Anton Corbijn sur Ian Curtis de Joy Division.
Et Walk The line sur Johnny Cash aussi. Ces deux exemples vont au delà de la simple énumération de faits.
__________________
Mes critiques à moi Mon blog où je partage mes coups de cœur divers et variés https://cultureetgeekitude.wordpress.com/ |
#454
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
J'étais volontairement caricatural parce que l'exercice donne souvent des résultats assez peu probants.
__________________
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#455
|
||||
|
||||
Et sans biopic on aurait jamais eu Walk Hard.
|
#456
|
||||
|
||||
Ouais, mais les biopics de faux gens, ça compte pas.
__________________
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
#457
|
||||
|
||||
Dimanche :
Dimanche, sur Arte, Shane : L'Homme des Vallées Perdues de George Stevens. Je n'avais jamais eu l'occasion de voir ce grand classique du western. En vérité, j'ai été assez déçu, peut-être en attendais-je trop... Bien entendu, cette histoire de justicier surgi de nulle part (et y retournant une fois sa "mission" accomplie) a inspiré bien d'autres films (ne serait-ce que L'homme des hautes plaines et Pale rider de et avec Clint Eastwood), mais justement c'est là que le bât blesse : quand on a déjà vu une histoire similaire plusieurs fois, découvrir l'original n'enlève pas cette impression de répétition. Néanmoins, je ne veux pas paraître trop sévère : c'est superbement filmé, et très bien interprété - plus que la prestation d'Alan Ladd, je retiens surtout Jack Palance, fabuleux en méchant rancher cupide. Lundi : Lundi, sur France 2, le 21 épisode de la saison 5 de Castle. Beckett est choisie par un riche homme d'affaires pour le protéger après la mort par empoisonnement d'un de ses homologues. Castle est bien évidemment jaloux car il se méfie de ce playboy, et il entreprend donc de résoudre l'affaire avant qu'il ne séduise sa belle... C'est un épisode assez inoffensif en apparence, mais dont le dénouement suggère que la relation entre les deux héros n'est peut-être à l'abri - il semble en effet que Beckett n'ait pas été insensible au charme du millionnaire, mais elle le cache à Castle. Cela signifie-t-il que les scénaristes préparent un prochain twist pour bousculer l'ordre désormais bien établi de la série. Une piste intéressante (même si une saison 6 plus courte serait aussi bienvenue : 24 épisodes, c'est trop long). Ion Gruffud (qui incarna Mr Fantastic dans l'adaptation - ratée - des 4 Fantastiques) incarne le tentateur dans cet épisode. Mardi : Mardi, sur France Ô, trois nouveaux épisodes de la saison 6 de Lost. On continue d'aller et venir entre les deux réalités. D'un côté, la créature qui a pris l'apparence de Locke envoie Sawyer sur l'île voisine où Charles Widmore et ses troupes se trouvent. De l'autre, le crash n'ayant pas eu lieu, Linus est poussé par Locke à prendre la place du proviseur de leur lycée en le faisant chanter, et Sawyer avoue à son partenaire policier les raisons de son séjour en Australie. Mais surtout, on découvre comment et pourquoi Richard Alpert, l'ancien chef des Autres, a acquis l'immortalité en étant au coeur du conflit qui opposa Jacob et "l'homme en noir" il y a très longtemps... L'ultime saison de la série arrive à sa moitié et les choses se précisent dans les deux réalités explorées par le récit, surtout en ce qui concerne les occupants de l'île - ou des îles devrais-je dire. Ce sont désormais Sawyer et la créature qui occupent le centre de l'histoire : ils ont le même objectif (quitter cet endroit) mais leur alliance est fondée sur une tromperie de l'un d'eux. Toutefois, c'est précisément avec le 9ème épisode qu'on en apprend le plus puisqu'il est entièrement consacré au mystérieux et immortel Richard Alpert, mais on en apprend des éléments décisifs sur le combat (à fortes connotations religieuses) entre Jacob et l'homme en noir, avatars du diable et du bon dieu, inscrivant Lost dans un registre plus symbolique que jamais. En fait, tout cela fait penser à la trilogie Matrix : même philosophie bon marché mais enrobée dans un divertissement addictif. Mercredi : Mercredi, sur France 4, Le Premier Jour du Reste de ta Vie de Rémi Bezançon. J'ai déjà vu et revu ce film sur une famille, ses joies, ses peines... Mais chaque fois je m'y laisse prendre. Bezançon a écrit une histoire avec beaucoup d'habileté, des trouvailles astucieuses, de la sensibilité, des idées de mise en scène stimulantes, qui font de l'ensemble une oeuvre très aboutie, qui vieillit très bien. Le casting est particulièrement remarquable, si bon qu'on n'imagine pas d'autres interprètes pour ces rôles : Jacques Gamblin, Zabou Breitman, Pio Marmaï, Marc-André Grondin, Déborah François. Et il faut être difficile pour ne pas avoir la gorge serrée à la fin. |
#458
|
||||
|
||||
L'Homme des Vallées Perdues, j'avais pas eu de bol à l'époque, je l'avais pris à ma médiathèque, mais le dvd était plein de rayures et devenait illisible vers la moitié du film. J'avais dû arrêter après la baston monumentale dans le saloon (où Alan Ladd est bien peu crédible, il rosse tout le monde alors qu'il fait un demi-Terence Hill). Et le gamin est particulièrement insupportable au début. Mais pour le reste ça me plaisait, je l'ia loupé sur Arte, pas de bol.
D'accord pour Le Premier Jour..., je l'avais revu lors d'une rediff sur la TNT et ça fonctionne toujours aussi bien. |
#459
|
||||
|
||||
Et c'est là, Wildcard, qu'est l'origine de notre mésentente fondamentale : Dans un tel cas, pour moi, je trouve que l'original a plus de valeur que les suiveurs, et la découverte de l'original enlève beaucoup d'intérêt aux autres et tout est réestimé à nouveau dans le contexte chronologique .
Dernière modification par Bill Mitchell ; 26/01/2014 à 18h36. |
#460
|
||||
|
||||
Arte continue avec les westerns de l'âge d'or, ce soit est diffusé Le Dernier Train de Gun Hill, très bon western de John Sturges avec Kirk Douglas et Anthony Quinn.
|
#461
|
||||
|
||||
Man on the Moon, meilleur biopic du MONDE
__________________
"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
#462
|
|||
|
|||
Il y a du vrai. Un vrai plaisir de le revoir il y a quelques semaines de cela.
On ne peut pas non plus tout bannir : Ed Wood, Raging Bull, Gandhi, Bird, le dernier empereur, Frida, Walk the Line, Lawrence d'Arabie.... |
#463
|
||||
|
||||
Raging Bull, plus ça va, plus la forme m'impressione et plus le fond lui me laisse complètement froid. je le trouve assez faible, malgré en effet la présence d'un point de vue artistique fort.
Je conseille Lenny aussi pour ceux qui ne l'auraient pas vu, biopic du comédien Lenny Bruce. Sinon, Ed Wood, meilleur et dernier bon film de Burton ouais. Le Dernier Empereur, aucun souvenir. Frida est beau et sympa, mais reste un film d'artisan sur une artiste. Gandhi, pas vu depuis des années, aucun souvenir. Bird, pareil. Walk the Line est sympa, ouais.
__________________
"That's some catch, that Catch-22," Yossarian observed. "It's the best there is," Doc Daneeka agreed. |
#464
|
||||
|
||||
C'est pas faux non plus.
En plus, on peut réécouter du Sugar. |
#465
|
||||
|
||||
Hier soir, vu ce doc sur Arte William S. Burroughs : A Man Within, je l'ai trouvé super intéressant, une vie bien sur incroyable avec une influence considérable dans de nombreux domaines...une vie de folie, on se demande même comment il a pu vivre aussi longtemps.
Si le doc passe en replay, je vous invite à le voir. Aux Etats-Unis, William S. Burroughs est considéré comme l'un des plus grands auteurs du XXe siècle. Inventeur d'une nouvelle forme de littérature, il est célèbre pour sa vie de débauche et ses romans mêlant drogue, homosexualité et hallucination. Chef de file de la Beat Generation avec Jack Kerouac et Allen Ginsberg, il a multiplié les oeuvres obscènes et dérangeantes, de «Junky» au «Festin nu», reflets d'une vie mouvementée. Cet homme «pas facile à aimer» comme le décrit l'un de ses proches, coupable du meurtre de sa femme et de négligences vis-à-vis de son fils, était sans conteste un artiste américain majeur...
__________________
"Le pape est une idole à qui on lie les mains et à qui on baise les pieds." Voltaire |
Tags |
séries tv |
|
|