Critiques VO juillet 2015

[scarletneedle]

Bin, pour Midnighter, Steve Orlando est gay. ^^

[cosmos]

Bi pour être exact ^^ Mais oui clairement il est déjà sorti avec des mecs, et ça se sent en lisant Midnighter : le titre arrive à représenter la vie amoureuse du héros de façon plus précise que... ben un peu tous les autres titres (même si ACO dessine des moments d'intimité très crédibles aussi et ne doit pas être oublié).

[scarletneedle]

Batgirl Annual #3
Voilà un Annual tout aussi dispensable par rapport à la série qu'indispensable à la lecture!!
Les auteurs font faire le tour du propriétaire de la Bat-Family à Barbara hormis Bruce et Damian via une intrigue certes facile mais racontée avec maestria.
Le ton est léger et enjoué (les différents artistes contribuent à l'ambiance), il y a plein de gimmicks (Dick Butt ) ou de références aux histoires en cours ancrant cet Annual (Spoiler, la Gotham Academy).
Ca se déguste et se refeuillette dans la foulée pour profiter du trait de Bengal, Lafuente, Doyle et Chen.
Très conseillé.

[archerhawke]

Reprise un peu de lecture comics. Hier je me suis fais plaisir en lisant :

We Stand On Guard #1 : j'en attendais beaucoup car les retours sont dithyrambique. Et je dois dire que j'ai été déçu ... de ne pas avoir le tome 2 pour enchainer. Une invasion du Canada par les US avec des bons gros méchas, c'est assez bandant. Si je ne suis pas super fan du dessin, il reste très propre, très clair et la couleur est parfaite. La première scène est excellente ! A Lire !

Barb Wire #1 : Parce que quand j'étais jeune j'aimais bien Pamela Anderson ... Bon, c'est pas glorieux, c'est pas moche, mais pas beau. C'est un numéro qui ne fait pas grand chose. Il y a un début d'intrigue, mais vraiment tout léger. C'est du Junk Comics ...

J'espère que je suis au bon endroit pour ces reviews express.

[Fletcher Arrowsmith]

	Citation:			Posté par archerhawke
	We Stand On Guard #1 :Si je ne suis pas super fan du dessin, il reste très propre, très clair et la couleur est parfaite.

Tu es au bon endroit et merci de ces retours. Ils ont été pris en compte dans l'Index critiques VO 2015.

C'est rigolo les retours (lu également sur le net ou entendu dans des podcast) qui diffèrent sur la prestations graphique de Steve Skroce. Il y a ceux qui l'apprécie plus maintenant, ceux qui le découvre (oui oui il y en a encore), et ceux qui préféré ce qu'il faisait avant (ces Gambit, Amazing Spider-Man, Wolverine, histoire sur Matrix).
En fait il y en a pour tout les gouts.
Perso j'aurais préféré une mise en couleur plus punchy car je trouve qu'elle affaibli le trait de Steve Skroce qui a quand même belle évolution (pas dans le sens Larocca ou Pacheco). J'ai ressorti ces anciens travaux Marvel pour comparer et apprécier (du X-Man/Cable, du Amazing Spider-Man avec un épisode de fou sur Electro, du Uncanny X-Men, du Wolverine, du Gambit).

[archerhawke]

Pour être honnête, je fais parti de ceux qui le découvre (dsl)... Je ne tomberai pas amoureux fou de son style, mais ça fait le taf.
Je ferai une review plus détaillé sur mon blog. Je verrai si j'ose poster le lien ici

[Dhargo]

Moi je compare plutôt avec son Frankenstein de chez Burliman et déjà là, je preferais son évolution par rapport à Gambit et Spider man.
Pour WSOG j'aime beaucoup mais moins que sur Frankenstein.

[EsseJi]

Superman #42 : il y a quelque chose de rassurant dans ce numéro. Tout d'abord sur le fait qu'on est assez éloigné de ce qu'annonçaient les teasers concernant la révélation de l'identité. C'est bien fait, très bien même et justement c'est le second point qui conforte, avec cette révélation on retrouve un instant un statut quo pas si éloigné de celui pré-New 52 avec l'entourage intime du héros enfin dans la confidence (avant que ça pète à la gueule du monde, et même sur ce point on peut commencer à deviner les motivations derrière l'article de Lois).
J'avoues avoir perdu de vu le Superman que j'aimais depuis le reboot, sous la plume de ene Luen Yang on y retrouve une sorte de parfum perdu. Surtout qu'il sait avancer de l'avant avec des menaces et des situations quasi-inédites.
Pour conclure la cover Teen Titans Go est de loin la meilleure de tout ce qui a été proposé sur ce thème et ça ne gâche rien au plaisir.

[EsseJi]

Auteur Sister Bambi #3 : Rick Spears sait avancer ses pièces avec conscience. Déjà pour la première mini Auteur le scénariste a su tromper son monde en écrivant une belle histoire d'amour sans que l'on ne s'en aperçoive, trop occupé à rire des situations comiques. Ici il applique la même méthode, d'entrée on comprend que le thème de l'épisode sera sexe et cinéma, l'absurde est même poussé au sexe du personnage principal qui s'exprime et vole la vedette. Et sans prévenir, au milieu de ce foutoir organisé, on tombe sur une réflexion sur la représentation des transsexuels, de la compréhension ou pas du grand public envers ceux qui prennent la décision de changer de sexe, et comment le cap de l'opération est franchi pour certains. Bon ici c'est The Auteur, donc l'opération pour donner à un homme des attributs féminins se fera dans un studio de cinéma pour l'intégrer à un film, à la place des zombis désuets.
Le seul vrai bémol est que James Callahan n'est pas à son niveau de la première mini, la force de son trait est là mais ça manque de précision. Cela dit dès la fin de cette deuxième mini je vais scruter attentivement les annonces d'une troisième.

[archerhawke]

Je ne suis pas certain que les comics suivants soient sortis en Juillet, mais je suis certain qu'ils ne sont pas sortis en Aout du coup je post mes mini reviews ici (avant de faire de plus gros articles sur mon blogounet) :

Red Sonja #1973 : One shot célébrant les origines de notre chère rouquine qui a commencé ses aventures en 1973. Pour l'occasion plein d'artistes se sont regroupés avec entre autre Roy Thomas et Gail Simone. On a donc droit à plusieurs petites histoires qui revisitent la jeunesse de notre héroïne. Vu le nombre de page, elles ne sont pas très développé et vont du très bof au passable... Quand on a payé 8$ pour un comics on en attends beaucoup plus. Le seul truc qui m'a plu c'est le titre d'une des histoire : "For Whom The Bell Trolls", clin d'oeil à une chanson de Metallica.

WALT DISNEY COMICS & STORIES #721 : Le retour des comics Disney chez IDW ! Je ne pouvais pas rater ça. Mais malheureusement je suis assez déçu car c'est un condensé de petites histoires. Alors il y a certes la première partie d'une histoire en 12 morceaux, mais c'est peu. Autre point, je ne m'attendais pas qu'un titre pour enfant soit si dure à lire en anglais. Les textes sont mâchés et finalement très difficile à lire avec des effets de prononciation dans les mots qui sont loin d'être immédiat pour moi.

Mickey Mouse #1 : Un peu comme au dessus, pas toujours facile à lire et je trouve ça dommage d'avoir des petites histoires d'autres personnages pour finir le comics. Par contre, l'histoire principale était plutôt sympa à lire et occupe 80% du comics.

Dans les 2 cas, je ne continuerais pas les séries Disney, car si je dois lire du mickey & co je préfères aller vers du vieux. Je n’exclus pas par exemple de me prendre le HC des vieux strips Donald Duck qui va bientôt sortir.

[Fin Fang Foom]

PREZ #2

Scénario de Mark Russell, dessins de Ben Caldwell et encrage de Mark Morales et Sean Parsons.

Pour une fois que le second épisode d'une série m'emballe plus que le premier, il faut que je vous en parle.
Prez, c'est l'histoire d'une jeune américaine de 19 ans, Beth Ross, qui se retrouve malgré elle, suite à un buzz sur le net, candidate à la présidence des USA en 2036. Tout en étant une satire du pouvoir et de la république actuelle, l'histoire montre bien comment est élu un président des USA avec ses ballottages et ses votes au nom des états. La série dresse un portrait sans concession de la société américaine qui semble avoir perdu à la fois ses règles de morale et de devoir : les sénateurs et représentants du pouvoir se moquent bien du peuple et continuent à promettre des tas de choses afin de faire élire un pantin insignifiant. Face à cette décadence et à ce monde pourri, les auteurs, à travers le regard jeune et innocent de Beth, tentent d'apporter un certain espoir et une certaine réalité des choses, comme c'est le cas en page 2 avec la citation suivante : "un empire qui ne change pas avec le monde ou qui se retranche dans la grandeur du passé est appelé à mourir".
Cet épisode, rudement bien mené et écrit avec de bons dialogues, donne envie de connaître la suite et j'espère que cette série rencontrera un certain succès critique, car elle sort vraiment de l'ordinaire parmi les séries DC récentes.

[Fletcher Arrowsmith]

Oui pas mal ce Prez #2. Je continue pour l'instant. Une série qui aurait eu sa place chez Vertigo assurément.

[scarletneedle]

Ok, ok, tpb pour moi....

[doop]

pareil

[JB]

	Citation:			Posté par archerhawke
	Red Sonja #1973 : One shot célébrant les origines de notre chère rouquine qui a commencé ses aventures en 1973. Pour l'occasion plein d'artistes se sont regroupés avec entre autre Roy Thomas et Gail Simone. On a donc droit à plusieurs petites histoires qui revisitent la jeunesse de notre héroïne. Vu le nombre de page, elles ne sont pas très développé et vont du très bof au passable... Quand on a payé 8$ pour un comics on en attends beaucoup plus. Le seul truc qui m'a plu c'est le titre d'une des histoire : "For Whom The Bell Trolls", clin d'oeil à une chanson de Metallica.

Le titre fait peut être référence à Hemingway ("Pour qui sonne le glas") avant tout, non ?