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La saga des Ombres met sur le devant de la scène, Bean, et La Stratégie de l'ombre raconte les évènements de la stratégie Ender de son point de vue. Jolie parallèle
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Ne vaut il pas mieux lire le cycle ender d'abord puis le cycle des ombres?
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Les deux divergent assez (mais je n'ai pas tout lu). Mais les premiers de chaque cycle arrivent à la même conclusion et quand tu as bien en tête les évènements c'est très sympa de voir comment Bean les a perçus (en plus d'en savoir plus sur le personnage et son enfance, qui ajoute à l'univers crée par OSC). En fait tu fais une légère parenthèse.
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Thanks arrow. J'ai ajouté ce tome dans ma wish list!
Entre temps, je dois lire 1984 et dome 1-2...
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. La Stratégie de l'Ombre est bien plus intéressant. |
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La voix des morts est très bien il paraît mais la suite plus faible. Non ?
La stratégie de l'ombre, je connais moins
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Je viens de finir la stratégie d'ender. C'est tres tres bon !!! Je lirai sans doute la suite la voix des morts et la saga des ombres. C'est de la SF certes mais c'est surtout diablement humain. Les relations humaines sont toujours sur une corde et on frissonne à chaque lien avec Valentine et ses amis...
L'issue de ce tome est bien amenée et reste une belle trouvaille... À suivre donc 😉
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De Card, je conseille toujours les Chroniques d'Alvin le Faiseur (10 ans que j'attends le septième et dernier tom) ainsi que la Rédemption de Christophe Colomb (qui devait être le premier tome d'une série "L'Observatoire du Temps mais dont on a jamais vu la suite)
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Sur les conseils d'arrow, je commence la saga des ombres
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et ce premier tome est très bon également ...
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Choppé en occaz comme lecture de vacances, j'ai donc lu la séparation de Christopher Priest.
Cela faisait trés longtemps que je n'avais pas eu autant de mal à finir un bouquin. Je n'ai pas lu le prestige, ni aucun de ses livres. J'étais donc plutôt neutre sur l'auteur. Uchronie, récit qui part sur un fait assez intéressant la capture de Rudolf Hess, et la quatrième de couverture avec les nombreuses récompenses, je partais enthousiaste. J'ai trouvé ça long et fastidieux ces allers retours entre les 2 réalités d'autant plus que les je n'ai eu aucune empathie pour les jumeaux. L'auteur semble ouvrir une piste la gémellologie, un double de Hess serait capturé mais finallement cela n'a plus d'importance dans le récit... Le final avec si c'était qu'un rêve...je me rappellerai toujours avoir gamin eu une mauvaise note en utilisant ce rebondissement "facile". Même si c'est globalement bien écrit (les séquences d'aviation ou les bonbardements), j'ai pas aimé (ou alors je suis passé totalement à coté) Au plaisir d'en discuter si certains d'entre vous y ont vu un brillant livre.
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"Le pape est une idole à qui on lie les mains et à qui on baise les pieds." Voltaire |
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Ayant lu les deux tomes dans la foulée, j'ai l'impression d'avoir lu 2 fois la même lecture mais sans les surprises... Je préfère le personnage d'Ender à Bean et je trouve que ce parallèle démystifie Ender... Alors oui, y a bien les clins d'œil et les points de vue divergents qui sont intéressants. Mais au final, ce tome me laisse un goût un peu amer...
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Pour moi c'est supérieur à la Stratégie Ender (bon en fait, c'est surtout très différent et incomparable). |
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Dans le torrent des siècles de Clifford D. Simak Je pense que j'ai trouvé ce bouquin en brocante, et j'ai surement dû l'acheter à cause du nom, qui me rappelait que je devais encore lire "Demain les chiens", chose que je n'ai toujours pas faite... Et j'ai été complétement pris au dépourvu, moi qui m'attendait à un bouquin de SF classique. La première partie est complétement addictive avec des rebondissements à chaque fin de chapitre (chapitre qui parfois ne dure qu'une page), avec des personnages dont on ne sait pas s'il sont les personnages principaux ou non, rendant l'empathie assez difficile, surtout que leurs motivations restent très obscures. Mais une fois qu'on est sur les bons rails, ça part dans une autre direction, beaucoup plus réfléchie et posant des questions sur la nature humaine, quelques pistes religieuses, et tout cela admirablement bien écrit. Je comprends que l’œuvre de Simak soit décrit comme de la SF "pastorale" tant il arrive à insérer un environnement champêtre dans chacune des parties de son livre. Ce qui est également admirable, c'est la construction du livre qui repose sur le voyage dans le temps (je ne vous spoile rien en disant ça...). Malheureusement il s'attarde sans doute un peu trop sur l'aspect paradoxe temporelle et impossibilité de réécrire l'histoire, chose acquise pour un lecteur de 2015, mais sans doute pas pour un lecteur de 1951. Oui car ce qui fait aussi le génie de ce livre c'est qu'il ait été écrit seulement 6 ans après la seconde guerre mondiale, et il garde une modernité incroyable. Il faut quand même relever que certains éléments anachronique m'ont fait un peu sortir de la lecture, tel que les téléphone à cadran, les bottins ou la presse papier en l'an 3000... Le message est relativement optimiste tout au long du livre, ce qui fait du bien en ces temps un peu sombres. Cela dit en refermant le livre, j'étais partagé entre optimiste total et pessimiste profond, tant le retournement final nous mets mal à l'aise, à nous poser des questions sans réponse quand à la place de l'homme. Un bouquin de SF que je recommande, sans doute pas un chef d’œuvre, du fait de cet hétérogénéité, avec un début très SF feuilletonnante pour une seconde moitié plus philosophico-religieuse, mais une agréable lecture qui du haut de ses 310 pages (dans l'édition J'ai lu de 1973 dont j'ai mis la couverture) vous apportera un ratio temps de lecture/satisfaction bien plus que satisfaisant. |
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Il y a quelques mois, Madame Zen m'a offert le premier volume de la saga en me disant qu'elle espérait que ça me plairait.
Ben, je lui réponds que je l'ai déjà lu il y a genre 25 ans mais que le cadeau me fait très plaisir quand même parce que ça me donnera l'occasion de relire ce classique. Et je m'y suis remis aujourd'hui en me disant que si j'adhère toujours autant qu'à l'époque, je pourrais me refaire la totale de la saga en 2016 (la totale, euh... juste les bouquins de Frank Herbert, hein). Dès les premières pages, ce qui frappe, c'est la force immersive incroyable du truc. Ca démarre bien. Ce qui frappe aussi, c'est à quel point ce livre n'est pas conçu pour une adaptation à l'écran. Ca tranche avec tellement de trucs conçus et écrits aujourd'hui comme des pré-scénarios . C'est bien simple, dans les 100 premières pages, il n'y a que des dialogues statiques avec de longs tunnels explicatifs.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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livres, science-fiction |
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