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Ben oui, ça serait bien, qu'est ce que j'aime pas lire sur ordi....
Je veux bien le précommander, moi! $$$$
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Allez, plus qu'un chapitre, et tu pourras te ruiner..
Tiens, calcul rapide, approximatif et en direct (que de réalité virtuelle, diou!) Alors, format A4, 100 pages. (pas fait exprès) Donc, format grand livre (nouveauté), disons 140 pages. A, disons, quoi, 4 centimes la page en bonne photocop, ça nous fait gnnnnaaah 14 fois 4... prenons une marge, 6 euros. Plus une bonne reliure à la colle et une couv carton souple, ça nous le ferait, avec quelques euros dans ma poche, ohooooh, vous voyez tout le boulot??? 12,50. Ca m'a l'air jouable.. en plus un chti dessin perso en page de garde..
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si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#33
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File moi ton adresse en mp et je t'envoie un chécos de 12,50 avec ton body doubles!
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#34
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Holà holà holà.
Attendons que j'ai d'abord fait taper le reste pour 3 fois rien par une étudiante polonaise à gros seins, et corrigé le tout. Le manuscrit, pas l'étudiante.
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#35
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Pardon pardon.
Bon, le xième avertissement: Alors, ce qui amusant, là, c'est que j'ai pris comme modèle géographique de la ville de St Moulart (je vous jure que je n'avais pas songé à l'anagramme! ), le bourg de Chaufailles (Saône et Loire). Insignifiant au possible, même lorsque l'on y a loooonguement passé ses vacances d'été, il n'est apparu qu'une seule fois dans l'actualité: Au printemps 2001, après les municipales, on s'est aperçu que la Maire Divers Droite récemment élue était en fait au Front National. Je rappelle donc que 99% de ce livre a été écrit en 1998.
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III a Logique du tonneau et autres billevesées Bertrand Voisin détesta unilatéralement Henry Schwarzenführer dès la fin de sa première phrase. Ce matin d'un début septembre encore chaud, il s'était mollement moulé dans le siège bas de sa Ford Escort 88, un étonnant tas de boue dont le logique anonymat était brisé par son lustre bleu marine. Juliette, sa femme, l'avait choisi pour sa couleur après une série de transactions conjugales que Bertrand devait trouver "assez dégueulasses" à posteriori. Lui, de toute façon, n'achetait plus que des merdes : depuis la faillite de sa micro- compagnie de taxis, le dégoût se conjuguait avec frugalité. L'urgence ne le motivait guère, assez persuadé qu'il était qu'aucun employeur ne le guettait, avide, derrière les portes fumées de l'ANPE de Charolles. Il s’y rendait surtout pour la nostalgie du voyage, le ronron sécurisant du moteur, et les canevas lisses des champs le long de la départementale. Il fallait bouger, s’extirper des sables mouvants de la torpeur domestique, de la solitude enfant-école / Juliette-travail. Nulle vigueur particulière ne le poussait donc, en desserrant le frein à main. Il avait à peine entamé sa descente en roue libre sur l’allée de grosses dalles, qu’il dut contre-braquer en panique pour éviter au véhicule, soudain doté d’une volonté propre, d’escalader la haie de laurier. Choqué et incrédule, il stoppa juste avant le portail, puis s’extirpa de l’engin avec la vivacité de l’émotion. Il ne put hélas que confirmer la seule hypothèse qui lui vint à l’esprit : le pneumatique avant-gauche était scandaleusement à plat. Le salaud. La première réaction de Voisin n’en fut pas une : il contempla, l’esprit creux, le tore de caoutchouc vulcanisé à présent vide lui aussi. Il lissa du regard la tangente où le sol touchait la jante métallique et désormais inutile. Le rouge de la colère se matérialisa sur son front, puis il respira à nouveau. Prostré sur le mur de petite briques, il fit défiler toutes les causes possibles d’un tel épanchement sauvage, les écartant une à une, car elles n’offraient aucune prise réaliste à son abattement. Qui aurait pu crever son pneu, alors qu’il entretenait des relations inexistantes mais néanmoins cordiales avec le voisinage? Et, dans ce cas, pourquoi un seul pneu? Une micro- fissure aurait-elle pu s’étendre insidieusement , se propager et s’élargir, jusqu’à ce que, telle De Funès, PAF ? Avait-il pu rouler sur un clou suffisamment tordu, au propre comme au figuré, pour attendre la nuit pour percer? Pourquoi en savait-on si peu sur les mœurs nocturnes des polymères ? Pourquoi lui ? (Pourquoi maintenant semblait malhonnête, car il n’avait vraiment rien d’autre à foutre). Dubitatif, il envisagea brièvement que ses propres enfants aient pu commettre le forfait, ce qui ne l’aurait guère étonné de la part de tels petits monstres, expérimentateurs de tout et de rien, mais il se souvint que sa fille unique avait quatre ans. Si Bertrand possédait la faculté d’accuser le monde entier, il n’en était plus de même pour Juliette. Durant son adolescence, elle avait en effet partagé certains des traits de caractère de son futur époux, et n’avait en conséquence connu que de brèves et inachevées relations bibliques, dont une avec un fils de garagiste qui confondait avec ferveur fellation et fécondation. Juliette était pourtant belle et intelligente, mais d’une froide flamme, dure et fière, héritée de la folie de sa mère. Silencieuse à travers les âges de l’ingratitude, elle parlait peu, et rarement sans blesser. C’est donc peu dire que Juliette, lorsqu’elle s’inscrivit à la Faculté des Sciences de Lyon, trouva en Bertrand l’âme soeur. Terme d’autant plus adéquat que celui-ci était alors traversé par une phase de féminisme radical qui lui laissait à penser que, ma foi, l’exécution simultanée de tous les dirigeants mâles de la planète et leur remplacement par des femmes de haute politique ne pouvait pas être un acte totalement fasciste. Débarrassés de leurs derniers boutons, les deux jeunes étudiants s’en donnèrent à cœur joie, mais leur amour de bernard-l’ermite biplace ne les ouvrit en rien sur le monde et ses représentations. Cette brillante harmonie dut quelque peu vagabonder lorsque le destin frappa son second coup : l’oncle de Bertrand, gérant et chauffeur unique de la Compagnie des Taxis Molartais, venait de passer le clignotant à gauche. Vers la fin de la brève cérémonie funéraire, Bertrand eu la première illumination de sa vie, et elle s’épelait o-p-p-o-r-t-u-n-i-t-é. Foutu pour foutu (il ne se voyait guère d’avenir derrières les frêles éprouvettes et les acides retords), autant essayer de gagner un peu de fric. L’oncle étant sans enfant, Bertrand se débrouilla pour hériter de l’affaire. Cinq ans plus tard, il déposait le bilan : dans la campagne à vaches, même les plus cacochymes paysans avaient fini par acquérir un tacot, et les plus vieux étaient, eh bien, morts. Juliette, enceinte après sa seconde année de maîtrise (financée par les rares bénéfices de la compagnie de Bertrand), avait du rejoindre son époux. La naissance de l’adorable Emilie, et la litanie des petits boulots –vendeuse ici, secrétaire là- la transformèrent lentement mais sûrement. Aveugle à son propre glissement, elle ne trouva guère de raison de lutter. Celle qui poussait les lourds volets rouillés au petit matin n’était plus une froide jeune fille, mais une mère angoissée qui supportait assez mal les plaisanteries qu’à elle seule Bertrand destinait. Le monde n’était plus méprisable, il était obscur et dangereux ; une sourde machine à broyer l’arrogance de sa jeunesse, éparpillée dans la médiocrité rurale. Bertrand avait donc assez mal vécu les deux dernières années. Certes, pour l’instant, un problème plus concret laminait la concurrence. L’impuissance paralysait Voisin, et avec elle la pensée hautement refoulable qu'il allait bien falloir changer cette putain de roue. Il valait mieux en effet éviter toute possibilité de terreur domestique : la fainéantise se classait en assez bonne place parmi les qualités masculines les moins appréciées de Juliette. Il s’agrippa à cette motivation conjugale. Il grimpa l’escalier coudé de sa vieille villa, sortit ses clefs, ouvrit et souffla. Son cœur déjà gras battait d’un rythme peu sportif. Il contempla quelque instant la nappe de la cuisine encore saupoudrée des brisures du petit- déjeuner. Emilie, dans sa jeune fougue, en avait encore mis partout, et il nettoierait plus tard. Il appliqua son énergie visuelle à tenter de rejoindre mentalement les miettes en une belle croûte courbe de pain noirci. Tout allait finalement assez bien, nonobstant bien sûr le prix à coup sûr exorbitant d’une réparation pneumatique. D’abord, le temps à gâcher à l’ANPE charolaise fondait de façon sublime, en admettant même qu’il y aille ! Le frigo béant laissait voir, du sommet opalescent au sombre bac à légumes, pas grand chose. C’était vendredi. Jouxtant les petits suisses bourrés de fruits de sa progéniture, une tarte à l’abricot. Il n’avait pu la finir, et les aléas lui octroyaient à nouveau quelque appétit... Il mangea debout, ou plutôt engloutit, penché au dessus de la table, pour recueillir les éclats de pâte feuilletée. Assez bonne margarine. Le robinet de l’évier lui permit de se rincer les dents. Il resta quelques secondes pensif sous le néon au son de ruche.
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#37
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La rue Deschwartz offrait certes une belle pente, mais devant chez Voisin, elle plongeait tout de même moins que l’allée de sa villa. Il amena donc le tas de ferraille en roue libre le long du trottoir, derrière les poubelles. Un calme profond, humide, terreux suintait des odeurs de la rue. Du haut de la rue Deschwartz, on peut admirer… le bas de la rue Deschwartz! pouffa-t-il intérieurement. C’était vraiment un village de rien, un dernier baiser du XIX ème siècle posé sur les rares cartes qui voulaient bien le mentionner. Cela sentait les platanes et le diesel, et, comme une grosse centenaire, ça avait l’air étonnement immortel. Une brusque appréhension ramena Voisin à la réalité lorsque le coffre s’ouvrit dans son chuintement pneumatique : miracle, tous les outils étaient bien là. On aurait vraiment tout vu.
Le soleil commençait à taper, et Bertrand regretta une fois de plus l’absence de végétation devant chez lui. Les vieux platanes fendus, survivants de plus d’avanies qu’un haut dirigeant soviétique, était plantés plus bas, et descendaient en rang irréguliers vers la Place De Gaulle régulière. Bertrand avait sorti la roue de secours lorsqu’un cri affreux propulsa son crâne contre le haillon. Assez douloureux et blasphématoire, il vit apparaître en flou à l’avant de la voiture la forme torve d’Henri Schwartzenführer, qui avançait d’un pas résolument lent. Rien n’allait mieux. Bertrand ne savait absolument rien sur Schwartzenführer, mais ce qu’il en savait lui inspirait la plus grande méfiance. Depuis peu installé dans la bicoque en aval des Voisins, le vieil homme semblait un tonneau de 12° posé sur deux jambes arquées, et n’appelait guère à l’amitié. Il était vraiment vieux et maussade, fumait avec amertume et sadisme, et il émettait divers bruits corporels. Il était laid. - Hoooô, besoin d’un coup de main, Voisin ? lança le tonneau en rigolant, et sans aucune intention d’aider quiconque en quoi que ce soit. - Merci, mais j’ai presque fini, maugréa Bertrand au minimum vital de la civilité. C’est une vraie saloperie, mais.. - Qu’est-ce qui vous est arrivé ? Bertrand songea à poser la roue de secours, qu’il tenait comme si elle était contagieuse, pour examiner la question. Même un abruti fini comme Schwartzenführer pouvait déduire des faits présents la crevaison du pneu, et le caractère récent de l’incident, puisque Bertrand était devant chez lui… Comment les gens pouvaient-ils poser des questions à choix unique ? ? Fatigué et dégoulinant, il décida de rester coi et de terminer l’opération au plus vite. - En tout cas, vous avez fait un drôle de boulot. Vous vous en êtes mis partout, on dirait un nègre ! - AH, Putain ! Bertrand venait d’accentuer au maximum sa vitesse de vissage, forçant de toutes ses grimaces colorées. Bien qu’il aimât parfois voir, à titre expérimental, jusqu’où l’on pouvait pousser la bassesse humaine, il évita de relancer l’ignoble. - Non, en fait, vous êtes pire qu’un nègre, puisque vous êtes un blanc déguisé, en fait ! Voisin faillit s’énerver. La tentation d’utiliser la grande clé en croix, non comme instrument christique, mais plus singulièrement comme pal, s’accompagna d’un gémissement proportionnel à la résistance du dernier boulon. Il ne se souvenait pas d’un tel effort de contrôle dans toute sa vie. Le problème, c’est qu’aucun silence n’avait jamais arrêté un Schwartzenführer. - Vous n’êtes pas vraiment noir, au moins, ha ha ? Bertrand se surprit avec dégoût à répondre par la négative. - Tant mieux, essayons de garder au moins ce quartier décent, l’acheva l’autre. Trop maladroit pour prétendre à l’assurance qu’il comptait afficher, Voisin se releva en titubant. Dans une dernière tentative pour intimider l’effroyable sexagénaire, il se plaça beaucoup plus près de lui que la bienséance ne l’exigeait. A sa grande horreur, celui-ci approcha encore plus près son visage gonflé, avec un rictus de connivence. - Dites, j’aimerais bien vous voir au Conseil des Saint-Moulais. Ca se tient une fois par mois, chez Gaspard Lopez. Rien que des vrais français, pour rêgler les vrais problèmes du village, vous voyez ? Bertrand ne voyait que trop bien, et était enseveli sous le sentiment qu’il ne parviendrait jamais à insulter cet être invraisemblable. Schwartzenführer semblait défigurer tout le paysage. Bertrand fit l’ultime effort : - J’y penserais, j’y penserais bien, finit-il par murmurer, se retournant vers sa voiture pour signifier la fin de l’étouffant monologue. - On compte sur vous. Plus nombreux nous serons, plus forts nous …euh… serons !
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#38
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En fait, Henry Schwartzenführer n’avait besoin de personne. Jamais. Il s’était méfait tout seul, avec fierté, tout au long de sa banale existence d’employé de la Poste du village. Sa retraite bien méritée représentait la somme algébrique de tous les regrets de sa triste vie, fatras invraisemblable d’occasions manquées et d’échecs parfaitement aboutis. Le premier de ces regrets, de par la chronologie, était de n’avoir commencé son sacerdoce que bien après la Libération, et de n’avoir donc pas pu acheminer tant de lettres de dénonciation.
La délation, chez Henry, se situait entre l’acte de foi mystique et le hobby patiemment hissé au rang de discipline olympique. C’était une merveille d’outil de civilisation, un rouleau- compresseur social certes empirique, mais tellement efficace – bien que l’Henry n’y pensa jamais en ces termes précis. Pour lui, c’était d’abord extrêmement jouissif. Quand la simple qualité de sa lettre, ou la personnalité vraiment inique de la victime atteignait des sommets, il flottait dans un état de grâce quasi-orgasmique au moment de confier la missive à ses anciens collègues ignorants. Quelquefois, il avait même l’honneur d’une enquête de cette Putain d’Administration, comme lors de son chef-d’œuvre de 1997, où il avait réussi à faire fermer trois jours la cantine de l’école primaire du village, qui abritait selon lui un empoisonneur vietnamien. Mais ce qui plongeait l’Henry dans une permanente plénitude, c’était que la délation était tolérée par la loi. En tout cas, on n’avait jamais entendu parler de quelqu’un condamné pour ça, hein… alors qu’il se doutait bien que l’on ne lui laisserait guère le loisir d’essayer gaillardement ses plus beaux fusils sur l’Immeuble des nègres. C’est lui qui avait ainsi baptisé le 25, rue Desbiens (un bâtiment des années soixante qui logeait entre autres trois familles marocaines et un tchèque), lors d’une mémorable assemblée du Conseil des Saint- Moulais. Schwartzenführer pensait aussi que l’on brimait ses libertés fondamentales en l’empêchant d’aller corriger à sa manière les petites salopes, groupe hétérogène comprenant toute jeune fille au minimum coupable d’afficher des photos d’hommes nus dans sa chambre, comme il l’avait vu une fois à la télé. Doté d’une telle expérience en fascisme latent, Henry ne se faisait guère d’illusions sur l’aléatoire recrutement de Voisin. Malgré son air somme toute assez métropolitain, celui-ci paraissait suspect. D’abord, il était trop grand, bien plus que lui, il utilisait souvent des mots inconnus et il habitait trop près. Si près même que son mur n’était qu’à deux mètres du sien, et Henri devait parfois allumer la lumière de la cuisine en plein jour ! Vraiment, il faudrait une loi pour interdire les Voisins, rigola-t-il presque à haute voix. C’était d’ailleurs là une autre faiblesse dantesque de Bertrand : Henry l’appelait toujours exprès par son nom, pour qu’il ne sache jamais s’il s’agissait du nom propre ou commun, et il ne mouftait pas, ce con ! Bon Dieu… Mais alors, la petite… Si une qualité externe rédemptait Bertrand aux yeux d’Henri, c’était bien sa femme. Il ne ratait aucune occasion de la saluer avec familiarité lorsqu’elle rentrait du travail, ou mieux encore quand elle s’employait à quelque activité fantasmatique comme l’étendage du linge. Bien qu’il sentit qu’elle le méprisait avec sincérité, Henri suintait d’une tendresse toute paternelle envers Juliette, qu’il aurait bien besogné en levrette sur la machine à laver. Dès le premier regard, elle lui avait paru d’une douceur si familière.. En tout cas, s’il parvenait à convertir Voisin, il devrait pouvoir s’incruster chez lui, et ainsi reluquer à loisir et la langue pendante le délicieux cul rond de la jeune fille. Profondément ému à cette poétique pensée, il allongea son pas arqué vers le bar de la place. Bertrand, immobile et fumant, vit le Playmobil fasciste disparaître, buste en dernier, derrière la pente du trottoir.
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#39
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Et voilààààààà.....
Vu la forme que j'ai, malgré la grippe, le reste du chapter 3 dans une semaine! ..vous vous rendez compte que plus de 12 éditeurs ont réfusé cette merveille????
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#40
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plus qu'impressioné
quelle bande de nul!!! Il ne savent pas recconaitre le talent!
Moi j'ai qu'une chose a dire Et puis on sent le vecu quand meme . Le petit facho il est plus vrai que nature |
#41
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Ah pourtant, je l'ai completement inventé.
C'est même quasiment le seul perso créé de toute pièce de tout le bouquin. Eeeehh, mais c'est Marsh Allaw!
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#42
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Parceque si tes modèles sont tes proches...euh....
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"Veuillez ne pas tenir compte de ses élucubrations post-modernes. Merci, bonsoir. |
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..ça ne change rien au fait qu'il faille le retaper..
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comme j'aime pas lire non plus sur l'ordi, voila le word des deux premiers chapitres
http://membres.lycos.fr/elephantdeme...ypocalypse.doc gilles, si tu n'as pas de ftp je veux bien t'héberger la suite sans problème sinon je l'enlèverais de mon ftp bien sur, de toute manière il n'est visible nulle part on line à part ici
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It's no small thing to bring Darth Vader to his knee. On some worlds, it might be the stuff of legend... But it's not enough ! Adventures beyond the greatest space-fantasy film of all ! |
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