La Nuit du Chasseur

[Oromasès]

Bonsoir, ZAIT.

Merci d'être revenu faire un tour du coté de chez "ta" Nuit du Chasseur.

Euh ...l'Histoire dont tu parles, c'est celle de la mystérieuse Tablette d'argile pétrifiée, je suppose ?

[Oromasès]

Hum hum, abandonné comme ça au stade préliminaire où il fait rien qu’à piétiner, le Cycle de La mystérieuse Tablette d’Argile pétrifiée revu et corrigé par le petit bout de ma Lorgnette fatale court maintenant le risque de sentir la poussière bien avant le « t » terminal annoncé.

Stade ? Voila le mot encourageant qui peut me la faire repartir enfin du bon pied, la machine à remonter le temps d’un fort curieux modèle.

Seule et bonne condition physique à respecter : dénicher vite (oui, très vite !) « le » sprinter chevronné capable de chasser sans faux départ, l’Inertie par trop naturelle de l’autre espèce d’« engourdi confortable » là, comme il a déjà été qualifié durant la relance de son mouvement initial.
Dommage quand même que cette dernière (lanterne rose ?) n’ait pas produit le carton escompté ...à rebours !

Et pour cause, si le ci-devant non agité du bocal restera toujours partant dans le couloir statique, c’est pas du tout le genre à se retourner sans arrêt. Surtout pour voir rappliquer sa réplique dynamique au galop !

Reprise du Tissu d’intrigues bicolore … microfibres en l’occurrence, d’où… prises d’air objectives facilitées :

Quatrième volet- cf. le Strange 68 du 5 Août 1975.

Sur le total des 8 couvertures qui renferment le Cycle en cours de revue, voici la 1ière des 2 qui met en vedette celui qui n’a jamais froid aux yeux, l’Homme sans Peur tout de rouge vêtu aux petites cornes sur la tête. Et comme ce dernier détail piquant le laisse supposer, le casse-cou revendiqué aura en effet tout au long de son intrépide carrière quelques menus soucis de fidélité avec la gent féminine.
Mais que notre Sympathy For The Devil (1st ) ne s’oriente pas que du seul point de vue exclusivement masculin* . À ces Dames, le Diable en collants n’aurait-il pas caché de coupables penchants ZOophiles ? Envers l’espèce féline, notamment. Pour preuve, nous le surprenons ici dans quelque impasse mal famée en plein rendez-vous nocturne avec une Black Panther (Hi, Soul Brother !.. 2nd ).
Et encore, l’impérieuse correction (quelle politique autoritaire !) de la Lorgnette - dont j'use et abuse - me défend de ZOomer plus avant sur l’enfant que le vieux pote à Ka-Zar porte dans les bras ( Hi, Pirate Brother !). À fins de confirmer cette incroyable suspicion, un second ap-point-ment (pour la partie centrale, trouver une tâche de léopard) est d’ores et déjà fixé (au format 17cm X 24cm)pour le trimestre suivant.
Que Mère patience vous arme donc à nouveau, chers complices d’investigations. Après tout, votre serviteur l’a bien fait lui en son temps reculé … Gaffe de pas bouffer trop vite le coté suspense de la Tablette !





L’épisode s’ouvre sur l’Araignée revenu dans l’appartement qu’il partage avec Harry Osborn. On le voit assis au bout de son lit, torse nu, le dos courbé et sans masque.
Sous le masque jeté sur un angle de la couette, on reconnaît d’ailleurs la fameuse Tablette d’argile pétrifiée qui émerge du petit sac à dos (pour son utilité, ça coûte rien de rouvrir le troisième volet) lui aussi posé négligemment à même la moquette.


Cette attitude particulière de Peter Parker nous le dévoile donc fort dépité en train de se remémorer les évènements tragiques du début de soirée.
Il se dit que J. Jonah Jameson avait peut-être raison de qualifier Spider-Man comme un « Danger Public » dès l’aube de sa carrière.


Rappelons que le bouillant Directeur du Quotidien a été laissé pour presque mort à la toute fin de l’épisode précédent suite au comportement assez déroutant faut bien l’admettre, du dit Super-héros controversé, comportement qui serait sans doute qualifié aujourd’hui de « border line ».


L’intéressé n’a pas non plus réussi à se débarrasser de cette « maudite Tablette » dont les autorités ont beau jeu (matériellement parlant) de l’accuser du vol. En effet, n’est-il pas le dernier avec qui on l’a vue après la défection précipitée du Caïd ?


Mais les pensées pessimistes de Peter sont interrompues par l’entrée soudaine de son co-turne car Harry rentre au plein milieu de la nuit d’une party où il était en compagnie de Mary-Jane Watson, alors sa girl-friend du moment.


Conséquence immédiate : une subite montée d’adrénaline pour le neveu d’origine modeste qui cohabite avec ce fils de bonne famille car le premier porte toujours ses collants bicolores sur les jambes alors que le second est sensé tout ignorer de cette seconde vie !
Déveine et contention ! En plus, il faut vite récupérer le haut du travestissement rouge et bleu que son propriétaire impulsif avait lancé dans l’intervalle à l’autre coin de la pièce. Ouf ! Le jeune homme surpris dans l’obscurité en mauvais post …non mais, quelle absurdité dis-je encore là ? () ...en mauvaise posture n’aura pas poussé la bévue jusqu’à se soulager également des lance-toiles salvateurs qui lui cernent les poignées.


S’en suit la courte scène de huis-clos Hitchcockien suivante. Elle est également riche d’enseignements comme il sied à toute bonne chambre (pas une chambre de bonne, c’est clair) d’étudiants qui se respecte autant qu’ils se respectent :

Lumière !

La tension étant retombée, chacun peut vaquer à ses propres occupations. Grosse fatigue pour l’un (Sacrée M-J, va !) et pour l’autre, reprise non pas de son costume mais de son esprit pratique avec cette fois, l’aide du fluide révélateur plutôt qu’arachnéen.


Carton plein (là, MOI être un peu jaloux), la chance tourne ! D’abord, les photos de la dernière chasse à la Tablette sont parfaitement nettes (comme on dit sur la toile). Ensuite, elles peuvent aider à prouver l’innocence de l’Araignée.


Bon, OK ! Mais qui va les acheter maintenant que J.J.J. est dans un lit (voire dans un casier !) d’hôpital ?


Eh bien, c’est sur cette question laissée en suspens (comme la volute qui survole quelque petit foyer éminemment rassurant) que surgit le protagoniste invité exprès (merci d’en bien prononcer le « s », SVP) pour la circonstance.


Spider-Man et lui appartiennent d’ailleurs au club très fermé (sauf quand on en trouve vite la sortie) des Surhommes dont l’Opinion Publique poussive par nature, peine toujours à savoir si c’est des « Heroes » ou des « Villains ».


Le type en question ne porte pas pourtant de masque, lui. Mais manque de (coupe au) bol, il arbore 2 grandes cornes suspectes sur la tête. Des accroche-cœurs (accroche-toi, coureur !) taillés dans ses cheveux déjà tout blancs bien qu’à l’évidence, sa jeunesse musculeuse nous le signale encore très très loin de l’âge limite d’où partent les vaillants Seniors qui pointent dans la catégorie « vétérans ».
Bref, une sorte d’athlète survitaminé et vaguement albinos. Ce qui n’est guère rassurant non plus lorsqu’on connaît la méfiance manifestée par nombre de sociétés primitives comme évoluées (homo-superiors ?) rapport à cette supposée singularité génétique.


Néanmoins, pour faire vite changer d’avis tous les cerveaux rétrogrades qui défendent des avis aussi arrêtés, le nouveau participant sollicitera à n’en pas douter, le concours de sa sœur jumelle. Suffit plus qu’elle paraisse dans l’éclat de sa vision écarlate, la belle sorcière qui ne se transforme jamais en crapaud (enfin, j’en mettrais pas ma langue baveuse à couper !) :

Trêve de conte de fées, Vif-Argent arrive ainsi en ville pour se racheter une conduite. Non, pas une conduite intérieure, genre la célèbre Lincoln Continental qu'on associe à un certain « Cannon »** masculin (Isn’t it Frank ?). C’est de son redorage de blason qu’il s’agit, bien sûr.


Faut dire que l’étoffe du véloce a un pressant besoin de faire revenir ses couleurs d’origine comme le chantera bien plus tard le grand frisé parfois silencieux*** qui scandait ses 10 Ans pile dans le poste lorsqu’en parallèle, les plus vieux Fans de Strange (alors teen-agers pour la plupart) découvrirent cette histoire.


Car l’aventure s’inscrit dans cette continuité épique où malgré une durable amnistie au sein des puissants Vengeurs, Wanda et Pietro durent renouer contraints et forcés, avec la Confrérie des Mauvais Mutants qui gravitait derechef (attraction oblige) autour de leur perfide père de substitution : Magnéto!


Le couple désorienté est parvenu à s’échapper de la forteresse de l’hyper magnétiseur fusionnel. Une citadelle insulaire détruite par la force conjuguée des Vengeurs et des X-Men. Notons qu’à cette dramatique occasion, ces derniers commençaient à peine leur deuil (virtuel) de Charles Xavier, autre père de substitution.

Cela relaté en flash-back, sans trop vouloir rebondir coté obscur, sur une pernicieuse trahison interne de la part du petit félon déjà mentionné plus haut qui sapé comme un fou du roi ayant égaré son bonnet à grelots, s’auto gargarisait jusque là et jusqu’à plus soif de sempiternels « Bravo, Maître ! » …aussi imbuvables que l’eau vaseuse avec laquelle on ne pouvait pourtant que l’associer. Ce qui n’empêche pas le bouffon de coller désormais aux basques des faux jumeaux transylvaniens …Ah oui ! Les Balkans, ce pays bien connu pour ses châteaux et ses rapprochements consanguins.



Fin du flash-back : Vif-Argent s’introduit dare dare (de ville ...Hi Hi Hi) dans le Q.G. des Vengeurs où il espère plaider la cause des siens (le petit crapoteux inclus, donc).


Manque de pot bis (peau noire, en vérité), Jarvis-le-fidèle-majordome-qui-ne-perd-ni-la-face-ni-son-sang-froid, rencarde l'inattendu visiteur (gare au clin d’œil à triple détente !) en une fraction de seconde : les hôtes privilégiés de ces lieux sont tous partis en Afrique pour apporter je crois, leur soutien politique (gare au gorille …blanc ! ) à leur membre récent et couronné qui est originaire de là bas.
Tiens ? Quelle coïncidence ! Ce seyant personnage félin s’est invité d’entrée de lui-même quand je me suis (beaucoup) amusé à faire une description littéralement subjective pour le coup de la jolie couverture qui contient ces 20 pages fulgurantes … entre autres.


Fort dépité à son tour, l’adversaire maintenant plus que pressenti de l’Araignée arpente bientôt les pavés new-yorkais sur le mode ralenti lorsque contre toute attente, une botte de l’édition du soir du Quotidien lui tombe quasiment sur les pieds …qui sont même pas ailés, vu qu’un dénommé Flash l’a doublé depuis longtemps pour prendre l’« option mercurienne ».


Non mais pas possible ! La « une » affiche encore « Wanted Spider-Man » comme la veille ! Si je voulais disputer le sérieux du rédacteur en chef, j’avancerais que ce brave fumeur de pipe aux cheveux crépus profite un peu de l’absence de son redoutable boss coupé à la brosse préfèrant les cigares (Excelsior !), pour buller un brin.


Robbie Robertson prend justement des nouvelles de l’irascible éditeur.
Ouf ! Plus de peur que de mal, « Monsieur Jameson va aussi bien que possible, il a seulement subi un choc» (This is a doctor talking now), même que J. Jameson Junior - l’astronaute - est là aussi.
Outre les politesses échangées (« - Avec vous, l’affaire est entre de bonnes mains, Rob ! Mes amitiés à votre femme et à Randy - Je n’y manquerai pas ! »), les deux hommes doutent fort que l’Araignée soit l’unique responsable du traumatisme dont souffre leur proche. La chance fortuite du tisseur semble donc conserver son orbite.


Le lendemain matin d’une soirée passée à s’interroger avec son épouse Martha sur l’avenir de leur fils un tantinet rebelle (but … The Times They Were A Changing), Robbie retrouve le bureau du Daily Bugle où un Peter Parker fort fébrile l’attend déjà tout impatient qu’il est de lui montrer ses clichés.


Clichés explosifs (!), comme le constate aussitôt le patron par intérim éberlué, bien qu’il ait encore le sang froid de ne pas desserrer les dents (plus blanches que blanches par effet de contraste) qui pincent toujours fermement le tuyau de sa bouffarde.


Réaction : « Miss Brant …On lâche tout, on appelle la rédaction et on refait la première édition ! ». Ah, que je suis soulagé rapport à la réserve que il y a peu de lignes, je m’étais permis d’avancer sur le professionnalisme de ce bien brave bonhomme.
Les photos disculpent non seulement l’Araignée et accablent le Caïd mais elles prouvent de façon certaine que les jeunes manifestants n’étaient pas dans le coup. En conséquence, le fiston Randy ne risquant plus le « casier », voila le « rassurant » rassuré.


Action : Un gros chèque pour Parker dont c’est le tour d’avoir les yeux grands écarquillés (« …jamais eu autant de fric de toute ma vie ! Si Jameson savait ça ! »)…quand le gros chat (la panthère ?) n’est pas là, les souris dansent !

Cachet d’autant plus agréable à avaler quand on le prend avec la certitude que l’absent en question n’a rien de grave et qu’il se remettra bientôt.

La chance tend vers le paroxysme de sa trajectoire. Peter va enfin pouvoir offrir des vacances à Tante May, rembourser ses nombreux loyers en retard à Harry.

Il ne lui reste plus qu’à se débarrasser de cette fichue Tablette !

Solution : tirer sur la ficelle solidaire du réseau implicite S. F. P. E. R. (Seniors Fumeurs de Pipes Eminemment Rassurants).

Pour ça, faut juste prendre le temps de :

--1) Courir vite à son appartement

--2) Ré enfiler son costume d’ex mauvais garçon avec une araignée + une Tablette emballée sur le dos

--3) Se la jouer (tout enjoué) " Tarzan à New York " durant un petit quart d’heure

--4) Gagner une fenêtre ciblée d’altitude puis éblouir sans excès (grâce au gadget projecteur de logo su-perso-héroïque intégré dans sa ceinture) un brave Capitaine du NYPD à la retraite bien connu qui s’occupe comme il peut derrière

--5) Lui confier le petit fardeau encombrant sans surtout trop s’hasarder dans de fastidieuses explications

--6) S’en retourner (toujours jovial) à l’idée qu’on a un bon pactole à dépenser****…

…et dire que c’est à cet instant de félicité suprême que l’autre espèce de fusée Apollo là, débarque pour le foutre par terre ! :

Comme le bref dialogue ci-dessus nous l’indique, Vif-Argent prend pour argent comptant l’article « jamesonien » et diffamatoire (pléonasme) de l’édition pénultième du Quotidien vu que le gros ERRATUM sort juste des presses. D’ailleurs, c’est J.J.J. lui-même sorti entre temps du coma, qui en aura la primeur …j’vous raconte pas !


Logique avec sa propre erreur, Pietro veut prouver aux humains ordinaires que c’est lui le « bon » qui va attraper le « méchant » pour le livrer à la justice et se montrer ainsi digne des Vengeurs.


À plusieurs reprises entre 2 séances de pugilat à mach 2, Spider-Man tentera bien de lui expliquer toujours en 4ième vitesse que l’autre il s’est plutôt planté dans ses sources mais rien à faire, il capte pas. Le problème du décalage entre l’image et le son peut-être ?


Puis arrive la scène décisive (planches 18 & 19) où le mutant semble avoir le dessus. Il se met à faire la centrifugeuse autour de l’Araignée dans l’intention de lui faire tourner la tête par absorption de tout l’Oxygène ambiant. Jarre…() …rive pas à le croire !


Mais il reste encore assez de bulles dans les neurones de Peter Parker pour commander à son bras droit irrigué par la force d’Araignée ...de se tendre :

« WHOOOPFFF ! » …Ça, c’est le son exact émis par un sprinter qui passe instantanément de l’état d’inertie hyper dynamique à celui d’inertie super statique.

L’ex-futur Vengeur de retour dans La Grosse Pomme vient d’y tomber en plein dedans …les pommes !


D’autres variétés de pommes (cf. troisième volet) rejouent leur séquence de l’apparition tardive. Les flics en uniformes somment les 2 belligérants de rester où ils sont.


Pfff ! Comme si c’était pas déjà couru d’avance, Spider-Man n’obtempère pas et grimpe au premier building venu du Boulevard avec Quicksilver (cohérence rhétorique, oblige) qui pendouille sous son bras.


Arrivé sur le faîte, l’inconscient revient vite à lui puis fait amende honorable à son vainqueur et promet enfin qu’il trouvera un autre moyen de se racheter mais pas aux dépens d’un adversaire tel que l’Araignée …l’Araignée (again), lequel peut ainsi reprendre ses évolutions urbaines en disant que Jameson devrait en prendre de la graine puis en s'interrogeant tout de même sur sa soudaine baraka : et si c’était juste une accalmie avant la tourmente ?





En tout cas, quelque chose me dit que La mystérieuse Tablette d’Argile pétrifiée pourrait bien transformer cette accalmie provisoire en alchimie définitive.

Toutefois, avant que pareil prodige n’ait vraiment commencé, il faudra d’abord clore le Cinquième volet de notre Cycle.

Oui je sais, j’avais prévu de réaliser cette action dans la foulée du Quatrième pour achever l’intermède - ou IntermezZO comme dirait un mafioSO mélomane*****- sans le moindre délai.

Mais il semble que je me sois encore laissé emporter par le petit Jeu (Olympique ?) de la discipline narrative.

Non d’un Sixième sens ! Mes pupilles sont trop fatiguées maintenant, elles vibrent de partout.

Alors, veuillez bien m’excuser pour cette interruption momentanée de l’imagination que je vous réservais pour la prochaine aventure du Tisseur.

Celle-là n’est plus très nette d’ailleurs, elle est même carrément brouillée !

Commentaires :

--- 1) Objectif :


Je relève une seule faute de raccord dans cette histoire. C’est entre la Splash d’intro et la vignette immédiatement postérieure (1ière de la planche 2 donc). De l’une à l’autre, on passe d’un champ vu en légère contre-plongée à un contre-champ vu en légère plongée …mais entre temps, le masque de Spider-Man posé sur le lit a disparu !
N’en tenez pas trop rigueur à John Romita Senior, l’excellent Metteur en Scène par ailleurs si doué pour les séquences d’intérieur. D’autant plus que son Assistant de l’époque, le fidèle Jim Mooney (Get-away !) n’a rien remarqué non plus.
Admirez plutôt comment l’Artiste a su rendre justice à la spatialité opulente de l’appartement de Messieurs Osborn et Parker. De quoi faire pâlir d’envie le pauvre étudiant Africain-américain qui attend toujours qu’on transforme ce foutu Hall d’exposition du Campus en logements « minimum syndiqués ».

Si j'oublie volontairement Miss Brant (par solidatité toute "Pete Parkerienne"), il n’y a qu’un seul personnage féminin qui apparaît en temps réel au(x) sein(s) de l’épisode. Il s’agit de Martha Robertson l’épouse compatissante (tout le monde ne peut pas avoir des parents rassurants) dont c’est du reste aussi la première apparition dans le Marvel World.
Tante May, Mary-Jane et Gwen Stacy étant juste évoquées dans les dialogues. Consolation, l’attachant paternel de cette dernière est encore fidèle au poste (et au post !). Pourvu que ça dure … !
Quant à la sculpturale Sorcière Rouge (), elle n’est là qu’en flash-back hélas.



--- 2) Subjectif :


Harry Osborn nous avoue ici qu’il est loin d’être (au moins) Le « Fred Astaire» capable de tenir la dragée haute à l’inépuisable Mary-Jane. C’est un peu dommage car je trouve que physiquement, ces 2 hommes élégants se ressemblent pas mal …la coupe et la couleur de cheveux mises à part, bien entendu : cf. - http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Astaire,_Fred_-_Never_Get_Rich.jpg –

Profitons-en alors pour dresser un premier bilan du Cycle parvenu à mi-parcours :

Dans l’exposition ou prélude (« L’imagination aux Superpouvoirs », volets 1 à 3), on peut affirmer que La mystérieuse Tablette d’argile pétrifiée aurait assez tendance à susciter l’excitation d’une certaine Jeunesse. « L’Âge ingrat » pour le dire rapidement.


Et bien, dans la première moitié du présent intermède, semble venir s’y ajouter le facteur Vitesse avec les lois relatives à l’accélération bien connues qui s'en déduisent.

La Play-list Madeleine expresse :

* Fidèle à mes usages, je ne vous ferai pas marcher dans le noir et Sans son. Cette jolie blonde ne se prénomme pas Karen, mais elle se laissera aussi tenter par Hollywood. Enfin, elle va seulement enregistrer en 1977 (« The » Punk Year ! I recall) un Album là bas …où pourtant, on l’attendait déjà 3 ans plus tôt, : - http://www.youtube.com/watch?v=PrIOWijCeGM - With A Little Help From My Friend, Stéphane Encores - very good Musician but very bad Husband (…Hips ! )- for the learning lessons to play Guitar a little bit !



** Ah ça ! Pas question de rater une seule enquête télévisée du détective à la fois le plus robuste et le plus sympathique de ce temps là d’ailleurs. À commencer par son mémorable générique avec sa mélodie joyeuse et éléphantesque : - http://www.youtube.com/watch?v=eIfdD191II4&feature=related - … Je l’ai pas retrouvé en VF !


*** L’un de ses fort éminents collègues s’est aussi bien souvenu de ce fameux mois d’Août 75 : - youtube.com=iDTpcbvkNUk - Une Ballade inventaire (déjà) nostalgique sortie en 1981 (odeurs de roses ?) dont je partage volontiers la saveur. À la différence près que MOI alors beaucoup plus jeune, buvait plutôt des « Bébés Roses » ( ! inttrinsèque : posts #6 & #83) comme de l’eau et non pas du Pastis !
Tiens ? Le Lorrain à barbichette y parle même un peu de Picasso …mais sans situer la période. En tout cas, si je savais bidouiller des montages vidéo, j’aurais davantage opté pour du F’MURR, simple question de génération …sans trop relever (2 à 3000 mètres environ) la connivence naturelle entre Génies (). Mais avec FERRI & LARCENET, on ne perd pas au change, bien sûr !


**** De quoi avoir envie de se passer le Very-Good-Américan-Track de 1975 du jour. On y parle aussi d’un bon paquet d’oseille à dépenser avec en prime : un transistor (mon Optalix TO 99 ?), de Pina Colada (slurp slurp) et de …Mauvaises Baskets (Stink Foot ?) ! : - youtube.comv=xy2G6TlRMUQ - Extrait d’un Album indispensable (comme tous les autres) d’un Super Groupe indispensable. En plus, la pochette du 30 cm en question aurait sans doute fort plu à Maître Po…enfin, les jours où il confondait pas les Sauterelles avec les Scarabées !



***** Et comme toujours, pour finir le post en beauté et préparer un peu la suite :

« Let’s Gaze at The ZOSO’s Rapid Agings ! » : - http://www.youtube.com/watch?v=ZoQjyFplHlc&feature=related–

…Prenez bien le temps de les vivre, s’il vous plait !

[hannah]

Quand je pense que je trouvais les chroniques de Doop trop longues...

[Oromasès]

" Longue ", peut-être ...mais " trop ", ça dépend beaucoup du lecteur

Trop nombreux hélas (pour DOOP et MOI au minimum), sont ceux qui préfèrent le "Cent Mètres" au Marathon !

[Oromasès]

	Citation:			Posté par Bègue your pardon !
	(...)1975, l’année presque sainte d’où sortit in extremis " La Nuit du Chasseur " (...) pompeur sans vergogne du titre prestigieux acquis 20 ans auparavant (quand on aime…et cætera) par une bobine certes trop cabotine (quand on hait le platonisme halluciné des faux prêtres pédophiles), mais archi(e) reconnue de nos jours, notamment pour les ascendance et descendance « néant » créditées à The Artist (so British !) derrière la caméra en cette unique occasion. Quelqu’un d’assez costaud pour avoir réussi l’exploit de rendre un hommage vibrant - et surtout pas bidon - au cinéma d’avant « le Parlant » sans avoir eu besoin de congédier son ingénieur du son. Hum… jugement de valeurs sans doute (devise : monnaie de singe oscarisé), mais qui sait si le Charles attend pas le charlatan (Laughton’s laughter) au premier détour de manivelle ? (...)

Une mini chronique de la nouvelle future « édition monstre » (sic) de La Nuit du Chasseur, écoutée ce matin sur France Musique.


Jean-Baptiste Thoret dont le débit vocal à la fois véloce et pertinent est bien connu des Auditeurs de Radio France (un familier des « MG » du samedi soir sur Culture et le co-producteur d’une chouette émission cinémato-phile au quotidien, cet été sur Inter), anime de surcroît ce petit espace du Mercredi dans la Matinale de la fréquence mélomaniaque du Public Service.


Une Matinale malicieuse à la curiosité communicative animée depuis 2 saisons consécutives par Monsieur Christophe Bourseiller.

Oui, celui-là même qui fut déjà en 1967 Le Petit Soldat (avec une mitraillette en plastique !) de Deux ou Trois Choses que Je Sais d’Elle avant de se muer 10 ans plus tard en ce fameux étudiant frisoté et binoclard (pléonasme) pour le moins persévérant dans son amour obsessionnel des belles femmes mûres …cela dit en Éléphant …euh non, en essayant de ne pas vous Tromper Énormément.


Et comme le présent Topic accorde des places non négligeables - quoique parfois trop bien cachées …mais ça fait aussi partie des plaisirs de la chasse, non ? - aux références cinématographiques, on reste donc ici je pense, en terrain de Connaissance(s).

[Oromasès]

Ouf, ça y est, les pommes d’Adam des collégiens gros traîneurs de baskets (souvenirs, souvenirs...) ont fini de jouer au yo-yo en cette pénible semaine de la Rentrée studieuse 2013.


Faut se faire une raison, va donc falloir se remettre à gratter.


Et foutu Emploi du Temps oblige, un cours de Sciences Occultes déjà infligé le Lundi dès potron-minet !


Heureusement que naguère, de par mon assiduité obstinée à l’École Buissonnière Latvérienne (si si, c’est plein de taillis au bas du Château), le Maître des lieux pourtant pas du tout le genre à vouloir faire bonne figure (!) en permanence, m’avait octroyé le plus insigne des honneurs.


En effet, notre bon Docteur (! !) pouvait parfois récompenser un insignifiant féal (moi rime avec Fatal ? ) pour les multiples services serviles toujours bassement () rendus.

Sa Magnanime Grandeur consentait ainsi que le misérable élu ébahi puisse alors emprunter et ce pour une durée indéterminée, un objet de son invention débridée Lui étant désormais devenu dérisoire. Du matos encore High-tech quand même, du moins, aux yeux (l’un fermé, l’autre écarquillé) du plus petit commun dénominateur de sa soumise engeance administrée par une seule main de fer, ce qui reste bien suffisant.


Si c’est pas Super et pas Vilain ça, hein ? À condition de se rappeler dans quel endroit mal famé on est allé fourrer le mode d’emploi ?


Ah oui, je le remets maintenant. L’Album " LES FANTASTIQUES N° 4 " du 4ième trimestre 1974 imprimé comme il se doit à l’imprimerie Intergrafica sise quelque part du coté de Milan.

C’est ça, le voila, bien aplati () entre les pages 32 et 33.

Tiens ? Un collègue à moi en fort mauvaise posture. Il a eu chaud ce jour là. Si l’Hôte de Marque extraterrestre du moment n’avait pas honoré ces terribles lieux de sa trop candide présence ( !), sûr et certain que l’espèce de pauvre maladroit en aurait pris sacrément pour son Argent …pas content du tout !


Mais trêve d’anecdote sous corporatiste, relisons plutôt la notice séant :

	Citation:			Posté par mon Sixième Sens qui voit l’Avenir du Futur (le Lundi soir à 20h40 de préférence)
	(...) Pour la suite, j’arrête là car une subjectivité débridée encombre suffisamment jusqu’aux limites du raisonnable : ---a) Mon corps (usé et fatigué ?) du long texte principal écrit en verdâââtre ; ---b) Ma charade allégorique cryptée en bleuâââtre, laquelle s’embraye en 4ième Vitesse sur ma vision psychédélique de couleur noirâââtre (non-sens daltonien à l’état pur !) du KREE engagé pour en faire la couverture évène(dé)mentielle. Soit le double pilotage expert qui assure le fulgurant lancement du déjà distingué précèdent ; ---c) Mes sept renvois pré étoilés (*n) vers autant de digressions trempées dans ce même tonneau de sombre peinture hurluberlue (et croyez-moi, du daltonisme à la berlue, la frontière est mince) …ou l’artifice digital nécessaire pour enfoncer les touches multiples de mon immuable Juke-box analogique, lui-même introduit par un Morceau caché des plus savoureux ; Sans trop gloser sur les titres + ou – bien cachés de films « cultes » (entre autres) que fort malgré eux, j’ai cité à comparaître un peu partout sous une bonne garde-à-vue préalable de la police montée à font de train par le gars ramond …comme y dit s’appeler ; Et quant aux nombreux liens hypertextes insérés là à seule fin de mieux vous imager - ou mieux vous sonoriser - mon propos de minimaliste syndical radical limité à ses 3 P.J. par Post(e), disons seulement qu’ils sont maintenant tous gras et marrons comme des esclaves bien nourris néanmoins férus d’évasion.(t) Ce discours plutôt formel ne m’affranchira pas du désormais incontournable bilan de notre Cycle enfin arrivé à la marge de sa dernière ligne droite: (...)

Bof, ça pas l’air d’être fort compliqué comme biseness.

Surtout pour votre serviteur () qu'aurait raté pour rien au monde moderne, cet autre Savant inoxydable de Professeur CHEVALET qui venait faire souvent joujou avec ses chouettes maquettes évoluant à travers nos bons vieux tubes cathodiques bombés hyper fonctionnels ...même « le Jour du Seigneur » !



Bon, à part ça, quoi de neuf cette déjà laborieuse semaine ?


Mince, le P’tit Père BOURSEILLER lui, il l’a raté sa Rentrée sur la France Musique Matinale ! *


Tant pis alors pour notre espiègle Animateur avec son éternelle bobine de soixante-huitard curieux de tout, lequel aux heures indues va même jusqu’à bien se la prendre entre ses mains toutes piquées par le Politicus Situationniste.

	Citation:			Posté par le Relanceur de Carton Number One
	(...) C’est juste par pur conformisme avec la - ou le – mode des surenchères à tous crins avalisées par notre chère Société du Spectacle,* cet art si lucratif d’accommoder les restes qui m’a du reste déjà poussé à vous re-situationner vite fait, bien fait, ces satanés Rapid Agings, comme je dis d’exprès pour que mes intitulés soient plus Chic (et hop, par ici le Freak !). Le vieux sage qui ne viendra jamais () mais que je singe volontiers, a-t-il encore besoin de vous pousser plus loin ses grimaces ? (...) * Le fameux slogan :« Vivre sans temps morts et jouir sans entrave » fut d’ailleurs pressenti 2 siècles et des poussières avant qu’il ne soit promptement récupéré par Mai 1968. Le voici conjugué (comme il se doit) à la 1ière personne du pluriel : - ...les Traits dont brille la Jeunesse (et n’oubliez pas les paroles …euh, les lyrics pas tragiques) C’est l’œuvre testamentaire d’un jeune homme de 81 ans (!) visionnaire et Génial car « l’Enchanteur des Lumières » de son État bientôt au (Guy De)bord du déluge …dixit Louis le XVième …qu’avait donc aussi le 6ième ...sens ! Non, non, l’incursion du Situationniste numéro 1 n’est pas complètement incongrue ici. Le grand Penseur(Fou?) fut entre autres l’auteur en 1978 ( à ceux qui m’ont suivi) d’un film qui emprunte son titre à un palindrome (chercher ce mot) de Virgile. Traduit du latin désormais obscur en français tout ce qu’il y a de plus littéral (compréhensible, donc) le générique annonce : « Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes consumés par le feu». Le Chasseur volontairement obscur qui piste les thraces ( à PERSÉ) d’Ayesha ne pouvait qu’apprécier ! (...)

Quoique de cet Opium du Peuple dissident là, on en a presque frôlé l’overdose l’été 2013 sur lancer Ce Futur …euh non, sur France Culture avec les intarissables diatribes philosopho-salivaires (plait-aux-miasmes !) de leur Contre-historien patenté qui pour la copieuse circonstance, décale toujours systématiquement ses grandes vacances depuis dix longues années maintenant.



Pour ma part, je suis bien content d’avoir pu mettre enfin les bouts du séminaire sur l’Aquoibonisme où je m’étais volontairement assigné ici depuis quasi une longue année maintenant.

MAIS POURQUOI, J’VOUS RACONTE ÇA, D’EBORD …aaah, D’ABORD ?

* Le Père THORET par contre, son Renfort es Septième Art, semble avoir conservé son petit créneau du « Jour des Enfants » (…des Portes du Paradis ?) auprès du sinistre Remplaçant transfuge d’Europe n° 1 venu y réinstaller le ronron matinal ().

[Oromasès]

Rappel express de ma dernière folle échappée en date :

……….et suite aux coups de pieds au plancher du satané………VIF-ARGENT, le lointain Cycle fatal doctement focalisé ici via deux rétines peu enclines à la routine, franchit tout juste le 180ième degré de son Étrange itinéraire resté presque suffoqué lui-même, par cette trop subite et ………excessive Vitesse !


À tels points que piqué au vif, un nouveau Mister surgi dont je ne sais où entende maintenant doubler à son tour l’homonyme (celui avec le « i Grec ») toujours décliné d’ordinaire sous la forme adjective avec sa Tablette pétrifiée.


Pour augurer la performance encore à venir, l’Intrus formule d’entrée de jeu une espèce de vœu pieux énigmatique :

« SI LE SABLIER VEUT ENCORE FAIRE MACHINE ARRIÈRE, MA PETITE POIGNÉE DE GRAINS RESTANTS

À VITE ENTERRER………rrrrrrrrrrAh non, pas tout de suite !……….A VITE INTÉRÊT À SE MANIER !! »

Juste sa façon (assez terre-à-terre…argileuse, faut dire) de vous présenter le point de non-retour vu sous un angle donné.


Un angle purement matérialiste.


Matérialiste comme l’autre Béotien du genre « brute de décoffrage » là, qui s’excite déjà pas mal en ce moment.


Au poing …américain (double modèle amélioré) de nous transmettre une tremblote carabinée !

Sous sa carapace capitonnée à trame jaune (jeune ?), le voila fin prêt désormais à se jeter dans le maillage rouge et bleu beaucoup moins grossier quand même, de notre Tisseur d’intrigue favorite.


Promis ! J’expédie la seconde mis-temps de ce très long intermède en un tour de mains afin qu’ensuite, on puisse enfin toucher du bout des doigts (fripés ?), le registre métaphysique de notre Histoire avec un grand « H » …à défaut d’une grande faux.

Juré ...et craché sur la tête de Parkinson !
Oui da, car moi aussi, j’entends conserver un bon tour d’avance sur cette damnée Casse-pieds qui aura pris entre temps (entre meurs ?) le relais pour secouer les phalanges douloureuses bientôt concernées au premier Chef.


Mais prenez soin SVP, d’entendre l’épithète que je viens de frapper en dernier sur ma gravure selon l’acception ancestrale propre à Ces Arts (…ou Cicéron ?) qui se disent « Premiers », donc.

Ainsi, vous serez peut-être moins surpris lorsque l’odeur piquante et renfermée du musée (avec la Momie obligée ?) reviendra chatouiller vos narines comme à …hum, poin(g)t bandé nommé.

Cinquième volet du « Run de la Pierre qui roule Hexagonale »

…figures archéologique et géopolitique confondues, of course…

- cf. le Strange 69 du 5 Septembre 1975 -

Seule et Unique (comme UNA ) couverture médiatique accordée par les Commissaires occultes de la Mystérieuse Épreuve au fringant CAPITAINE pourtant déjà frappé lui, d’Avancement Rapide à 2 fortes reprises (! !) dans ces mêmes chroniques bizarroïdes surgies du fin fond des Âges.

En fait de Course (Run), le valeureux KREE à la crinière (encore) argentée se mesure vraiment avec un bolide mécanique digne du plus récent Mondial de l’Automobile. Un puissant véhicule équipé de 2 turbo fusées amovibles (option missiles à têtes chercheuses) à faire pâlir d’envie () tous les fringants COMMANDEURS de 007ième rang connus jusque là (*1).

Sauf que l’engin motorisé n’est téléguidé ni par DOCTEUR NO, ni par BLOFELD, voire leurs Avatars rétro-futuristes DENFER qui eux,préfèrent les Austin Mini (). Non, le mégalo aux …COMMANDES, ce serait plutôt le genre bellâââtre brun permanenté. Mais dans sa jeunesse tourmentée, ce Savant Fou dernier modèle a dû trop jouer au MASTERMYNDE puisqu’en guise de prototype , il s’est fait carrément couper la tête - son chef, quoi ! - pour se la faire aussitôt regreffer sur un corps artificiel pré-lobotomisé pas de seconde main non plus.
Un échange standard biocybernétique en quelque sorte, lequel allait bien plus loin que l’Homme Qui Valait Trois Milliards (allo Houston, vous m’entendez ? …) pour citer le seul concurrent contemporain qui ait résisté à l’épreuve - injuste - du Temps.

Eh bien, via ce détour obligé dans une époque à l’étoffe décidément héroïque, je me dis aujourd’hui que les pilotes LUGGIENS y devaient l’avoir choppé aussi …LE SIXIÈME SENS !


Je m’explique : s’ils avaient su projeter tel quel ce traitement crânien radical - « Transhumaniste » avant l’heure - dans leur avenir alors inimaginable aux possibles (celui des comicsdatabase.com et consort pour ma part), le procédé se serait adapté pilepoil à l’autre réceptacle robotisé également simulacre de réincarnation (reincarnazione) de la continuité concernée. Pensez au vieux Chef Argenté (adjectif toujours pris par les cheveux) dont de subtiles allusions imprègnent déjà la brillantine … ! …brillante (quoique d’un ton assez bleuâââtre) devinette de ma seconde partition du présent intermezZO.

Car nom de Nom de ce même mafioSO photographié dans les Roaring Twenties - c’est-à-dire quand le rough Boy au top de sa forme, il avait juste qu’à lever sa splendide tête gominée pour voir passer non pas l’escadrille des cigognes, mais les gros ( Led)Zeppelin - je vais finir par la perdre aussi la mienne, à force de vous le rabâcher ainsi CE GROS MORCEAU !

…but perhaps too much Dazed & Confused, myself ()

J’ai parlé de Brute, on pouvait pas mieux dire !

L'aventure démarre à brûle-pourpoint jaune pour nous infliger comme ça, à froid, un spectacle affligeant : le passage à tabac gratuit d’un grand Esprit partageur du Calumet de la Paix.

Ah… sans doute jugerez-vous encore l’évocation de ce pénible tableau pas assez « light » ?

Qu’à cela ne tienne, ça coûte rien non plus d’en fournir une vision mieux imagée.

Je parle bien sûr du VIEUX SAGE aux cheveux blancs qui avait déjà gagné haut la main (à mes yeux juvéniles en tout cas) ses galons de Personnage hyper attachant. Et cela malgré 15 mois de présence palpable de papier pulp à peine, dans une série où le brave Monsieur n’occupa jamais que les postes (posts ?) secondaires.

Bon d’accord, frapper les pauv’ p’tites vieilles genre TANTE MAY, ç’aurait été encore plus minable.

Bon d’accord, la victime qui donc essuie les plâtres de l’épisode avec ceux (plus collatéraux) du passage à l’acte cité, est un gradé du N.Y.P.D. à la retraite.

Mais cela n’en crée pas pour autant un précédent auquel de douteux vices de procédure donneraient (oui ou non-)lieu aux circonstances atténuantes.

Retranscrit en jargon moins enrobé par La Chambre, on lira : quand le CAPITONNÉ dégradé expert es dégradations qu’a osé cogner mon CAPITAINE trop respecté sera mis à nu dans son box des accusés, on le verra enfin transpirer …et trembler surtout pour la bonne cause !

Mais inutile de s’acharner sur le sort mérité de cet exécuteur des basses œuvres par trop pétries de basses fréquences.

Non, intéressons-nous plutôt au « vrai » COMMANDITAIRE de la sournoise agression « perso ».

Dans la vie réelle, l’Individu (quel comble !) est …ou plutôt aurait été (?), grand Amateur de cigares.

L’abus supposé de ce fumigène ne l’aura toujours pas empêché de faire long feu (qui ça ? STAN THE FLASHER?), à l’inverse du DIVIN FUMEUR DE HAVANES devant l’Eternal qu’une sorte d’accoutumance généralisée - quoique parfois suspecte rapport aux taux réels d’importance - associe invariablement avec mon Tireur de ficelles maintenant quasi identifié.

Holà ! Déjà 2 decades bien tassées depuis le triste jour où le « Royal » Partner est parti rejoindre son High-Father - aka Le Père Tout-Puissant ( faisant le ) - en emportant avec lui la curieuse conception de l’altruisme que j'avance ici dans l’Absence de savoir comment définir son Art proprement KamiKaze qui lui fit sans cesse retirer les marrons du feu d’une inspiration DÉMESURÉE au(x) meilleur(s) bénéfice(s) de quelques gros propriétaires de narines dilatées au matérialisme terrestre.


Le Survivant en question ? Oui oui, j’y reviens


Dieu Merci / Merciful God ! N’importe lequel de ses ex Fans des Sixties (Excelsior !) ou assimilé, le repère toujours fastoche aujourd’hui.

Dans les mouvements actuels de foules terrifiées, par exemple. Vu que notre désormais vénérable Vieillard imberbe n’aura même pas gagné la liberté d’y rester peinard et anonyme.

« Où est Charlie ? », l’éternel retour (!), tel est l’inaccessible destin de la chère Silhouette Hitchcockienne systématiquement imprégnée sur ces bobines de moins en moins à base de celluloïd d’où sont projetés tout plein de gugusses en collants chamarrés et exosquelettes assortis sur cette grande toile de plus en plus diligente au digital.

…hé, mais c’est p’t’êt’ ça finalement le recyclage anticipé des vieilles phalanges auquel ma brillante introduction fait encore pertinente allusion?

Or ça, moi le nostalgique impénitent serait bien mal avisé de s’en plaindre. Et comme moi aussi grand mélomane déclaré devant l’Éternel, ma fausse mauvaise foi n’ira pas jusqu’à dénigrer la parenthèse cocasse que suscita la pas si furtive prestation du « So Marvelous Extra » dans l’un de ses derniers relaunchs cinématographiques en date.


Étrange remise des pendules à l’heure que celui-là, d’ailleurs.


Car si j’eus l’insolite - quoique heureuse - surprise d’y retrouver mon CAPITAINE vénéré rajeuni subito de 20 ans (= 2 decades in USA), la joie émue des retrouvailles ne me dura que le temps du rêve éveillé qui s’acheva 80 minutes (environ) plus tard, par la mort exponentiellement accélérée (Rapid Aging at 24 Frames Per Second ?) de l’opiniâtre Officier pas encore boiteux ni veuf et réactivé en toute logique au New York City Police Department.

Hormis la responsabilité on ne peut plus discutable du Docteur ZOophile récemment impliqué - le Saurien maladroit qui vole la vedette au Poulpe vicieux - ce raccourci historique respecte peu ou prou l’héroïsme poignant des circonstances « papiers » d’origine ... que j’aurais bien d’la peine à développer ici ( bis).

Mais cette regrettable contraction spatio-temporelle (discipline trop courue de nos jours) affiche malgré tout son point fort.
C’est l'Acteur choisi pour incarner le dit rôle incontournable de (second) Père de substitution trop tôt disparu car c’est bien sa seule crédibilité qui a su triompher de mon incrédulité viscérale.

Je dis ça tout en étant fort désolé pour le nouvel Oncle Martin ( moustachu # 1) plus Fan du COLONEL KURTZ ( chauve) que du GÉNÉRAL MONTGOMERY (moustachu # 2)


Vous êtes libre de rebondir bien sûr (like a reptile or like an arachnid) sur ce témoignage assez partisan …mais pour l’amour du Ciel, laissez donc se dissiper d’elles-mêmes ces volutes Gitanes qui émanent encore du pifomètre cornu(e) et alambiqué de feu-le-Pyromane-au-bifton-de-500-balles-à-qui-l'Ami-Caouette-faisait-la-tête en l’An de grâce …1975 (*2).

Mon dernier gros fumage de moquette en date levant nez-en-moins le voile sur une IMAGE qui elle, ne ment pas !

J’ai parlé de Décoffrage …pas loin du compte non plus !

3 vignettes seulement après la dernière en date de mes pièces jointes à ce fracassant dossier, LE SHOCKER fracture le coffre-fort de GEORGE STACY en sollicitant cette fois l’aide de son bras droit.

Non, LE SHOCKER n’a pas de complice, LE SHOCKER est un solitaire ! Je voulais juste dire qu’il s’est servi de ses 2 Vibro-rayons en même temps.

Par son obstination maladive à jamais vouloir passer par la porte d’entrée (mais pourquoi faire simple… ?), LE SHOCKER trouve au fond du coffre ce qu’il est donc venu chercher du dehors: LA FAMEUSE TABLETTE D’ARGILE PÉTRIFIÉE !

Puis-je vous rappeler que dans l’épisode précédent (cf. quatrième Volet), L’étonnant HOMME ARAIGNÉE alors sous l’emprise d’une euphorie (à priori) passagère en avait confié la garde au rassurant Paternel de sa Copine, lequel officie aussi mais juste à titre honoraire, comme le Médiateur privilégié du Titre …repris (de justice) ici au sens éditorial?

On se demande quand même comment le Bouffon jaunâââtre mal dégrossi aura eu vent de l’affaire.

Mais ce gros bavard nous crache vite le morceau qui d’ailleurs, coulait de sources : par voie de presse, bien sûr ! Sauf qu’il n’en précise pas bien l’organe.

Ouf ! Alors pas obligé que la fuite provienne du QUOTIDIEN, même si son service « Dépêches » doit avoir beaucoup gagné en efficacité depuis que le Grand Patron...

! Attention mes chers et rares Amis inconditionnels des primes années « Stranje » (sic),
surtout pas confondre avec feu le FRÉDÉRIC FOWSWELL ou le « PATCH » - par ailleurs fort utile pour arrêter d’fumer ma vieille moquette -

...laisse enfin les coudées franches à ROBBIE ROBERTSON. Ce repos forcé, il l’aura bien cherché n’empêche, le J.J.J. !


En tout cas, la liberté de la presse et sa légendaire célérité auraient mieux fait de se la mettre en veilleuse. À n’en pas douter, les indiscrétions ont été glanées chez de vils informateurs car je n’imagine pas une seule fraction de microseconde mon CAPITAINE STACY devenu ramolli au point de se reconvertir dans cette corporation sans scrupules, serait-ce même pour des contingences pécuniaires liées aux carences éventuelles de son fond de pension (Yes, this is always America !).


La vérité, c’est la belle GWENDOLINE...

-accourue juste là (jupe à mi-cuisses et bas résilles ! ) pour assister horrifiée
à la fuite (pas très discrète non plus) du maraud marouflé avec son butin-

...qui l’apprend par la bouche (elle-même temporairement orpheline de la sacro-sainte bouffarde) de son Papa toujours groggy pour pas dire étourdi : [ Je croyais qu’ici chez moi…la tablette serait en sécurité …je ne m’attendais pas à être attaqué par un ennemie de la force du SHOCKER ].


Le trop-plein de confiance Arachnéen déjà relevé tout à l’heure était resté collé sans doute (je pense), au mystérieux substrat archéologique. Puis il a dû passer en un éclair des mains fripées du vieux conservateur trop vite improvisé à son propre cortex …où je saurais (saurien ?) pas situer l’hémisphère cognitif dans lequel clignote son plaisir de la nicotine.


Bon plus de peur que de mal. Notre vaillant Sexagénaire [en sera quitte pour une bonne migraine …dixit « Doctor SHOCKER », himself ! ?].
Reste plus qu’à prévenir les flics encore en exercice. La jolie blonde s’y colle à son tour.




La 4ième planche (hein, seulement ! ) nous montre LE SHOCKER déjà en train d’essayer de fourguer la Tablette au plus offrant.


Ah, durdure la vie de rapines, les prêteurs sur gage (pas daltoniens pour un sou) sont tous devenus des foies jaunes !

C’est bien trop risqué maintenant, arguent-ils (Arrrgh !).

Le Monte-en-l’air leur fout les pétoches depuis qu’il a fauché l’objet du délit au terrible CAÏD avec la hargne vengeresse que l’on sait (cf. troisième Volet).

On admettra aisément qu’il y a là un pneu matière à froisser la fierté toujours fébrile du dernier détenteur en date de l’encombrante Antiquité.
Du coup, l’espèce de Bonhomme Michelin mal embouché en profite pour lâcher sa rage sismique plein pot !!!

Car s’il s’était boucoup ret'nu chez les STACY, c’était surtout pour pas risquer le coup du pigeon d’argile à la Tablette.

Dorénavant, le premier récalcitrant venu fera les frais d’un tremblement de terre des plus singuliers : magnitude 7 sur la surface réduite du bouge où croupit le receleur inconscient

…rien à voir avec ces séismes de vaste amplitude projetés par la Filmo-Catastrophite au zénith courant 1975 (c’était La Dernière Vague en vogue …d’Aborigène chevelu) sur nos grands écrans antédiluviens tout secoués de Sensurround



Mais …et PETER PARKER, là dedans ?

Eh bien, lui il apprend le nouveau sort fait à la pierre croulante (ben oui …vu son âge) dans le bus grâce à son voisin de (Beggar’s)banquette ().

Si si, regardez bien. C’est le jeune barbu à lunettes fumées qui écoute les news baffle grésillant de son I-Pa… euh, son transistor collé sur l’oreille. Super bonne idée en effet, d’en faire profiter tout le car !

Tiens ? Je me plais même à imaginer qu’il s’agirait bien peut-être là de l’inégalable Optalix TO 99.

Mais non, pas possible ! Le désormais légendaire Récepteur LO et MO (Long & Medium …Wave) sera seulement disponible qu’autour de …1975 et comme mon épisode en VO est sorti deux mois avant qu’avec force tambours et grosses Trompettes (Hi, SATCHMO ! …joufflu), une sorte de Poète maudit et incompris () ait marché sur la Lune, je redescends illico (= sans GPS) sur la Terra Cognita toujours connectée avec son Satellite qui se Mare dans sa propre Tranquillité.


PETER n’a pas le temps d’attendre le prochain arrêt, il saute en marche [ Ah, ces jeunes !..commente un autre passager pouvant être son père (de quoi, encore un possible substitut ?) ] et se change presto en le Super-Héros qui adhère le mieux aux murs ...celui « du son » inclus.


Le Teen-ager costumé avait quand même une bonne raison de se presser.
D’ici une heure pétante, il doit aller agiter son mouchoir blanc à la gare où à la faveur du pactole miraculeux échu le mois passé (cf. le ……….Quicksilver Messenger Service rapide), sa chère TANTE MAY embarque dans l’express des curistes en partance pour Le Sud (*3).


Heureusement pour l’ARAIGNÉE, la piste ravageuse du SHOCKER est facile à suivre et les paris sont déjà ouverts pour le choc préliminaire qui aura lieu sur le toit horizontal d’un building d’hauteur ordinaire (ni l’Empire State, ni les Twin, donc …poilu à titre doublement prémonitoire) :


--- SPIDER-MAN attaque le premier, l’Autre encaisse avec un léger temps mort avant de renvoyer l’ascenseur à son agresseur par l’effondrement prématuré d’une robuste cheminée en briques d’argile.
Ce faquin veut-il prouver par là qu’il a de la suite dans les idées ? Hum …c’est peut-être à creuser !

En attendant, si notre ARAIGNÉE écrasée potentielle esquive la chute des gravas sans embarras, elle perd pied subito dans la foulée. Normal, y’a maintenant comme un grand trou déchiré dans le plancher …euh non, dans le toit (excusez, je m’y perds un peu).



--- Le Cerveau matraqué du SHOCKER croit que (cf. la page 9 du tout premier des Strange en couleur …alors confié à un Daltonien ) son adversaire descend plusieurs étages à travers l’immeuble sans prendre les paliers.
Le Bravache jubile [Personne pourra jamais trouver où j’ai planqué cette maudite Tablette(…nananère !)].
Deux pattes rougeoyantes en mode dynamique inversé lui percutent aussitôt le plexus. Paroles ravalées, leur Auteur au caquet rabaissé semble sonné et se laisse ramasser comme une chiffe molle.



--- C’était une feinte ! Le Fourbe faussement passif a attendu que son Porteur bénévole (le pote à KA-ZAR !) un rien déséquilibré du coté de l’épaule droite,longe le rebord du ring …rrrrrAh ! …de la terrasse pour agir.
Un coup de rein, un coup de poing et hop, SPIDER-MAN tel un King Kong fini (toutes proportions gardées) va vraiment se la payer cette fois, la grosse culbute mortelle !

Pour sûr ! Tout en bas, comme dans le Classique immortel de COOPER & SCHOEDSACK, la populace fourmillante de New York assiste terrifiée et fascinée en même temps (pffff, ces homo sapiens !) à la chute du Surhomme.


--- Mais de gracieux ricochets terminaux à la verticale et d’impact sourdement pathétique ( ter), point !
Les lance-toiles salvateurs remplissent à nouveau leur office (bureau) et le Tisseur s’élève de nouveau bien décidé à en découdre une fois pour toute avec son Vendeur de la peau de l’ours anticipée

…l’est déjà chaudement vêtu, pourtant !

Késako ? Contre toute attente, le Serpent à sonnettes prend la poudre d’escampette. Il prétexte qu’un combat prolongé laisserait aux flics le temps nécessaire pour boucler le (pas de) quartier.
Le SHOCKER tire ici semble-t-il, une leçon des épisodes précédents où les importuns à casquette + sifflet avaient copieusement sacrifié à leur manœuvre désarmante de l’arrivage en retard.
Ho ho, méfiance, et si jamais les guignols saisissaient au vol l’opportunité d’une contre-performance ?

Synchronisation parfaite ! L’ARAIGNÉE n’en demandait pas tant au temps qui s’effiloche grave pour espérer encore rejoindre TANTE MAY sur les quais.


Ainsi, malgré les apparences souvent trompeuses à son égard, c’est bien notre Neveu empressé à mon humble avis, qui remporte le premier round versus THE SHOCKER.
Une meilleure gestion du sens tactile autant que tactique motive pareil arbitrage impartial : son Opposant a certes opté pour la cara(8)pate stratégique mais le rembourré médiocre rembarré aura bien sûr rien senti de la piqûre soudaine qu’une petite araignée-espion particulièrement collante vient de commettre sur son omoplate droite.




Scène suivante : tout se passe comme prévu, TANTE MAY à la grande joie de ses Fans - Thank You...STAN LEE ! - est enfin partie au soleil avec son beau chapeau fleuri et son chaperon favori, Mrs ANNA WATSON, elle-même Tantine de la (sierra) torride MARY-JANE.


S’en retournant fort satisfait, PETER s’arrête au kiosque de l’endroit et consulte - là c’est certain ! - l’édition toute fraîche du QUOTIDIEN.

Eh ben, quand je parlais de vélocité d’information et de dépêches efficaces. Même pas une demi-plombe que l’ARAIGNÉE a laissé filer LE SHOCKER et leur combat fait déjà les gros titres !


Mais peu importe ce relatif paradoxe temporel. Le plus intéressant à (bras) long terme viendra bientôt si l’on se donne la peine de lire au-delà de la manchette …d’où parfois un membre écailleux se met soudain à pousser « droit ». ()

Pour vous affranchir toujours plus, PETER feuillette et découvre alors un bel article consacré à un célèbre Biologiste sur lequel notre Étudiant à vocation scientifique n’a jamais tari d’éloges.


Je le cite texto :[ (…) le Docteur CURT CONNORS (…) va se livrer à une importante expérience dans son labo des Everglades ! - (…) un des types les plus formidables que je connaisse ! …Mais à part sa femme…je suis le seul à savoir que Doc CONNORS est aussi…le Terrifiant LÉZARD…»]


Ah ah, sacré STAN LEE, toujours fidèle à ses coutumes éprouvées, il préparait son plan de travail pour le semestre à venir !


Coté enchaînements épisodiques par contre, ça sentirait pas un peu l’éprouvette réchauffée par Léz… hasard ?

Mais si ! C’est pourtant pas compliqué …comme vous le dirait le premier Professeur CHEVALET venu :


Depuis cet instant « t » présentement inscrit sur votre repère orthonormé, accomplissez un saut de 2 ans (et des poussières) à reculons dans la continuité gluante et spiralée de notre identité remarquable isolée et vous aurez une forte probabilité de retrouver la relation :

LZD(ARG) + SKR(ARG) = X

…euh, non, cherchez pas ici de liens de cause à effets SVP, j’ai juste pris mes stabilos pour mieux en détacher les 3 variables connues.

À l’inconnu X - ou second membre de l’équation - nous substituerons de préférence, la forme littérale suivante : « empoignades à répétitions susceptibles de capter l’assistance plusieurs mois durant ».


L’équivalence ainsi vérifiée entre Juin & Juillet 1973 (et Janvier & Mars 1967… mais on vous demande pas d’expliquer aussi le problème épineux des Temps parallèles) se répercute donc (on appelle ça aussi une réplique) dans la ZOne référentielle étudiée aujourd’hui. Mise à part, c’est l’évidence même, une commutativité de termes désormais imposée au premier membre, permutation subtilement transmutée …si Jaws dire !


Oui oui, je vous entends mon cher Public de matheux fidèles. Vous indiquez qu’on pourrait mettre au moins le ARG en facteur.

Ce à quoi je réponds : fonction déjà effectuée 2 fois (cf. troisième & quatrième volets) …lorsque l’ARAIGNÉE portait la Tablette sur son dos. ()



Après cette épreuve réussie, on peut abandonner quelques instants notre savant PETER plongé dans des réflexions incroyablement prospectivistes (cf. un certain reboot à venir qu’on a pourtant déjà vu) ...

[Quelle veine ce serait de (…) travailler pour le Dr CONNORS (…) il m’en apprendrait plus qu’une douzaine de cours !]

...tandis qu’il bat le pavé New-yorkais sur lequel maintenant, la pluie commence à tomber drue.

Au point qu’il faille se servir de son journal comme d’un parapluie. Oui, craignons de le déranger (« …You’re talking to me ?»).


Car l’objectif se résout enfin au changement de cadre.
Celui-ci quitte ces extérieurs humides en moins d’un clin d’œil (doublement écarquillé) et se braque au propre autant qu’au figuré, dans un milieu nettement plus aseptisé.

La manœuvre habile nous offre ainsi ce gros plan privilégié sur un Lecteur particulier et assez agité …du même canard mouillé ! :

AH ! AH ! AH ! Et là, je m’incline bien bas devant le Sixième Sens visionnaire de SUPERMAN STAN.

Ses rayons X philanthropiques déjà alimentés par six lustres d’avance ( ! ) scrutaient - « scrubstaient », oserais-je même renchérir - de beaux lendemains qui chantent. Ceux du genre rare fait d’exprès pour m’enchanter (I’m talking to me ?)


Avec en prime, une spéciale dédicace à tous les adeptes contemporains de la tuerie à petit feu (Eh ho, zieute un peu la radio pulmonaire sur mon paquet ! ).
Cette nouvelle race de parias qui dès l’hiver venu, se les gèle à donf sur les trottoirs attenants aux zincs, snacks, « fast » et autres salles d’attentats.
Oui, celles et ceux-là mêmes qui expirent dans des soupirs exaspérés leur odieux mélange de vapeurs olfactivement contrastées ( !).

Au vu de la politique actuelle, précautionneuse et hyper bourrée (…Hips !) de principes, qu’elle paraît lointaine l’époque incorrecte et obscure où l’on pouvait encore fumer un barreau de chaise jusque dans son lit d’hôpital !



Une petite dose de préoccupation politique ? Eh bien, notre éminent Scénariste en profite d’ailleurs pour l’immiscer dans la nouvelle tranche de vie Parkerienne qui sur le plan papelard, se découpe juste derrière la dernière piqûre en date (cf. en bas, à droite de ma 2ième pièce jointe du ci cinquième volet lu in situ).


PETER tenant toujours son BUGLE par dessus la tête aperçoit soudain GWEN qui arpente aussi le trottoir

Chasing Pavements (*4) ?

Il court pour la rejoindre.

Woah ! La Classe : imperméable et bottes assorties que séparent juste ses jambes fuselées hélas soulagées des si chaleureux bas résilles …ou la logique féminine dans toute sa splendeur ! ()

GWEN va pouvoir offrir un petit coin de paradis à son poursuivant car elle au moins, elle tient pas un parapluie au rabais (…z’ai eu beau ZOomé à fond mes lentilles Latvériennes, pas trouvé le tarif du DAILY).


Les Amoureux transis commencent à discuter.

Le contact reste assez froid. Mais faudrait quand même vous rappeler que leur dernière rencontre physique en date (cf. troisième volet) s’était achevée dans une certaine agitation de particules (en clair : ça avait un peu chauffé !).

GWEN apprend à PETER ce qui est arrivé à son Capitaine courageux de Père. Curieux ça, la Profession : Reporter supervisée par ROBERTSON (Yeah ! Superdu miroir moustachu...) l’aurait donc pas marqué dans la feuille à scandales que pourtant, le meilleur de ses photographes free-lance vient d’éplucher en intégralité ?


Ah ! L’ambiance se réchauffe petit à petit. La Demoiselle s’avoue même fascinée par les vertus combatives du mystérieux ARAIGNÉE (?) qu’elle compare à la dangerosité lourdement matérielle du SHOCKER.

Le Couple presque rabiboché envisage maintenant d’aller fêter leurs retrouvailles autour d’un pot.


Mais… mais, c’est qui don’c’ui-là qui tombe comme un cheveu blond vénitien dans la soupe, histoire de jouer le troisième (sur)homme qu’on attendait plus ?


Ça alors ! FLASH THOMPSON, quelle …euh, bonne surprise !


Aux dernières nouvelles, l’ex-Sportif en polo rayé du lycée des jours heureux (joli paradoxe « DITKOïen » s'il en est) avait décidé, choix au demeurant respectable, de porter l’uniforme prestigieux qui en ces temps troublés, défendait l’honneur outragé de la Bannière Étoilée (*5) loin, très loin là bas, près des rives du MéKong.

Et sans crier gare, les grands yeux bleu océan de GWEN ne clignent plus qu’en direction de l’ostensible Militaire provisoirement de retour au bercail (*6).

Oh oh, voila de quoi raviver cette animosité latente que réprouve fort difficilement (il peut pas être bon en tout) un PETER outragé à son tour pendable par la présence intempestive de l’ex-Persécuteur aux gros bras …rayés des carnets scolaires.

Un ressentiment même pas tempéré par la vénération sans bornes que notre Troufion en permission spéciale voue toujours à son Héros, pour pas dire son Totem, SPIDER-MAN !!


La suite des évènements ne restera pas longtemps en embuscade.

Elle va aussi pratiquer une brèche sérieuse au plein cœur de cette baraka exceptionnelle qui accompagnait les parcours conjoints de l’ARAIGNÉE et de son Alter ego depuis, disons le 1ier tiers du quatrième volet (cf. Strange 68) :

Ainsi, la météo ne s’était pas trompée. Le temps des passions au beau fixe devra encore attendre la dispersion totale des nuages noirs persistants

…fumées de napalm incluses.

Et quant au reste de l’épisode, il est pour ainsi dire déjà condensé dans les 2 dernières bulles « pensongères » du Soupirant humide et maladroit qui se morfond le dos au mur.

Les mêmes petits nuages blancs qui chatouillent en ce moment votre propre ZOne de cortex où clignote ce plaisir certain pour découvrir enfin la pièce jointe terminale (restons scolaire) de mon post .

…car la chute, celle du SCHOCKER, en l’occurrence, est comme la réplique (encore ?) de celle du troisième volet (cf. Strange 67) :

-- 1) Le dépit amoureux de PETER PARKER sert à nouveau d’exutoire à l’ARAIGNÉE.


-- 2) Le combat final se déroule de nouveau, la nuit.


-- 3) À nouveau, un gros véhicule fait son apparition.
Sauf qu’il ne s’agit ni de la Lincoln Continental conduite intérieurement par Madame CAÏD (chut…huch no more !), ni de la « voiture reporter » avec NED LEEDS pas à la place du mort increvable (), mais d’un fourgon blindé piloté comme il se doit, par 2 convoyeurs de fonds pas très fute-futes portant l’uniforme avec casquette.


-- 4) La planche ultime (number twenty) nous montre de nouveau SPIDEY contraint et forcé de s’éclipser derrière un immeuble sur lequel ricochent à nouveau de multiples impacts de balles provenant cette fois, non pas des pétards réglementaires du N.Y.P.D. mais d’une intimidante mitraillette dont se sert (permis de port d’arme à l’appui), le plus zélé des 2 quidams sus cités. À nouveau un mec qu’a rien compris au film.

Quoiqu’il faille parfois faire preuve d’indulgence, notamment ce gros malin de Chroniqueur amateur qui se rend maintenant compte trop tard ses vieux « Journals des Super-Héros » à l’appui, que si les dits coups de feu restent incontestés à la fin du second volet (cf. Strange 66), ils ne produisirent aucun écho au troisième.

et maintenant, les menus détails qui font la différence et qui prouvent que LE SHOCKER y fait rien qu’à (mal) copier les beaucoup plus meilleurs que lui :



-- 1) Il laisse tomber le coté spéculatif de la Tablette hexagonale en même temps que ses vilaines et vaines prétentions à être un adversaire de la trempe du CAÏD, lequel rappelons-le, cachetonne minimum pour 3 épisodes consécutifs de l’ARAIGNÉE ! au misérable abonné du singleton.

Le calfeutré recouvre ainsi sa catégorie. Celle d’un braqueur de bas étage ou tout au plus du rez-de-chaussée …où passent parfois les grosses tirelires à roulettes.
Et dire que tout à l’heure sur les hauteurs insignes, l’indigne actionneur de ses vibro-sulfateuses (bi)planait un maximum en se la jouant faiseur de pige à King Kong !


-- 2) Il défonce les portières des grosses bagnoles de l’extérieur.
Ça manque vraiment d’originalité comparé one more time, au distingué CAÏD (bien mieux sapé) qui lui, le fait par l’intérieur !


-- 3) Dans le même ordre d’idées à belles ouvertures, c’est pas ce « Caïd du pauvre » qui surprend l’ARAIGNÉE mais l’inverse.
Le Monte-en-l’air lui tombe sur le paletot via une magistrale prise en ciseau autour de son collet matelassé.
Attaque d’autant plus infamante pour notre catcheur d’opérette accoutré avec une sorte de Minerve intégrale, que l’usage offensif des membres inférieurs est formellement interdit par La Fédération Internationale de Lutte Gréco-romaine ! ( bis)


-- 4) Je l’ai déjà dit : LE SHOCKER n’a pas de complice, LE SHOCKER est un solitaire !
Donc pas question qu’une Poule en bas résilles par exemple (chut…mais Chut…enfin !, déboule pour jouer la Fille de l’air quand le cagoulé rechapé qu’elle a dans la peau sent le roussi !



De la Poule grillée avant même sa prestation vertigineuse attendue au prochain volet...

-cf. la couverture du Strange 70 du 5 Octobre 1975 vue en modèle réduit sur la 4ième de couverture du Strange actuellement en tête de Course-

...au dindon de la farce, il n’y a qu’un pas, ou plutôt un saut octopode des plus audacieux qu’il faudrait surtout pas hésiter à accomplir.

Oui, je préfère aller m’accrocher direct à la vignette finale de l’épisode où l’on retrouve (si vous arrivez toujours à me suivre) notre Héros solitaire assis sur une cheminée (éteinte, je précise) en train de livrer ses premières impressions « à chaud ».
Seule alternative concevable d’ailleurs, puisque le dispositif de circonstance (cliffhanger : mot quasi martien en Septembre 1975) semble bien lui, avoir fait …faux-bond !


Et là, [ le dindon de la farce], c’est l’Araignée en personne qui lui donne son nom. Celui du [ pauvre PARKER], bien entendu !


Simple constat réaliste faisan(t) suite à sa nouvelle victoire à la Pyrrhus.
Ou l’us (ou l’os ?) et coutume de son cru qui s’apparenterait pas mal à la définition de l’Altruisme énoncée tout à l’heure.
À savoir : l’Art prolixe et presque suicidaire de retirer des tas de marrons du feu sans aucun bénéfice personnel

…excepté (cf. le panel qu’est juste au dessus) ces 3 jolis pruneaux qui font PTHIK ! PTHAK ! PTHOK !

…mais y manque plus que des WIZZZZ à ce Comic Strip !

Le Super-héros a beau affirme-t-il, [avoir enfin épinglé LE SHOCKER]

- note : le scélérat battu à plate couture et entoilé contre un vil mur en béton, adopte maintenant un caractère beaucoup moins outrancier. Surtout depuis que notre inénarrable Amateur de bons mots [ lui a chipé ses Vibro-poings] en lui disant qu’[ ils feront de magnifiques boutons de …manchettes ! ]-

le récapitulatif de son Amazing Journey (*7) renoue avec un ton défaitiste redevenu ordinaire :

Plus de GWEN à la revoyure.

La Tablette dans la nature

Et même pas une seule photo comme sinécure !

Retour au catastrophisme fondamental de la série, donc.

C’était d’ores et déjà annoncé dès le départ avec ce pointage aux (mauvais) essais qualificatifs du seul et unique « villain » à qui mes yeux désormais endurcis ( ! ), n’auront jamais donné le moindre petit gallon de « Super ».

Commentaires:

--- 1) Objectifs


STAN LEE poursuit ici ses timides implications dans le contexte sociopolitique qui mobilisa (notamment) la Jeunesse Américaine durant disons, ces 5 Années qui déboucheront sur la démission forcée du Président RICHARD NIXON.
Évènement comme on sait, consécutif au fameux Scandale du Watergate divulgué grâce à deux opiniâtres Journalistes du Washington Post (les JONAH JAMESON et ROBBIE ROBERTSON de leur coin …coin !) et dont l’un des contrecoups les plus emblématiques sera la chute du Gouvernement « légitime » de Saigon, le 30 Avril 1975.

Cette date fatale qui scelle la fin d’un long et tragique Cycle Historique (avec un grand « H ») s’enchaîne par conséquent quasi en direct avec le commencement d’un Autre beaucoup plus court et (heureusement) beaucoup plus « comic ».
Celui-là intéressait surtout une Étrange communauté de jeunes Lecteurs Fanatiques - mais pacifiques - alors administrés par l’ex Puissance Coloniale hexagonale (avec un petit « h ») défaite à Diên Biên Phu.
Cycle de papier éphémère avec son petit coté « l’Archéologie pour les nuls » …anachronisme à prendre au Sixième degré, bien sûr ().


Après les revendications égalitaires des étudiants WASP nécessiteux et des étudiants Africains-américains logés à mauvaise enseigne, la parole passe cette fois dans le camp du simple soldat volontaire parti (sinon temporairement revenu) du terrible front Vietnamien.

On l’admettra pour l’instant, le nouveau message engagé de « l’Homère du XXième siècle » conserve ses caractères assez timorés …même si cette allégation semble un rien excessive à l’encontre d’une personnalité aussi forte et affirmée que celle de FLASH THOMPSON.


L’épisode consacre également l’arrivée d’un Hôte de Marque au sein de l’Équipe rédactionnelle impliquée dans ces Aventures précises de l’Étonnant HOMME ARAIGNÉE.

Enfin, le Marqueur (ni CHRIS, ni même un Stabilo) se réfère aux Années glorieuses des premiers magazines Super-héroïques édités par LUG, Succursale Française de la Maison des Idées adoubée par STAN LEE lui-même.

Le mythiqueFantask d’ailleurs, ne date-t-il pas de 1969 ?Comme ce même Cycle de la mystérieuse Tablette d’Argile pétrifiée en VO ?
Comme la création de la Comédie Musicale « Hair » en VF (featuring un Chantre chevelu à la voix chevrotante frappée de visions Californiennes) ?
Comme le Festival « limonado-limoneux » de Woodstock ?
Comme le bourbier (toujours à base d’argile) où se plongera dix ans plus tard l’intrigue rétroactive d’un certain « Voyage au Bout de La Nuit du Chasseur de Cerf…euh, pardon (Chef j’ai glissé Chef ! ) …au Bout de l’Enfer » ?
Et cætera, et cætera…

Bref, « BIG » JOHN BUSCEMA faisait sa Rentrée pour ses innombrables Fans (Yeah, the Strange & Pacific Ones) abonnés au Courrier des 3ièmes de couverture.
À point nommé du reste, pour un épisode venu tant illuminer les heures moroses de leur rentrée des classes 1975 (dixit Mon Journal du Super-potache dissolu).

Rentrée plutôt timide encore une fois, puisque le Great Artist s’aura visiblement contenté de produire quelques esquisses (ou « layouts », comme je l’apprendrai plus tard) que le trop modeste JOHN ROMITA (« SENIOR », comme je l’apprendrai …pareil) sans oublier le fidèle JIM MOONEY se seront vite appliqués à repasser, afin peut-être de pas trop non plus se faire déposséder du cachet graphique de notre histoire captivante en 8 volets désormais en bonne voie vers le point de non-retour.

Mais l’éminent Dessinateur anatomiste cité quand même juste après STAN « THE MAN » aux crédits de la fracassante planche d’ouverture (ou « spash page » d’intro, comme je l’apprendrai … y a encore moins longtemps), saura faire croître tel le bras droit d’un illustre Savant Saurien () son empreinte si marquante durant au moins les …8 numéros du Tisseur à venir.

Une confirmation totale du Phénomène se concrétisera toutefois via deux nobles et fort beaux Sauvages en « noir et blanc » :
D’abord, un Lord Anglais éclatant de blondeur avec un Tigre aux dents de sabre impressionnantes toujours collé derrière son pagne.
Ensuite, un Roi d’Aquilonie en devenir tout en muscles portant à la fois crinière d’ébène et lourde épée aussi démesurées que lui.


Remarque : l’Auteur de la présente rédaction, adolescent attardé à l’évidence toujours assis près du radiateur (éteint, dois-je à nouveau préciser ?), aura conservé toutes ses attentions (et intentions !) dissolues puisque la Rentrée supposée Marquante dont il vient de faire pompeusement étalage fut en vérité consommée 4 mois plus tôt.

Dans le Strange 65 du 5 Mai 1975 donc,où outre le premier volet du Cycle ci étudié, les petits Papivores exaltés retrouvèrent déjà The « Grand » GIOVANNI (Moi être le + meilleur élève de STAN LEE ) dès la planche douzième de leur Magazine préféré.
Encore un remplacement au pied levé pour terminer une histoire somme toute assez banale du plus Fringant des CAPITAINES extraterrestres à chevelure argentée alors lâché en pleine foulée par son non moins prestigieux Titulaire, un certain …Citizen KANE !




---2) Subjectifs :

Cet épisode violent où le Capitaine STACY en prend pour la première fois pour son grade - c'est-à-dire plein la figure - m’apparaît comme assez prémonitoire de la destinée fatale qui frappera l’attachant Personnage un an et demi plus tard (temps compté des parutions à l’appui).
Des circonstances dramatiques que j’aurais toujours bien de la peine () à relater ici …malgré l’écroulement de cheminée anticipé (cf. planche 7, vignettes 2 & 3 de ce satané cinquième volet), par le vilain SHOCKER qui là encore et sans doute à son corps défendant, fait rien qu’à copier un autre beaucoup plus meilleur que lui !



Pour la suite, j’arrête là car une subjectivité débridée encombre suffisamment jusqu’aux limites du raisonnable :

---a) Le corps(usé et fatigué ?) de mon long texte principal écrit en verdâââtre ;


---b) Ma charade allégorique cryptée en bleuâââtre, laquelle s’embraye en 4ièmeVitesse sur ma vision psychédélique de couleur noirâââtre (non-sens daltonien à l’état pur !) du KREE engagé pour en faire la couverture évène(dé)mentielle.
Soit le double pilotage expert qui assure le fulgurant lancement du déjà distingué précèdent ;


---c) Mes sept renvois pré étoilés (*n)vers autant de digressions trempées dans ce même tonneau de sombre peinture hurluberlue (et croyez-moi, du daltonisme à la berlue, la frontière est mince)
…ou l’artifice digital nécessaire pour enfoncer les touches multiples de mon immuable Juke-box analogique, lui-même introduit par un Morceau caché des plus savoureux ;


Sans trop gloser sur les titres + ou – bien cachés de films « cultes »(entre autres) que fort malgré eux, j’ai cité à comparaître un peu partout sous une bonne garde-à-vue préalable de la police montée à font de train par le gars ramond…comme y dit s’appeler ;


Et quant aux nombreux liens hypertextes insérés là à seule fin de mieux vous imager - ou mieux vous sonoriser - mon propos de minimaliste syndical radical limité à ses 3 P.J. par Post(e), disons seulement qu’ils sont maintenant tous gras et marrons comme des esclaves bien nourris néanmoins férus d’évasion.()

Ce discours plutôt formel ne m’affranchira pas du désormais incontournable bilan de notre Cycle enfin arrivé à la marge de sa dernière ligne droite :

Les volets 1 à 3 ont démontré l’influence d’ordre exitatoire (restons scientifiques) de la mystérieuse Tablette d’Argile pétrifiée sur certains éléments d’une « Jeunesse phénoménale ».


Puis ce volet si bien placé grâce à la Vitesse sans doute prise dans le 7ième Art atomique des Fifties est venu y mettre son premier grand coup d’Accélérateur …sans trop chercher (?) votre mise en Boite de Pandore (…bon si, quand même !).



Et alors ? Quelle nouvelle ouverture d’Esprit nous apporte leur méprisable successeur secoué comme une grosse caisse de stock-car avec des culbuteurs mal lubrifiés et l’avance à l’allumage complètement déréglée ?


Pas grand-chose de fondamental, en fait. À part peut-être …hé hé, un capitonnage extérieur à même de se retrouver bientôt à l’intérieur d’une grande caisse en bois précieux avec vu de l’extérieur (son ultime occasion du Revenant fumeur de Gitanes là, de chanter ...« Je suis venu te dire que je m’en vais »), un pesant couvercle et 4 solides poignées chromées.


Parce que ça, oui, c’est bien le cauchemar éveillé du prochain Protagoniste en Chef aux cheveux blancs que le Run de la Pierre Hexagonale qui roule s’empresse désormais de propulser en première ligne (droite, vous êtes toujours sûrs ? ) de son inéluctable triptyque conclusif.


À la seule et Unique ( …bon, OK MARV, arrête, on a pigé) condition que la vieille chose argileuse me laisse quand même prendre un peu / beaucoup de temps sur celui qui me - et vous - reste en patience !

THE ORIGINAL SOUNDTRACK :

cette élégante formule trop évidemment générique vous convie déjà à goûter l’exquise 1ière entrée musicale inscrite au copieux menu du jour

ou votre« ze véry goude Pop traque frome-Age 1975 » pratiquement servi sur plateau d’Argent

…nom de Nom de la soupe favorite du Mafioso édenté !

(*1) SEAN, GEORGE, ROGER, sans oublier DAVID et ses tas de doublons, les plus poilus …euh non, les plus poilants du CASINO ROYALE FUN MOVEMENT !

On regrettera juste qu’en montant ce trailer si associatif, tout ce beau Monde Réalisateur(s) qui fait BOOM (!) à la fin ait laissé filer son gag le plus GÉNIAL : celui où les Indiens (HOOKA HEY !) sautent d’un Nord-Atlas avec leurs parachutes en forme de …wigwams !


(*2) Pourtant, il avait pas de quoi faire la tête à L’homme à tête de Chou,L'Ami Cahouette, puisque son 45 tours au raz des pâquerettes Africaines écrit sur un coin de table fit (fi !) pas mal chauffer les postes vers la mi 1975. Souvent couplé avec le Ramaya d’AFRIC SIMONE, d’ailleurs, pour toujours faire non pas le pédant () mais le pendant. Rien à voir donc, avec l’accueil public glacial réservé au « Rock Around The Bunker » sorti le 1ier Janvier de cette même belle Année visionnaire. Un Concept-Album plus ou moins autobiographique (un peu son « The Wall » au GAINSBOROUGH avec 4 ans et demi d’avance ! ) qui tournait en dérision (33 +1/3 Umdrehungen pro Minute ! ) les derniers jours d’ADOLF & EVA.
Projet plutôt suicidaire commercialement parlant à l’époque du déjà fort controversé « Portier De Nuit » avec CHARLOTTE G... RAMPLING & DIRK BOGARDE(…Ah, encore cette histoire obscure avec un Chasseur ! ).
ici : le morceau au raz des pacotilles sud-Américaines qui lui, me fera toujours bien marrer.



(*3) Ouais, faciiiiiile mais nul n’échappera à l’Énorme Tube frenchie de l'été 75 !



(*4) Oh Celle-là, c’est pour qu’on accuse pas mon juke-box d’être un sale ringard passéiste.
Morceau récent donc qui sied pas mal je trouve, aux retrouvailles amoureuses ci rattachées.
Cela dit, l’ADELE qui a ramassé à son meilleur profit le manteau entre-temps tombé des épaules anorexiques de la dernière Adhérente en date du CLUB DES 27, aurait maintenant LA GROSSE () tendance à me les gonfler grave avec ses « Bondissantes » vocalises exacerbées.
Enfin bon, son 1ier carton restera toujours pour moi l’exception qui confirme la règle : la mélodie tient bien la route et les arrangements « alla AL GREEN » ont tout pour séduire les oreilles délicates des vieux grigous grincheux qui ne se refont pas …et à qui on ne la fait pas !



(*5) Incontournable ça aussi, pour illustrer mon épisode vedette du jour sorti à l’origine durant cette « Année Érotique » prise au 1ier degré par la secte des Amateurs de bains de boue aux esgourdes souvent hagardes (synonyme : absentes) mais débouchées peut-être à coup de forte fanfare matinale pour un lever de Drapeau terminal de leur concert de débauches demeuré un peu trop dans les anales ().



(*6) Je profite d’ailleurs de cette nouvelle coïncidence Situationniste pour dédicacer ce volet central de mon petit triptyque Woodstockien à l’Ami TANDRUIL avec qui j’ai eu le réel plaisir de discutailler en vrai lors du dernier Lille Comics Festival en date.
Ce qui change des joutes épistolaires un brin tendues ().
Pas rancunier pour un sou, le bon Mélomane Crayonneur à ses belles heures (‘tintion min Fiu, d’pas confonte avec l’aut’ Carillioneux, hin !) m’a même dédicacé un ADAM WARLOCK de son cru.



(*7) Encore un Groupe brillant, sinon bruyant présent au Festival « Peace / War & Love » déjà sollicité ici à 2 répétitions.
Le morceau choisi prend son envol original en face 1 du Concept-Album-Rococo-Opératique qui se sera sans doute le mieux vendu dans ces Années là.
Tiens ? Curieux ça : les lyrics du dit Voyage Stupéfiant furent aussi les seuls à être gravés sur le « Gatefold » à triple ouverture (ou Departure ?) contenant les deux supports microsillonnés à 33+1/3 tours nécessaires à son contenu artistique étalé sur 24 plages bien différenciées.

Coïncidence accessoire : le film de Ken RUSSEL qui voudra lui offrir sa vision Grand Écran (quel comble pour le Deaf-Dumb-and-Blind-Boy- qui-faisait-flipper-pas-mal !) est sorti en l’An de grâce 1975.
D’où une connexion avec « mon » mystérieux Cycle Hexagonal à nouveau confirmée.
N’empêche, si cette bobine ultra sonore et ultra multicolore (un cauchemar pour mélomane daltonien !) m’avait laissé à l’époque quasi sans voix (un comble pour …etc.), quand je l’ai revue récemment sur petit écran (Arte, je crois), la vache de sacré coup de vieux qu’elle a pris !

Hum, légère connexion avec « ma » thématique du Rapid Aging également passante, semble-t-il.

[Oromasès]

J’en suis déjà convaincu, vous pardonnerez sans ambages l'Aquoiboniste chronique voire refoulé () qui s’en vient troubler parfois votre Savant milieu d’ordinaire si propice aux cogitations limpides, de vous les gonfler encore avec son soi-disant Sixième Sens légendaire.


Donc, aujourd’hui en allant turbiner (ça lui arrive) derrière son tableau DEBORD (…vroum, vroum !), v’là-t-y pas que l’Agité du bocal se branche sur la nouvelle France Musique Matinale.

Mais si, vous savez, celle-là même d’où y s’est fait Chasser le bon p’tit Père (Saint) CHRISTOPHE pour qu’on lui mette à sa place, l’autre espèce de sinistroseux Plan(c)ton spécialisé dans le ronron () ...à en juger par le carnet mondain trop bien rempli du Zigue en question.


Et qui c’était l’invité prestigieux du jour ?

Et bien une Prestigieuse Invitée : rien moins que la Brune Égérie du GODARD (The Best ONE …+ ONE ) des ex Femmes des Sixties !


Bon malgré ça, il faudrait climat-tempérer nos ardeurs (pas exactement sous le Soleil, donc), la Dame est juste passée faire un coucou promo rapide pour la soudaine reprise au Rond-Point ( priorité aux véhicules engagés !) de la Comédie Musicale télévisuelle qui s’articula jadis autour de son joli Prénom :

francemusique.fr/emission/l-invite-du-jour

C’est une certaine Cécile à patronyme « hexagonal » qui reprend le flambeau, parait-il.

Mais non, pas la Fille à NOUGARO !

N’empêche, l’Interviewer gros lécheur de bottes (jusqu’en haut des cuisses ) aura remonté un chouia dans ma modeste estime.

Car ils ont passé le " G.I. JO ".

…que je dédie à ce pauvre FLASH THOMPSON, bien entendu !

[Oromasès]

	Citation:			Posté par le Vendeur de pop-corn bien craquant à l'entracte
	(...) l’inaccessible destin de la chère Silhouette Hitchcockienne systématiquement imprégnée sur ces bobines de moins en moins à base de celluloïd d’où sont projetés tout plein de gugusses en collants chamarrés et exosquelettes assortis sur cette grande toile de plus en plus diligente au digital. …hé, mais c’est p’t’êt’ ça finalement le recyclage anticipé des vieilles phalanges (...) …rien à voir avec ces séismes de vaste amplitude projetés par la Filmo-Catastrophite au zénith courant 1975 (c’était La Dernière Vague en vogue) sur nos grands écrans antédiluviens tout secoués de Sensurround (...)

Concernant justement ces nouvelles pratiques digitales dans nos modernes salles obscures, voici une mini chronique assez hilarante écoutée hier matin (toujours derrière mon volant Situationniste) sur « lancer Ce Futur » par leur Spécialiste local et patenté de la Toile.

…quoi, encore un Pote à SPIDER-MAN ?

Eh bien là, moi le Vieux Sage qui peut plus retenir ses grimaces joint ses quatre mains à celles de l’Humanité pour applaudir.

[Oromasès]

	Citation:			Posté par votre Radiophile SYMPATHIQUE EN DIABLE
	(...) Mais …et PETER PARKER, là dedans ? Eh bien, lui il apprend le nouveau sort fait à la pierre croulante (ben oui …vu son âge) dans le bus grâce à son voisin de (Beggar’s)banquette (). Si si, regardez bien. C’est le jeune barbu à lunettes fumées qui écoute les news baffle grésillant de son I-Pa… euh, son transistor collé sur l’oreille. Super bonne idée en effet, d’en faire profiter tout le car ! Tiens ? Je me plais même à imaginer qu’il s’agirait bien peut-être là de l’inégalable Optalix TO 99. (...)

Ah, bon ça va, me voila enfin rassuré, il y a au moins QUELQU’UN D’UN ÂGE ASSEZ AVANCÉ lui aussi, qui aura lu ma dernière très très* longue Chronique en date au point (nommé !) d’en avoir peut-être inspiré () le premier Singleton** extrait de sa propre livraison copieuse et Victorieusement Automnale d’ores et déjà annoncée à grand renfort de, hum …annonce publicitaire*** :

LES VRAIS (super ?) HÉROS

Oui, c’est vrai, la nature même de ce post l’aurait sans doute Destiné à pas mal enrichir cet autre Topic « Comics + Music » que j’affectionne également.

Mais je sais pas, il semble nez-en-moins qu’il reste mieux en Situation ICI.

Alors, désolé Mister S J si moi Narrateur avéré d’une tranche de vie Parkerienne, préfère à nouveau reculer pour …mieux sauter !








* …trop, toujours dixit le Dyslexique de base ?


** Single Tonal des plus provisoires donc …d’où toujours mon tirage de très très grosse (et pas Rolling Stonienne pour un sou…s doué , celle-là) au Mister SHOCKER !


*** Et quant à l'intempestive annonce publicitaire U-Tubesque (), je vous demande de l'ignorer le + vite possible ...pour une fois !!

[Oromasès]

N’ayez crainte, chers Étudiants qui sans avoir la plus petite Araignée au plafond avez adhéré d’enthousiasme (y a l’air…) à sa Classe de décryptage des Textes Anciens, le Professeur ORO (excusez-moi du peu mais excusez-vous du …PEUH ! ), entend bien vous assister dans ces travaux de Recherche assez ardus qu’il vous a donc soumis.


Votre Zélé Serviteur Syndiqué () utilisera juste pour commencer son simple tiers autorisé par le minimalisme pictural auquel il s’est de longue date, Radicalement assigné :

Bonne écoute, à bientôt !

[Oromasès]

Tout bon Professeur se doit d’être au maximum exhaustif dans ses démonstrations.


Dans le refrain du Cosmik Debris (=fragment promotionnel) mis en ligne 2 stations plus haut, Super PAPY SCHMOLL*() précise bien que « ses Vrais Héros » à Lui, ils voyagent en bus, en train, en métro...


Bon d’accord, pour ce dernier moyen de locomotion, j’irais quand même pas chercher la petite bête en vous re signalant () que la grosse tête du seul vrai KING KONG original avec son grand sourire Ultra Bright vous a pourtant fait le coup du léger coucou (ça biplane pour moi ) à 2 endroits de ma donc, très très longue Chronique.


Mais pour le second, là on peut dire que c’est tout bon, ça roule :

	Citation:			Posté par un vieux Chef de Gare avec sa casquette et son sifflet
	(...) Le Teen-ager costumé avait quand même une bonne raison de se presser. D’ici une heure pétante, il doit aller agiter son mouchoir blanc à la gare où à la faveur du pactole miraculeux échu le mois passé (cf. le ……….Quicksilver Messenger Service rapide), sa chère TANTE MAY embarque dans l’express des curistes en partance pour Le Sud(*3). (...) Scène suivante : tout se passe comme prévu, TANTE MAY à la grande joie de ses Fans - Thank You...STAN LEE ! - est enfin partie au soleil avec son beau chapeau fleuri et son chaperon favori, Mrs ANNA WATSON, elle-même Tantine de la (sierra) torride MARY-JANE. (...) (*3) Ouais, faciiiiiile mais nul n’échappera à l’Énorme Tube Frenchie de l'été 1975 ! (...)

Bon Voyage, à bientôt !

*BIG RESPECT dû au Vieux Pistolero des Westerns « Bifteck-frites ».

[Oromasès]

Ce matin, toujours le pied sur son Accélérateur pour rejoindre la contrée lointaine où il a trouvé Situation, le Pilote Inconscient () qui maintient ce Topic en mode dynamique à lui tout seul se branche à nouveau sur les « Ondes Savantes » déjà indiquées 4 stations plus haut.


Oui, ces mêmes diffuseuses à cette heure là de 3 mini Chroniques chronologiquement enchaînées sur un mode invariable qui passe des Réseaux aux Papiers « Bible » en stationnant un court instant du coté « Son » pur et simple.


Et justement, concernant celui-ci, v’la-t-y pas que le Détenteur patenté du dit petit créneau en profite pour rendre aujourd’hui l’hommage éclatant qui est dû à l’IMMORTEL AUTEUR DU "SUD" (…mais pas que ça, loin s’en faut !) maintenant évanoui dans sa belle nature depuis bientôt 15 années et 2 mois tristes.


Ce micro panégyrique s’effectuant à l’occasion de la promo - et là c’est de bonne guerre (on le sait bien…) – du copieux Coffret Intégral quasi exhaustif* publié donc ces jours-ci.


Ce micro panégyrique s’étant aussi effectué en la présence du reste assez complice de cet actuel Ministre « Redresseur de Torts » au verbe haut (au sens Super-héroïque de la formule ) avec lequel votre Zélé Serviteur (etc.) a l’insigne honneur de partager aussi une même Année de naissance.


Ça crée des liens franceculture-ce-qui-nous-arrive, digital natives, NINO FERRER, ça c’est sûr.

…ouais encore réussi à le dire sans ZOSOter ! ( & )

*Une qualité d'ailleurs partagée par tous les bons Professeurs