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ok cool, j'ai bien fait de le lire quand même alors.
merci pour ton retour
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oui c'est bien la mini point blank dans le semic book.
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J'ai commencé mon Omnibus de DEADPOOL (Joe Kelly). Le premier épisode m'inspire pas des masses, pour le moment. Faut dire qu'avec la saga des présidents américains qu'on vient d'avoir en VF c'est dur d'arriver au même niveau.
Je vais persister ce soir, ça peut pas être mauvais puisque tout le monde trouve le run de Kelly génial ! |
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Le run de Kelly est vraiment très bon, on en reparle dès que tu es arrivé à l'épisode 10 ou 11, je sais plus
Mais attention à ne pas négliger le run de NICIEZA sur CABLE / DEADPOOL... Pour le Deadpool récent, je ne peux malheureusement pas te dire... |
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Me suis emprunté l'anthologie Kirby en bibli et c'est un régal, surtout que l'éditorial est vraiment au top.
Quel beau boulot d'édition pour un grand auteur!
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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Oui c'est un régal je suis d'accord. Le choix des épisodes est bon et comme tu le signales le rédactionnel est à la hauteur du King. Sa carrière est majestueusement balayée. Un magnifique ouvrage. Pour aller plus loin URBAN sort la seconde (pas la deuxième car c'est la dernière ) intégrale KAMANDI en ce mois de Février. La première était du bonheur avec celle ci cela sera le nirvana
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Je suis aussi en train de le lire, en alternance avec plein d'autres trucs que j'ai eu à Noël et avant, dont les Anthologies Superman et Batman (pour ça que ça me prend du temps, mais j'aime bien )
Et je confirme, ça permet en plus d'avoir un aperçu de vieilles séries que je n'aurais (et n'aurai) sans doute jamais l'idée de lire sans ça (sachant que j'arrive juste aux New Gods, donc je n'ai lu que des trucs des années 40 et 50 jusque là) avec bon papier, bonnes trads (le langage employé dans les séries des années 40 me semble assez juste) et l'éditorial qui va bien. Vu qu'ils sont pas très chers, je pense que j'achèterai d'autres volumes par la suite sans hésiter ! (le Joker étant le prochain apparemment, et j'avoue que je cracherais pas sur un volume Wonder Woman non plus !)
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Je pense donc je signe. |
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J'aime beaucoup Sleeper, mais je crois que je préfère l'ambiance de dépression, de gueule de bois continue et de non-contrôle total de Point Blank. C'est bien plus poisseux, sale, désespéré, et ça m'a plus marqué. |
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Mais il est vrai que cela souffrait de dessinateurs (à l'époque) bien inférieurs à la série actuelle.
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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en sachant que pour moi Point Blank est à des années lumières de sleeper ... Sleeper est pour moi la meilleure série du duo Bru-phillips
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King, Springsteen, Guardiola, Brubaker et tous les autres |
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JUSTICE LEAGUE DARK, VOLUME 2 : BOOKS OF MAGIC rassemble les épisodes 0, 7 à 13 et l'Annual #1de la série écrite par Peter Milligan (#7-8) et Jeff Lemire (#0, 9-13) et dessinée par Admira Wijaya (#7), Daniel Sampere (#7-8), Mikel Janin (#9-13) et Lee Garbett (#0), publiée en 2012-2013 par DC Comics. - Rise of the Vampires (#7-8). Ecrit par Peter Milligan, dessiné par Admira Wijaya et Daniel Sampere. Ces deux épisodes concluent le run du scénariste Peter Milligan sur la série et forment un crossover avec le titre (depuis terminé) I, Vampire. L'équipe encore dirigée par Madame Xanadu affronte le tout premier des vampires, Cain. Avoir attaché ces deux épisodes à ce recueil plutôt qu'au volume 1 de la série est une bizarrerie éditoriale. Le résultat ne vaut pas tripette, avec une intrigue peu palpitante (encore moins quand on n'a pas suivi, comme moi, l'autre série impliquée, I, Vampire), et souffre d'une partie graphique très inégale (Wijaya et Sampere se partage les dessins du 7ème épisode puis Sampere s'occupe seul du suivant). Du groupe de personnages assemblés par Milligan et du ton de ses histoires, il ne restera pas grand-chose : l'anglais rédige ça dans un registre sombre en se concentrant plus sur les acteurs et les ambiances, alors que la série va évoluer vers le récit d'aventure plus épique sous l'impulsion de Jeff Lemire, qui va également bouleverser le casting et la direction de l'équipe. Rien d'indispensable donc pour la suite. - The Black Room (#9-11) + War for the Books of Magic (#12, #0, #13 + Annual #1 - à lire dans cet ordre). Ecrit par Jeff Lemire, dessiné par Mikel Janin et Lee Garbett (pour le #0). L'A.R.G.U.S. est une organisation gouvernementale à la tête de laquelle on trouve l'agent Steve Trevor. Il approche John Constantine pour le convaincre de rassembler une équipe qui traquera le sorcier Felix Faust. Celui-ci a en effet capturé un espion à la solde de l'A.R.G.U.S, le Dr Mist, pour s'emparer d'un puissant artefact magique. Pour que Constantine accepte, Trevor lui promet l'accès à la Chambre Noire, une pièce où l'A.R.G.U.S. garde plusieurs reliques magiques. Constantine recrute donc son ex-petite amie Zatanna, Deadman et la mystérieuse Black Orchid (qui est le contact de Trevor). Frankenstein, agent du S.H.A.D.E., le vampire Andrew Bennett et la princesse Amaya, du royaume d'Améthyste, les rejoindront plus tard. Madame Xanadu reste en retrait car elle a eu la vision que Tim Hunter, un adolescent, est mêlé indirectement à l'intrigue, en relation avec un futur apocalyptique où il est devenu le plus grand magicien du monde. Ce que Constantine ignore, c'est qu'un traître s'est glissé dans la partie pour obtenir de Faust un service et que la véritable menace est un de ses anciens amis, assoiffé de vengeance parce que l'anglais et Zatanna l'ont autrefois trahi. Qui, dans ces conditions, mettra le premier la main sur les grimoires de la magie, qui sont à la fois l'index et la source de tous les pouvoirs occultes ? Jeff Lemire se distingue immédiatement de Peter Milligan en modifiant l'orientation de la série. Le symbole de ce changement pourrait se résumer dans le choix du nouveau leader de la JLD, John Constantine, désormais intégré à l'univers classique de DC (après avoir été un des piliers du label adulte Vertigo). L'autre élément clé que Lemire met en avant, c'est l'ARGUS, l'équivalent du SHIELD pour DC, avec à sa tête l'agent Steve Trevor (un des personnages qui a vraiment gagné en importance avec le reboot, n'étant plus cantonné au rôle d'amant de Wonder Woman). Cette organisation gouvernementale veut disposer d'une unité spécialisée dans les affaires occultes et se tourne du côté du magicien anglais pour sa nouvelle affaire, mêlant forces mystiques et espionnage. L'intrigue voit donc John Constantine, à la demande de Steve Trevor, rassembler une nouvelle Ligue des Ténèbres pour appréhender le sorcier Felix Faust, localisé en Afrique du Sud. La JLD doit récupérer avant lui les Grimoires de la Magie, quatre ouvrages qui seraient à l'origine de la magie elle-même et qui, donc, donneraient à son possesseur des pouvoirs considérables. Le problème, c'est que Constantine ignore qu'un personnage censé être de son côté s'est allié à Faust et surtout que le véritable danger vient d'une ancienne connaissance qu'il a trahie ? Constantine lui-même est-il digne de confiance ? Et enfin les grimoires existent-ils vraiment ? En comparaison avec Milligan, qui avait livré des épisodes sombres, sérieux, Lemire préfère nettement insuffler à la série plus d'action, de suspense, de rebondissements. On est dans un registre finalement semblable à celui à l'oeuvre dans Justice League mais avec la magie en arrière plan. Cette rupture permet au lecteur qui n'a pas suivi le run de Milligan d'embarquer dans celui de Lemire sans difficulté. Les seuls personnages qu'a conservé Lemire sont Constantine, qui devient le leader de l'équipe ; Zatanna, dont le passé commun avec Constantine va être précisé ; Deadman ; et Madame Xanadu, même si elle passe une bonne partie de l'arc en retrait. De nouveaux membres apparaissent comme Black Orchid ; le démon serviteur Black Ivy ; Andrew Bennett, redevable à la JLD après son combat contre Cain ; la princesse Amaya du royaume d'Améthyste, et le monstre Frankenstein, agent du SHADE (ces trois derniers n'intervenant que dans la conclusion, lors de l'Annual #1). C'est un groupe dysfonctionnel avec de fortes personnalités, et cela produit des échanges vifs, des relations savoureuses : chacun ici a la langue bien pendue et Lemire soigne ses dialogues pour souligner les tensions mais aussi l'aspect comique. Il ne lésine pas non plus sur les coups de théâtre, les révélations spectaculaires, les motivations cachées - à tel point qu'on peut parfois se sentir submergé par le flot d'informations délivrées par le scénariste. C'est à la fois très tonique et très dense, il faut lire ça avec attention mais une fois immergé, on y prend beaucoup de plaisir. La partie visuelle est assurée par Mikel Janin, qui est en place depuis le début de la série. Je ne connaissais pas du tout cet artiste et c'est donc une grande révélation. Il se distingue par un trait précis, notamment pour les décors représentés avec un luxe de détails souvent bluffant, surtout qu'il s'encre lui-même. Ses personnages ont tous beaucoup d'allure et de charme, ses femmes sont en particulier très belles sans être des bimbos. Il est également très fort quand il s'agit de montrer de manière originale les manifestations magiques sans recourir à des figures déjà vues. Pour cela, il s'appuie sur de très bons coloristes, visiblement vite épuisés par l'exercice (Ulises Arreola, Kyle Ritter, Rob Leigh) mais qui se passent le relais sans qu'on voit de différences notables dans la palette utilisée. Le seul bémol concerne l'épisode 0 dessiné par Lee Garbett, dont le style tranche singulièrement avec celui de Janin, et pour un résultat très en deçà : dommage car le chapitre méritait mieux (il s'agit en effet d'un flashback sur les origines de la rencontre entre Constantine et Zatanna mais aussi sur le personnage à l'oeuvre derrière toute l'histoire des grimoires. Si l'ensemble est donc très satisfaisant, on peut tout de même déplorer quelques points (qui seront certainement corrigés dans le prochain arc et au-delà). D'abord, si Constantine est un personnage formidable, véritable anti-héros à la fois charmeur et insupportable (et avec toujours une clope au bec, ce qui ne manque pas d'étonner dans le monde aseptisé des comics où même Wolverine a abandonné ses cigarillos), il prend beaucoup de place et vole la vedette au reste du groupe, au point qu'on a parfois l'impression de lire davantage une série "John Constantine and the Justice League Dark". Et ensuite, comme je l'ai déjà souligné, Lemire a parfois tendance à surcharger son récit en twists et personnages secondaires appelés pour gonfler les rangs des gentils au détriment d'une caractérisation digne de ce nom : que le scénariste se fasse plaisir en invoquant l'héroïne d'Amethyst, Frankenstein ou en rappelant Andrew Bennett (tous trois récupérés de titres arrêtés), pourquoi pas, mais à condition quand même d'en faire plus que des figurants. JLD permet cependant de réaliser à quel point DC regorge de personnages issus du répertoire magique et Lemire semble très au fait de ce côté là, maîtrisant parfaitement son affaire, et s'amusant avec un plaisir souvent communicatif. Par exemple, il s'approprie Black Orchid en lui conservant sa part de mystère intacte, telle que l'écrivait Neil Gaimain dans sa mini-série mythique illustrée par Dave McKean. De même, il anime Deadman avec beaucoup d'énergie, s'en servant comme d'un contrepoint à Constantine et lui donnant des scènes d'action jubilatoires. Enfin, c'est un régal (déjà pour les yeux car Janin la dessine magnifiquement) de retrouver Zatanna (malgré un nouveau look discutable, mais heureusement en passe d'être modifié), doté d'un background passionnant avec Constantine et le bad guy de l'histoire, et pensé comme une magicienne puissante mais apprenant encore, ce qui laisse une belle marge de manoeuvre à l'auteur pour le futur. Le dénouement de ce recueil, un peu abrupt, donne en tout cas l'envie de lire vite la suite, et fait de Justice League Dark une des séries les plus stimulantes du "New 52", à l'écriture riche et au graphisme impressionnant. |
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Merci pour cet avis détaillé qui donne envie de jeter un oeil au titre.
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"Whatever knows fear burns at the man-thing's touch!" Chroniques VO 01/02/20 : Deadpool the end, la fin des New Defenders, Tarot 2, Epic collection X-cutionner's song, ravencroft 1, Doc Strange et Cap Marvel the end, Cap 18 |
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En fouillant dans mes collections, j'ai trouvé Before the Fantastic Four: Reed Richards. Mini-série en trois partie, et conjointement publiée avec The Storms et Ben Grimm and Logan, cette série s'intéresse à une aventure de Mr Fantastic se déroulant avant qu'il n'acquiert ses pouvoirs.
La série est écrite par Peter David () et illustrée par Duncan Fegredo, qui hésite ici entre un trait à la John Paul Leon et un style plus caricatural façon Walter Simonson. Contrairement aux autres "Before the Fantastic Four", la narration principale ne se déroule pas dans le passé mais prend place dans le "présent", à l'époque de Pier Four, soit entre Heroes Return et la reprise par Pacheco. A la façon de Princess Bride, Richards raconte à Franklin une aventure de sa jeunesse : pour sauver un collègue et ami, Richards s'embarque dans une équipée avec Alyssa Moy, vue durant le run de Claremont, et une archéologue, Francesca Fisher. Après plusieurs obstacles, le trio parvient en Egypte où ils découvrent un objet capable d'exaucer les désirs de son possesseur, mais Fatalis tente pour sa part de s'en emparer afin de reconstituer son visage défiguré. L'affrontement culmine lorsque la déesse Bastet s'incarne dans le Sphinx que les héros doivent stopper. On n'apprend pas grand chose de neuf sur les personnages, mais Peter David nous vend la série de part son cadre narratif, ajoutant ainsi une auto-dérision salvatrice. Comme dans Princess Bride, Franklin interrompt son père pour l'interroger sur les incohérences scientifiques, le récit de scènes dont il était absent et les ressemblances suspectes avec Indiana Jones. Dernière modification par JB ; 12/02/2014 à 11h34. |
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Je viens de terminer Daredevil: Guardian Devil de Kevin Smith et Joe Quesada, run assez estimé mais pas le plus connu sur ce personnage.
J'étais assez impatient de le lire, après les nombreuses critiques positives sur le forum. Au final, petite déception, tant au niveau graphique que scénaristiquement. Peut être trop marqué par Brubaker, Miller et Bendis sur ce personnage que j'apprécie énormément, j'ai été moins transporté par l'histoire contée ici. Hormis, l'épisode Karen/Daredevil/Bullseye, aussi fulgurant qu'important, la trame principale m'a peu convaincu, le méchant au coeur de l'histoire m'a faiblement intéressée. J'en retiendrai une histoire sympa sans être pour autant transcendante. |
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