05/04/2006, 12h29
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Dieu qui déchire sa race
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Date d'inscription: février 2005
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Posté par scarletneedle |
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JSA Classified 10
Même le spin-off de la JSA s’y met au OYL, quoique c’est logique : les dossiers non-classés se passent en même temps que la série phare.
Donc là, on s’intéresse au cas d’un ennemi de la JSA mais aussi du DC Universe entier : Vandal Savage, l’immortel de service.
Avant la Crise, il gérait 2 dossiers en souffrance :
- nuire à mon Scarlet Speedster préféré, ce qui a échoué
- protéger sa très gay fille Scandal (avec Knockout… ) de la vindicte populaire de la Society.
C’est plus à ce 2ème cas que l’histoire renverra dans ce n°.
Mais revenons à nos moutons, la Crise s’attaque même aux vilains! Il va vraiment falloir s’intéresser à ce Special même si Vandal Savage n’en fait pas partie.
L’histoire est centrée sur une quête que mène Vandal, tout cela entrecoupé de flash-backs sur son histoire personnelle. Par exemple, il s’est même fait passer pour l’inventeur de la roue, pour dire que tout ne tourne pas rond chez le type.
Une quête ? Oui car Vandal a passé une sale année (y en n’a pas un ou une, bon ou mauvais qui l’aura passée à péter dans la soie si on excepte Superman apparemment…) dans l’espace : très fort le type (enfin dans le futur et DC One Million, il se débrouille bien).
Comment il est arrivé dans l’espace ? Pas d’indice (il faut en garder pour les autres n°) mais on apprend qu’il a croisé pas mal d’espèces (Thanagariens, Feral-han ou autres Dominators) en subissant pas mal de brimades. Il revient sur la terre par Comète Express : juste retour à l’envoyeur vu qu’une même comète lui donné son immortalité.
En tout cas, son Univers « Pékin » Express a laissé des traces et Vandal n’a plus que quelques jours à vivre : ses organes vont le lâcher (comme ses hommes sur terre après une O.P.A hostile de la Society). Il faut donc les remplacer et on apprend donc
Bien sûr, cela ne passe pas bien car il n’en reste plus (tout a été détruit) et sa fille lui fait comprendre d’aller se faire voir.
Et la JSA dans tout ça me direz-vous ? On y vient : voyant qu’il va y passer, faute d’organes en bon état, Vandal va profiter de ses 11 derniers jours à vivre (même pas 9 ½ semaines ) pour se venger. Il décide se concentrer sur…. regardez la couverture !
Voilà c’est tout et c’est très peu : cet arc risque d’être comme celui consacré à Power Girl. Beaucoup de parlotte, un peu d’action et un final quasi-bancal : Vandal Savage ne va certainement pas mourir. Stuart Moore veut nous faire croire à son chant du cygne mais je n’y crois pas.
A la limite les flash-backs sont plus intéressants : ceux de ce n° vont de la préhistoire à l’époque gallo-romaine. Les anecdotes y sont plus savoureuses et le portrait de Vandal plus étayé. D’après la cover du prochain n°, on devrait avoir les « aventures » de Vandal pirate ou corsaire.
Côté dessin, c’est Gulacy qui s’y colle : il arrive à faire à Vandal une tête différente à chaque page. Pas vraiment un artiste que je connaissais et là, il ne me donne pas envie d’aller voir ses autres travaux. En espérant qu’il s’améliore sur la suite.
Au final, très dispensable l’épisode.
Conclusion : |
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Moi j'ai bien aimer ce numéro, que se soit histoire ou dessin !
Et puis il peuvent le faire mourrir puis revenir plus tad, comme pour tous les autres ! Mais sa vengeance contre GL me plait bien, à suivre !
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