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Critiques Doopiennes 122 : spider woman, wizard of oz, utopia X, dark reign
Critiques Doopiennes semaine 122 SPIDER WOMAN #1-2 (Brian Bendis / Alex Maleev) Enfin BENDIS à l'occasion de faire ce qu'il veut avec JESSICA DREW. N'oublions pas que c'était elle qu'il voulait utiliser pour la série ALIAS , mais que MARVEL lui ayant refusé l'autorisation, il avait donc crée le personnage de JESSICA JONES , qui devient pour maintenant un personnage superflu et sans grand intérêt. D'un autre côté, voir BENDIS sur un perso féminin et non plus sur une équipe de super héros, avec en plus le grand ALEX MALEEV aux dessins, ca éveille toujours un peu la curiosité. Je dois avouer que j'ai été assez déçu du contenu. Non pas des dessins de MALEEV, beaucoup plus en forme que lors de sa prestation sur DARK REIGN ILLUMINATI, mais qui commence à un peu trop abuser des poses photos et qui rend un truc assez statique finalement. Il y a d'excellentes planches, magnifiquement mises en valeur, mais c'est au moment où les personnages doivent bouger que ca commence à être un peu moins bien, tout en restant très agréable à lire néanmoins. C'est quand même en dessous de ce que laissaient entendre les previews. En effet, et l'impression se ressent encore plus dans le numéro #2, on est complètement dans un dessin photoshoppé, MALEEV abusant du traitement informatique, ce qui n'est pas un problème, sauf quand on commence à s'en rendre compte. En terme de scénario; c'est loin , mais alors très loin d'être folichon et c'est bien dommage. Déjà, j'ai beaucoup de mal avec le principe de la série : JESSICA DREW se retrouve donc sur Terre et doit récupérer de tout ce temps où elle a été enlevée et remplacée par une SKRULL. Elle est complètement perdue, et c'est déjà un souci pour moi, car finalement, le personnage que BENDIS nous décrit depuis NEW AVENGERS (et que j'aimais beaucoup) n'est finalement pas le personnage qu'on voit ici. (Puisque depuis le départ, c'était une SKRULL qui se faisait passer pour JESSICA ) . En gros BENDIS essaye de faire un nouveau perosnnage, mais se voit obligé de revenir aux bases du SRULL de NEW AVENGERS. Loin d'être un détracteur de BENDIS, je trouve quand même qu'il ne s'est pas foulé puisqu'en gros, il ressort pour ce SPIDER WOMAN exactement la même introduction que ce qu'il avait pu faire sur ELEKTRA vol 2, même genre de personnage et de mission, du coup, la série perd d'entrée de l'intérêt. Deuxième problème, c'est que c'est encore une fois très décompressé (BENDIS + MALEEV forcément ) et que ce qui pouvait passer pour assez novateur à l'époque (sur DAREDEVIL) commence à devenir assez pénible. Le deuxième épisode est simplement consacré à l'évasion d'une prison, c'est tout. Troisième et dernier problème, de taille, c'est l'apparition d'un SKRULL déguisé en SPIDER MAN ! On croyait s'en être enfin débarrassé de ces petites crottes toutes vertes qui m'ont fait frôler l'overdose. Eh bien non, BENDIS en remet encore une couche pour nous donner l'impression d'un nouveau tie-in à SECRET INVASION ! Là , c'est juste trop, et même les dialogues ne sont pas aussi brillants que prévu. On a vraiment l'impression que la série est un tie-in à SECRET INVASION (ce qui n'est peut être à la base pas complètement faux, sachant que la série a au moins été reculée de six ou sept mois, ce qui nous emmène en plein dans cette période). Bref, on essaye de faire du neuf avec du vieux, sauf que cette fois ci , ca se voit vraiment . Ne condamnons quand même pas la série tout de suite, et peut être que si les premiers épisodes ne semblent pas de la première fraîcheur, laissons le temps à BENDIS et MALEEV d'installer et de développer leur personnage. Après tout, si SPIDER WOMAN suit la logique de NEW AVENGERS, son concept de départ (retrouver les SKRULLS cachés sur Terre) va être abandonné dés les premiers numéros (je rappelle qu'à la base, les NEW AVENGERS s'étaient réunis pour retrouver les super vilains qui s'étaient échappés du RAFT, intrigue tombée en désuétude dés le NEW AVENGERS #8 ). La déception est à la hauteur d emon attente sur ce titre. BENDIS a fait nettement mieux et la comparaison avec ALIAS n'est pas à l'avantage de cette SPIDER WOMAN trop pâlotte et sans grande originalité. ET ARRETEZ AVEC LES SKRULLS ! UTOPIA X Comprend le one-shot UTOPIA X #1 ; UNCANNY X-MEN #513-514 ; DARK AVENGERS #7-8 et le one-shot EXODUS X #1 (Matt Fraction / Mark Silvestri- Terry Dodson - Luke Ross - Mike Deodato ) Tiens un crossover UNCANNY X-MEN / DARK AVENGERS. C'est assez nouveau et c'est toujours plaisant de voir que les titres X, toujours plus ou moins éloignés de l'univers MARVEL depuis quelques années pour cause de reconstruction (la plus grosse farce restant la position neutre des mutants pendant CIVIL WAR ) remettent un pied dans celui ci par le biais d'un crossover avec l'une des équipes les plus en vogue du moment, les DARK AVENGERS. C'est aussi l'occasion pour MATT FRACTION de mettre sa patte définitive sur la série mutante , on lui a d'ailleurs confié le scénario des épisodes des DARK AVENGERS, qui n'ont finalement pas un rôle énorme dans le crossover. Car oui, c'est définitivement une histoire centrée sur les X-MEN, qui n'aboutit pas qu'à la création des DARK X-MEN, équipe de mutants sponsorisée par OSBORN, mais aussi à un changement radical du cadre de vie de nos mutants préférés. LE principe de l'histoire: une manifestation anti-mutants tourne très mal à SAN FRANSISCO, au point que NORMAN OSBORN se voit contraint de déployer ses DARK AVENGERS, en profitant par la même occasion de dégager CYCLOPE et les siens pour installer ses DARK X-MEN. Je préfère vous avertir tout de suite, j'aime beaucoup l'approche de FRACTION sur UNCANNY X-MEN, et lors de ce crossover, il ne profite pour nous ressortir ses thèmes de prédilection, à savoir: - une grosse redéfinition du personnage de CYCLOPE, trop mis à mal depuis le passage de GRANT MORRISON qui en avait fait une sorte de sous MONSIEUR DARCY pour l'énorme balai coincé dans son colon. Ici, c'est lui le chef des mutants, le gars avec un plan qui prend les choses en main. On a quasiment un cyclope intriguant, presque "batmanien" dans le style, puisqu'il prévoit tout et à l'avance. Son conflit et son duel verbal avec OSBORN est tout à fait savoureux. On peut bien évidemment penser que l'influence d'EMMA FROST n'est pas pour rien dans ce changement radical. C'est un peu aussi ce qui se trame depuis un ou deux ans, à savoir la disgrâce de XAVIER qui laisse finalement le champ libre à son successeur, à celui qui a été formé pour reprendre le flambeau. - Le gros focus sur EMMA FROST et NAMOR, LE PRINCE DES MERS qui joue un grand rôle dans l'histoire. A la lecture des derniers numéros, il est bien évident que FRACTION veut utiliser NAMOR, et après tout, c'est bien l'un des premiers mutants recensés et recrutés par MAGNETO pour sa confrérie des mauvais mutants (UNCANNY X-MEN #5 si ma mémoire ne me joue pas des tours! ) . FRACTION aime EMMA FROST et décide là aussi de passer au dessus de la caricature donnée par MORRISON, il la développe de mieux en mieux et en fait un personnage beaucoup plus subtil et fragile que prévu. C'est dans la totale continuité des évènements décrits dans le UNCANNY X-MEN ANNUAL #2 que j'avais déjà trouvé excellent. FRACTION utilise à mon sens une erreur éditoriale majeure (mettre EMMA FROST dans le groupe des DARK ILUMINATIS d'OSBORN) pour enrichir le perso et lui donner une motivation et une cohérence vraiment intéressante. La tension sexuelle entre le prince des mers et la reine blanche ressemble à s'y méprendre à celle développée dans les FANTASTIC FOUR , EMMA prenant cette fois ci la place de SUSAN et SCOTT celle de REED. - Quelques références bien sentis à l'univers X , comme par exemple l'astéroïde M, que j'avais complètement oublié et qui avait du faire sa dernière apparition dans le X-MEN #40 lorsqu'il tombe sur Terre. Bref, quand FRACTION s'intéresse aux personnages, cela fonctionne vraiment très bien. Ce crossover possède quand même certaines faiblesses. Tout d'abord, l'inutilité totale des DARK AVENGERS , qui ne servent à rien d'autre qu'à de la chair à canon pour les scènes de combat, trop nombreuses elles aussi et qui paraissent au fur et à mesure assez redondantes. La menace de TRASK et des anti mutants absolument pas développée et qui reste dans le superficiel; c'est dommage, car c'est le point de départ de l'histoire et je trouve que cela a été traité par dessus la jambe, réduisant donc l'effet et l'importance de la chose. Les DARK X-MEN sentent plus l'élément marketing qu'autre chose, et leur utilisation est assez facile, mais a quand même le mérite de ne pas être complètement forcé. le choix des personnages qui forment cette nouvelle équipe est plutôt pas mal, mais pas assez développé car les seuls qui intéressent FRACTION sont NAMOR, EMMA et à la rigueur DAKEN. Mais le gros problème, c'est encore le changement de direction pour l'équipe mutante, qui n'arrive décidément pas à garder une ligne claire etf ixe pendant plus d'un an. La fin de ce crossover aboutit à une totale redistribution de la donne mutante, et on peut maintenant réellement se demander quelle était la raison du déménagement à SAN FRANCISCO; car il n'aura pas servi à grand chose. Dans la même veine, quitte à isoler encore un peu plus les mutants, pourquoi ne pas avoir repris la fameuse île de CABLE durant CABLE/DEADPOOL, ca aurait eu plus d'impact, quoique j'aime bien l'idée développée ici. De plus, il y a un développement intéressant pour EMMA FROST à la fin de l'aventure, qui relance encore un peu plus l'intérêt du personnage. Les dessins vont du bon (DODSON en forme ) au passable (LUKE ROSS pas franchement à son meilleur niveau et qui bâcle un peu). A noter la présence de MARK SILVESTRI aidé d'une flopée de desisnateurs / encreurs qui ne sert pas vraiment à grand chose. Niveau graphique, on peut dire que c'est assez correct. Maintenant, s'il est loin d'être le meilleur crossover mutant, il y a quand même des choses très agréables et très sympathiques à lire. Petit à petit, les mutants réussissent à nous redonner des histoires, qui si elles ne sont pas exceptionnelles, sont en tout cas cohérentes et agréables, et puis, il n'y a quasiment pas de WOLVERINE et c'est plutôt une bonne nouvelle. Un bon crossover X; en revanche, les lecteurs de DARK AVENGERS ont du être un peu déçus ! THE WONDERFUL WIZARD OF OZ (L.Frank Baum-Eric Shanower / Skottie Young)) Depuis quelques temps, MARVEL a crée une branche de sa maison d'édition spécialisée dans les adaptations de romans. Les plus connus étant certainement LA TOUR NOIRE, de STEPHEN KING adaptée par PETER DAVID et JAE LEE et ENDER'S GAME par PASCUAL FERRY; mais on peut y trouver aussi les ANITA BLAKE par ROM LIM ; l'ODYSSEE par ROY THOMAS voire même PRIDE AND PREJUDICE ! C'est dans ce cadre là qu'on peut trouver ce MAGICIEN D'OZ . Au premier abord, ce qui intéresse, c'est la présence de non seulement ERIC SHANOWER (grand spécialiste des romans de FRANK BAUM puisqu'il en a déjà fait des adaptations tout seul et aussi vainqueur de plusieurs EISNER pour son AGE DE BRONZE que je conseille à tout le monde) mais aussi de l'étoile montante SKOTTIE YOUNG qui affine son style mois après mois. Je détestais ses premières prestations sur NEW WARRIORS pour finalement apprécier pleinement son travail sur ses derniers NEW X-MEN. C'est difficile de juger le scénario car vraisemblablement l'adaptation est très fidèle au roman (que je n'ai pas lu, j'ai juste quelques réminiscences du film avec JUDY GARLAND, comme tout le monde) et ce serait critiquer le roman. Mais contrairement à ce que j'ai pu voir dans d'autres adaptations de romans fidèles (comme l'infâme ANITA BLAKE) , la succession des scènes passe plutôt bien. Il faut dire que SHANOWER sait de quoi il parle et qu'il arrive tout à fait à bien assurer les liaisons entre les différentes scènes. C'est vraiment de la BD et non pas un roman illustré, et ça se lit comme tel. Après, il faut aimer le roman, mais je trouve que l'histoire est tout à fait sympathique, largement poétique et que les personnages sont attachants. Bon , quand même, l'épouvantail sans cerveau est souvent très intelligent mais bon, c'est aussi un peu le but du livre. La fin est un peu rapide je trouve, et il se passe des choses entre le départ du magicien et la dernière page qui auraient pu être un peu plus rapidement décrites, mais l'ensemble est tout à fait agréable. Maintenant, le point fort de la série, ce sont les dessins de SKOTTIE YOUNG, et mieux que ça, le design. Les personnages sont terriblement bien conçus, et le bonus en fin de HARDCOVER nous donne un aperçu du cheminement artistique de l'artiste, qui a vraisemblablement galéré pour trouver le bon dessin et le bon personnage. Mention spéciale pour son lion peureux ou son épouvantail et toto le chien, les plus réussis de tout le bouquin. Le problème avec SKOTTIE YOUNG, c'est qu'il avait souvent tendance à être assez confus sur l'action ou le storytelling. Influence de SHANOWER ou pas, c'est très facile à lire, et on comprend tout ce qui se passe. L'artiste arrive à mélanger ses concepts et ses dessins très travaillés avec une sorte d'épure que l'histoire lui permet (c'est quand même plus sympa de dessiner DOROTHY et ses amis sur la route en briques d'or qu 'ILLYANA se battant contre 2716 démons). On va donc dire que le concept convient parfaitement au dessinateur canadien, particulièrement bien aidé par les couleurs de JEAN FRANCOIS BEAULIEU. En ce qui concerne le HARDCOVER; un petit historique de la vie de BAUM et des œuvres autour du pays d'OZ par SHANOWER et une dizaine de pages de croquis de YOUNG commentées par les deux artistes. Intéressant. THE WONDERFUL WIZARD OF OZ est donc un hardcover que je conseille fortement, non pas parce que l'histoire est totalement respectée et nous fait retomber un peu en enfance, mais surtout parce que sa qualité artistique est indéniable ! DARK REIGN 2 VF Contient DARK AVENGERS #2 (Bendis / Deodato) Le premier épisode de cette nouvelle série était très sympathique, ce deuxième l'est tout autant. on voit la nouvelle équipe des vengeurs dirigés par OSBORN partir pour leur première mission et dés le départ, les bases sont posées: ce sont des vilains et ils agissent comme tels. pas grand chose en terme de développement des personnages, mais comme c'est BENDIS à l'écriture, on sait qu'il va prendre son temps. Pour l'instant en tout cas, c'est très lisible et cette équipe a une légitimité, contrairement à celle des MIGHTY AVENGERS qui n'a plus vraiment beaucoup de sens. aux dessins, j'aime bien MIKE DEODATO, et il faut reconnaitre qu'il livre lui aussi une très bonne prestation, sombre et détaillée, qui convient parfaitement à l'ambiance de la série. et demi SECRET WARRIORS #1 (Bendis - Hickman / Caselli) Bon, SECRET WARRIORS est sur le papier une série qui ne m'inspire vraiment rien de bon. Tout d'abord, parce que c'est centré sur NICK FURY (un personnage qui m'énerve au plus haut point et dont j'étais ravi de constater la disparition pendant quelques années) et sa petite troupe montée pendant SECRET INVASION, troupe dont j'avais quasiment oublié l'existence puisqu'elle ne sert à rien dans le fameux crossover. Ensuite, c'est STEFANO CASELLI, que je considère comme le mal incarné. Soyons honnêtes, même si c'est pas si mauvais, j'ai énormément de mal avec ce dessinateur, qui m'avait écœuré par son travail de cochon sur RUNAWAYS/YOUNG AVENGERS mais aussi par ses débuts sur INITIATIVE, qui mettait en évidence ses lacunes terribles non seulement dans le storytelling des scènes d'action (la plupart incompréhensibles à mes yeux) mais aussi dans ses visages caricaturaux et déformés que ne renierait pas un Rob Liefeld ou un Stephen Platt des années 1990. Autant vous dire que c'était pas gagné. L'histoire pour le moment installe petit à petit les personnages et la direction de la série. Et c'est correct, sans plus, car pour le moment, je trouve les acolytes de FURY assez ridicules (pouvoirs basiques, aucun développement) , mais on sent qu'il peut se passer quelque chose. la révélation de la fin tombe quand même un peu comme un cheveu sur la soupe, mais bon. A sa décharge, CASELLI, que je ne supporte toujours pas, est un peu plus lisible: il s'améliore mais il devrait vraiment changer de coloriste, car ca n'aide pas du tout. Pour le moment, c'est tout à fait lisible, mais rapidement oubliable. UN peu sévère mais vraiment les perosnnages me laissent froid au plus haut point. Il y a quand même du potentiel. et demi THUNDERBOLTS (Diggle / De la Torre) Une autre équipe qui perd toute légitimité après l'apparition des DARK AVENGERS, ce sont bien évidemment les THUNDERBOLTS. Déjà, la moitié de l'équipe a été recrutée par OSBORN, ce qui fait qu'il ne reste pas grand monde. Pour le moment, je ne vois pas où DIGGLE veut en venir, mais c'est très réussi. Il nous montre comment les quelques survivants honnêtes de la première équipe rebondissent après les trahisons de tous côtés infligées par les autres membres et la décision d'OSBORN de se passer d'eux. Est ce que SONGBIRD va reconstruire une autre équipe anti OSBORN ? J'espère que c'est ça, mais il faudra qu'elle choisisse des vilains repentis pour coller au ton de la série, ce qui me laisse un peu dubitatif. En attendant, c'est une excellente histoire, mise en image impeccablement par ROBVERTO DE LA TORRE, qui n'a finalement jamais rien raté depuis qu'il a débarqué chez MARVEL (que ce soient ses premiers MISS MARVEL ou IRON MAN ). DIGGLE a tout a reconstruire et il s'y prend franchement bien pour le moment, arrivant avec deux épisodes à solder tout l'héritage d'OSBORN sans que ça ne paraisse facile ou tiré par les cheveux. C'est très bon. et demi En résumé, un magazine d'excellente facture , certainement un des meilleurs du mois. Si SECRET WARRIORS développe son potentiel, on a un sacré magazine ! |
#2
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Le dossier chenilles… y a certains termes dont on comprend tout le côté naze une fois tarduits
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#3
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Décidemment, les échos sur SPIDERWOMAN ne sont pas encourageants : je dois dire que les previews m'ont également laissé dubitatif - les images sont jolies mais très chargés, saturées d'effets numériques. J'ai le sentiment que Maleev dessine de moins en moins en fait : ce n'est pas encore Land, mais ça ne me fait pas vibrer comme j'espérai.
Et puis, je crois que le projet souffre de deux maux : d'abord, il a été très attendu, et pour ne pas décevoir, il faut alors livrer quelque chose de vraiment fort, original, et donc ensuite, Bendis semble ne plus avoir grand'chose à dire sur ce perso. En faisant de Veranke le double de Spiderwoman, il avait réussi quelque chose d'intéressant parce que d'un perso de seconde main il avait fait celle qui avait dupé tout le monde. Mais après ? Qui se souciait vraiment de savoir si la Spiderwoman original était encore vivante ? Contrairement à Mockingbird qui est intimement lié à Clint Barton, les deux persos s'enrichissant l'un l'autre, Spiderwoman n'a pas un allié, un ami, un amant qui la rend nécessaire. Du coup, je me fiche un peu de savoir ce qu'elle va devenir et si elle devait être éjectée des Vengeurs, elle ne me manquerait pas. Ce titre qui lui est consacré risque fort de passer, pour moi, d'objet de tous les désirs à celui dont je me passerai. Je suis curieux de lire le cross DA-X-Men. Dodson n'y est pas étranger et ce serait bien que les univers mutants et "heroes" se croisent plus souvent. Ces deux-là semblent ne pas faire partie de la même maison d'édition, alors que dans HOM, ils fonctionnaient bien au sein d'une même intrigue. Sur la revue DARK REIGN, rien à ajouter, globalement d'accord avec toi. Mais c'est marrant que tu choisisses une planche du "mal incarné" Caselli pour illustrer ton article (comme toi, je ne suis pas fan même si je le trouve un peu moins pénible sur SW que sur ATI). |
#4
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Pour ce qui est du reste je te rejoins dans tes critiques : un crossover qui n'apporte rien au titre Dark Avengers et dont on laisse d'ailleurs l'écriture à Fraction et surtout la facilité avec laquelle est traité le subplot de Trask qui me rappelle les eccueils de Lobdell sur les Friends of Humanity et Graydon Creed : l'impossibilité de traiter pleinement une thématique politique pourtant liée au concept même de la série. Une intrigue avec des groupuscules racistes, un candidat à la présidentielle ou un président ouvertement anti mutants… ouais, ça changerait trop le statu quo Dernière modification par mrcitrouille ; 24/11/2009 à 16h36. |
#5
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http://www.comicsvf.com Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5 Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu. |
#6
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depuis le début de la série !
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Batwoman - Spider-Woman, même combat...
Et encore,le dessin de J.H Wiliams est plus joli à regarder!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#8
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Oui et surtout le dessin de Williams III, c'est du dessin.
Sinon, +1 sur MrCitrouille. Je ne suis pas d'accord du tout avec le fait que ce soit Fraction qui libère Cyclope de son balai dans le cul. C'est un travail entamé par Morrison qui confie certaines responsabilité à Cyke puis vraiment mené à terme par Whedon dont l'apothéose se situerais je dirais lors de Messiah avec un cyke qui dirige tout et va jusqu'à créer une force de frappe plutôt violente. D'ailleurs, c'est une évolution qui va de paire avec la descente de Xavier, l'un prenant la place de l'autre au fur et à mesure. Descente entamé par Morrison (avec le meurtre de sa sœur dans le fœtus) et Whedon. Sinon, je te trouve gentil avec Secret Warriors, ce numéro 1 était très vide, avec des persos très mal introduit et tout pourris, et une histoire révélée en dernière page par un cliff franchement mauvais. Et aussi Thunderbolts. On ne les voit pas rebondir, on les voit ne pas essayer de se faire laminer par leurs ex coéquipiers. Sinon, ouais, vraiment là, on ne voit pas où Diggle veut aller, même si il est quasi certains que Songbird va remonter une équipe pour emmerder Osborn.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
#9
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Encore une énième adaptation du magicien d'oz en bd! Ils ne se foulent pas chez marvel!
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Oui mais elle est de qualité donc...
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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et du Oz dessiné par Young , faut être fou pour refuser ça !!
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Mon blog http://morpheusmutant.blogspot.com/ Ma page Facebook https://www.facebook.com/stephanehobgallais Motstordusetbullescarrés Chronique littérature jeunesse Le Blog |
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et du sacré YOUNG en plus.
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#13
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Ouais, mais Supergeek, c'est le gars qui se plaint quand un comics est indé ou pire intelligent.
Faut pas le prendre en compte trop sérieusement.
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman |
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On en reparlera pour les buzz awards, je le sens bien dans la catégorie mini/maxi de l'année le Oz.
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#15
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Ah, moi, j'aurais appelé supergeek un troll ontologique.
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