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Idem je ne connais pas le jeu mais HBO sur un sujet comme celui-là ça se tente et j’ai bien fait 👍
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King, Springsteen, Guardiola, Brubaker et tous les autres |
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Je ne connais pas le jeu (je ne connais aucun jeu de toute façon, donc bon…) et je n'y suis donc pas venu pour ce prétexte. J'avais juste un vague à priori par rapport à l'aspect "énième truc de zombie" à la con, avec une idée de virus amené par des champignons qui m'a presque fait éteindre dès les premières minutes.
Mais j'ai été un peu lus loin et je ne le regrette absolument pas. Alors non, il n'est pas nécessaire de connaitre le jeu pour apprécier ces épisodes, loin de là. J'aime le fait qu'on reste presque sans cesse dans de la périphérie, dans des études de caractères, de l’approfondissement de perso, au détriment des batailles contre les "infectés". Même si on y a droit quand même, et c'est normal, c'est quand même le cadre de cet univers. J'apprécie le rythme de ces histoires, cet attachement aux émotions avec la volonté de brosser le portrait d'un univers, et pas juste s'attarder sur le voyage des deux protagonistes. Je ne sais pas trop ou ca va nous amener, mais je surveille chaque nouvel épisode. |
#18
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Ce n'est peut-être pas plus mal de ne pas connaitre le jeu avant de voir la série.
Je l'ai fait au moment de sa sortie sur PS3 il y a une dizaine d'années et il m'a suffisamment marqué pour que je m'en souvienne très bien. Je n'irai pas jusqu'à dire que je suis déçu par cette série, que je situe plutôt dans la partie basse du haut du panier, mais que de longueurs et de passages ennuyeux. L'épisode 7 est un parfait exemple de ce que je veux dire:
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"Je ne pense jamais au futur. Il vient bien assez tôt" Albert Einstein |
#19
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Ben en fait, assez étrangement, c'est le type d'épisode qui justement me fait apprécier cette série. C'est atypique, complètement centré sur les perso, ça revient sur des éléments qui se sont progressivement glissés dans les conversations durant les épisodes précédent, on donne davantage de texture à Ellie, plus de profondeur, et malgré un truc agaçant qui devient un tique narratif en ce moment ça m'a plutôt accroché cet épisode.
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#20
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C'est bien pour ça que je pense que ne pas connaitre le jeu est un avantage.
J'ai beaucoup apprécié, comme beaucoup apparemment, l'épisode 3 qui raconte une relation qui est à peine suggérée dans le jeu et permet de développer un personnage très secondaire dans celui-ci. Je ne remet pas en cause la structure, voire la nécessité de ce septième épisode mais son rythme et sa durée.
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"Je ne pense jamais au futur. Il vient bien assez tôt" Albert Einstein |
#21
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Effectivement, je pense que si on prend cette série comme une adaptation d'un JV qu’on a aimé, notre appréciation peut être troublé par ce que l’on connait de l’intrigue, des persos. Notre cerveau, même à notre insu, joue inévitablement au jeu des comparaisons. Je vois plein d’échos de gamers chouinant, à chaque épisode, qu’il n’y a pas de zombies, que ça manque d’action. Alors que je suis certain que j’aurais décroché au deuxième épisode si à chaque fois les scénaristes nous avaient dégainé le zombie de la semaine. L’intérêt d’une histoire comme ça, c’est principalement les rapports entre les protagonistes, de voir comment leur existence a été perturbée par ce champignon zombie qui doit rester une menace, un croque-mitaine. Du reste, la série s’appelle “Les derniers d’entre nous“ et pas “fricassée de champignons“...
Bref, moi qui n’ai pas joué au jeu, j’apprécie toujours autant le rythme et les acteurs qui sont épatants. Mention spéciale à celle qui joue Ellie, époustouflante dans le 8. |
#22
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Une bonne série, à mon sens, c'est respecter l'élement de base tout en s'en affranchissant, équilibre casse gueule que Last of us passe haut la main. Ellie est en effet époustouflante. Le casting a eu du nez, s'éloignant du personnage tel qu'il est représenté dans le jeu vidéo, adaptation
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"Le pape est une idole à qui on lie les mains et à qui on baise les pieds." Voltaire |
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