#16
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Saviez-vous que Sagédition, l'éditeur français de Superman et Batman, avait lancé une série SCORPION avec des séries de l'éditeur Atlas, dont la fameuse série SCORPION de Howard Chaykin qui ressortira ce concept de personnage chez Marvel sous le nom de Dominic Fortune ? C'est grâce à Atlas que Howard Chaykin a pu se lancer dans l'écriture de comic-books. Précision pour le directeur artistique de Atlas : Larry Lieber n'était pas seul, il y avait Jeff Rovin, provenant comme Howard Chaykin de chez l'éditeur Warren, qui a dû démissionner suite à des problèmes éditoriaux avec Chip Goodman, directeur éditorial de Atlas Comics et fils de Martin Goodman, fondateur de Atlas comics. Et bien sûr, à la fin, Larry Lieber restait le seul directeur artistique. Je profite de ce post pour dire que j'ai fait un article sur une série de l'éditeur Atlas, PLANET OF VAMPIRES (La Planète Maudite publiée dans TITANS n°1 à 3) avec une biographie des auteurs, Larry Hama et Pat Broderick, et un historique des éditions Atlas. Cet article paraîtra dans un futur PIMPF MAG, le fanzine des PF et autres BD populaires, précisement au n°12. Je le préciserai dès qu'il paraîtra. Liens Internet : http://www.pimpf.org fanzine : http://www.pimpf.org/pimpfmag/pimpfmag.htm Dernière modification par Fin Fang Foom ; 07/03/2005 à 13h37. Motif: correction |
#17
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Pas si vite! Voila un comics Pacific!
VANGUARD ILLUSTRATED N°1 Publié par Pacific en Novembre 1983. Cover: Thomas Yeates Ou comment avoir "plus grand yeux que grand ventre"! 8) Cette anthologie est spécialisée dans la découverte de nouveaux artistes, couplés avec un pro déja connu. 3 histoires dans ce numéro: "Libretto", 10 pages. Scénario: David Campiti Dessin: Tom Yeates Encrage: Rick Bryant Résumé: Dans un monde de science fiction, un agent secret bien spécial doit découvrir l'identité d'un traitre dont il ne connait que le nom: Libretto. Cet agent a un implant qui lui permet d'influencer les femmes, qui finissent par avoir plus envie de jouer avec lui au docteur qu'à le combattre... 8) Finalement, il découvrira que Libretto est une planète à la Ego. Cette "planète " est de sexe féminin et notre agent découvrira qu'il n'a pas besoin de son implant pour séduire.... Le même Tom Yeates travaille actuellement sur Conan avec cary Nord! Commentaire: Une histoire poétique avec un soupçon de politiquement incorrect avec cet agent qui a un pouvoir sur les femmes. C'est très joliment illustré, même si de manière classique. Une idée de personnage à creuser! "Encyclopedies" 6 pages (à suivre) Scénario: Mike Baron Dessin: Steve Rude Résumé: Dans un monde semblable au nôtre mais post apocalyptique, un jeuen homme décide de se présenter en tant que vendeur d'encylopédies pour gagner sa croûte. L'entraînement et les cours ne seront pas ce à quoi il s'attendait mais il réussira brillamment à monter les grades jusqu'à ce qu'il choisisse comme nouvelle zone de vente une ville réputée pour être cannibale... Il y a déja de l'audace mais pas encore asez de maitrise. Commentaire: Première réalisation du duo Baron/Rude avant Nexus. Ce concept décalé d'unvendeur d'encyclopédies dans un monde post apocalyptique est originale mais on n'y croit pas un instant. Comme la dimension comique n'est pas très développée, on obtient un récit étrange mais peu passionant. Comme en plus, le dessin de Rude est très loin de son travail sur Nexus (grosses têtes) et que les angles de vues si osés ne sont pas toujours maitrisés, on obtient au final une histoire qu'on aurait aimé aimer mais qui sent l'amateurisme. Freakwave: "A stranger in paradise" (à suivre) Scénario: Peter Milligan & Brendan McCarthy Dessin: Brandan Mc Carthy Résumé: Dans un monde à la Waterworld où tout le monde se proméne sur des planches à voile, un barbare du futur (appelé Drifter) se fait attaquer par les hommes du capitaine Roaring. Il les tue mais tombe inconscient et se retrouve chez Tia, la chef du coin, dans une ville boui-boui. Drifter découvre qu'elle est amie avec le Capitaine et que celui-ci veut l'éliminer. A cette intention, il lui présente Mickey Death, un espèce de barbare customisé. Le panel le moins moche de l'histoire... Commentaire: Commençons par les dessins, peut-être corrects mais noyés sous une pallette de couleurs absolument immonde, censée faire crado. Effet réussi, mais c'est aussi d'une laideur sans nom et on y voit pas grand chose... Quant à l'histoire, c'est pour l'instant un ramassis de clichés et de situations qui se voudraient sérieuses mais qui sont grotesques: Mickey Death ne ressemble à rien et le coup des planches à voile est asez confondant... Bref, faudra vraiment beaucoup aimer Peter Milligan pour sauver cette histoire du naufrage! Un premier numéro qui fait un peu peur: l'histoire la plus intéressante est celle qu'on attendait pas et les deux autres, à suivre, sont très décevantes et limite consternantes...
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Et moi qui croyait que j'allais me faire lycnher par des Milligan-zombies...
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Quelque part, peut etre que les termes "Milligan" et "Zombies" sont mutuellement exclusifs, hmmm?
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When I'm good, I'm good. When I'm bad, I'm better. |
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MICRONAUTS N°38
Publié par Marvel en Février 1982. Cover: Michael Golden "First Flight", 17 pages Scénario: Bill Mantlo Dessin: John Garcia Dessin: Danny Bulanadi Michael Golden Ruuules! Résumé: Bug, appaté par des oeufs d'oiseaux, se fait attaquer par un espèce de gros pigeon... Le Commander Rann épate tout le monde avec sa maitrise des aîles mécaniques qui permettent aux Micronauts de voler: il réussit à sauver Bug sans tuer le pigeon. Il raconte alors à ses camarades comment il a obtenu, il y a 1000 ans de celà, le titre convoité de Space Glider... A cete époque, le Baron karza était chef scientifique de la famille royale et l'entraîneur des futurs Space Glider et donc de Rann, fils du couple régent d'Homeworld. Lors d'un entrainement avec une version non mécanique des aîles, Karza tend un piège à Rann dont une des ailes se déchire. Rann s'en sort indemne mais a des soupçons envers Karza, qui ne seront que d'autant plus justifiés quand des assasins grimperont jusqu'à sa chambre! Il s'en débarassera en utilisant sa maitrise des aîles. Promu Space Glider et explorateur, il sera éloigné d'Homeworld et n'aura pas l'occasion de vérifier ses soupçons. Le Commander Rann, très généreux, ne peut s'empêcher de partager son savoir! + "The Force of Friendship" 12 pages Scénario: Bill Mantlo Dessin: Gil Kane Résumé: Les Micronautes demandent à Bug de raconter l'histoire de sa rencontre avec Acroyear... Bug, sur sa planète Kaliklak, est fait prisonnier par des sbires de Karza après avoir voler dans le jardin royal. Il réussit à s'échapper et subtilise un vaisseau. Mais son vaisseau n'avance plus et il le quitte donc en direction d'un croiseur acroyen. Il y découvre Acroyear prisonnier de son frère Shaitan qui veut le livrer à Karza. Bug le libère et tous deux viennent à bout des quelques sympathisants de Shaitan, qui réussit à s'enfuir. Une amitié est née! Une histoire avec des panels d'un grand dynamisme! Commentaire: Premier numéro en diffusion exclusive comic-shop, tout comme Moon Knight et Ka-zar. Micronauts en effet se vend bien et de manière régulière en comics shop, mais pas assez et de manière aléatoire en newstand tradtionnel. Ce nouveau format est sans pub, avec plus de pages et 2 pages de courrier. Curieusement, ce premier numéro du nouveau format est constitué d'un fill-in, dessiné par un illustre inconnu, sous le nom duquel se cache d'ailleurs peut-être un nom plus connu, qui sait... Seul intérêt de cette première histoire, nous montrer des évènements se situant avant Micronauts 1. L'histoire est oubliable et le dessin un peu maladroit. Pour compléter ce numéro, une back up dessinée par le très grand Gil Kane, nouveau dessinateur en titre de la série! Kane s'encre lui-même sur cette histoire et le résultat est plus qu'un sans faute: une (si ce n'est La) meilleure prestation de Gil Kane chez Marvel! Là aussi, peu de surprise au niveau de l'histoire, basique, mais qui contribue à "construire" la mythologie Micronauts. Cette courte histoire justifie à elle seule l'achat de ce numéro! Un Gil Kane méticuleux! Un numéro indispensable pour tout fan de Gil Kane, qui marque l'entrée dans une nouvelle ére d'aventures microniennes!
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Oserez-vous ouvrir le.....CHEST of CHESTS? Dernière modification par XXL ; 08/03/2005 à 22h36. |
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il ne doit pas etre aide par bulanadi le garcia... qui semble etre celui de la bande a Harvey Kurtzman ( travail publie dans les " New two fisted tales" ) .
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Ah! Donc c'est son vrai nom! On peut pas dire qu'il aura fait une carrière , même discrète chez Marvel.....
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A propos du Vanguard Illustrated, il me semble que le Rude est en fait une réédition de son premier travail "pro" (fin des années 70 ?).
La différence de style (et d' époque) étant très nette dans un futur numéro de Vanguard où Rude signe la couverture... |
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Fort possible effectivement, c'est pas très clair dans l'ntro si ça avait déja été publié ou pas mais j'avais compris ça aussi. J'ai que ça en Vanguard pour l'instant....
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Une mouche sur un skate-board à fusée, ça vous tente?
THE HUMAN FLY N°8 Publié en Avril 1978 par Marvel. "The Tiger and the Fly" Scénario: Bill Mantlo Dessin: Frank Robbins Encrage: New York Tribe (tout le Bullpen, quoi... 8) ) Cover: arf...Robbins? (c'est tellement moins outré que l'intérieur que j'hésite avec Lee Elias) Le Roller Skater peut aller se rhabiller! Résumé: Notre mouche à M..... (Marvel, enfin!! ) se met au skate board, mais pas n'importe lequel, puisqu'il est à fusées! Bien entendu, il fait des galipettes qui épatent du monde, en l'occurence pas mal de new-yorkais mexicains. Hecto Ayala est dans la foule, aka le White Tiger (Tigre Blanc) et il est jaloux du succés d'Human Fly et de son influence positive sur tous ces mexicains désoeuvrés . Il aimerait réussir à être lui aussi un symbôle fort pour son "peuple". Alors que Human Fly fait visiter le Metropolitan museum à des enfants, Cooperhead (vilain déja vu dans Daredevil 125) tue le responsable du musée et se dirige vers une pièce dans laquelle se trouve une espèce d'immense jarre. Hector découvre le cadavre mais la police arrive aussitôt et croit que c'est lui le meutrier! Il se transforme en White Tiger et remonte la trace de Cooperhead qu'Human Fly a trouvé aussi dans la salle où se sont réfugiés les enfants quand ils ont entendu les coups de feux. Ceux-ci s'abritent autour de la jarre mais le sol commence à descendre autour de la jarre,l'emmenant, ainsi que les enfants et Human fly venu les secourir. Alors que White Tiger se prend une rafale de Cooperhead et tombe à terre, Human fly, quelques mètres sous terre, découvre que des vagues d'eau approchent!! El Tigro Blanco! Caramba Commentaire: Ca fait plaisir de voir White Tiger! Ca pourrait aussi faire plaisir de voir Cooperhead mais le pauvre n'est pas du tout dans l'ambiance et ça fait vraiment mal au coeur de voir ce vilain si original utilisé de manière aussi cavalière et inapproprié. on ne retrouve pas du tout l'ambiance morbide qu'avait insuflé au personnage Mar Wolfman et Bob Brown! Human fly est bien ridicule sur son skate et on a encore droit à beaucoup de séquences d'atterissage sur la pointe des pieds ou des poses pour le moins étranges et cocasses! Pour l'instant, l'histoire n'a pas beaucoup de sens, le coup de la plate forme sous le vase qui se fait inonder étant d'une invraisemblance rarement atteinte! 8) Ah oui, Adam Mantlo (fils de Bill Mantlo je suppose) a fourni une assistance technique pour les scénes de skate-board.... quant on voit les poses d'Human Fly sur son skate, ça fait sourire! Ah oui, sinon cerise sur le gateau, on apprend dans le courrier que le vrai human fly a raté sa dernière cascade (sauter en moto par dessus des bus) et s'est écrasé non sans dégats. Ils donneront de ses nouvelles bientôt dans le courrier.... Une nouvelle méthode "smurf attitude" pour éviter les balles! Un numéro d'Human Fly.....euh....ben un numéro d'Human Fly, quoi!
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Oserez-vous ouvrir le.....CHEST of CHESTS? Dernière modification par XXL ; 11/03/2005 à 16h43. |
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Il serait temps que je lise mon intégrale d'Human Fly moâ...
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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Ben ..on est casse coui... ou on ne l est pas d ailleurs ..a t il eu des enfants le human fly reel ? |
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Je suis fier de vous annoncer l'arrivée d'une nouvelle série chroniquée, attendue par certains avec impatience! (si, si! ): les Elementals!!
En ces moments de gloire pour Bill Willingham grâce à Fables, c'est le moment ou jamais de se mettre à cette série, qui obtint un grand succés à son époque. A noter que Bill Wiilingham ne détient plus les droits des Elementals, ce qui explique qu'on ne revoit pas la série. Les droits sont dans les mains d'une personne dont Willingham doute (il est en même sûr) qu'il soit capable de l'exploiter avec un minimum de qualité... 8) La première apparition des Elementals ne se produira pas chez Comico, l'éditeur par lequel ils connaîtront la gloire, mais chez Texas Comics, dans JUSTICE MACHINE ANNUAL N°1 Edité par Texas Comics en 1983. Très difficile à trouver, ou alors à un prix très élevé (75 $ prix de départ sur e-bay!!! ). Heureusement pour vous, ce numéro fut repris dans le Paperback Elementals: the New Order paru chez Comico en 1988 et qui contient cette première apparition+ Elemetals 1 à 5 pour 10.95 $ en cover price (trouvable pour pas cher). A acheter d'urgence! On va vous parler ici uniquement de l'aventure d'Elementals parue dans cet annual. On commencera à vous parler de Justice Machine plus tard dans les "20 ans" car Justice Machine obtiendra sa série chez Comico plus tard que les Elementals. "The Shape of things to come", 20 pages Scénario et dessin: Bill Willingham Encrage: Bill Anderson Cover TPB: Bill Willingham Résumé: Shapeshifter, une femme capable de transformer son corps à volonté fait son rapport auprès d'un personnage agé. Elle raconte comment elle a, comme on lui avait demandé, remonté une trace énergétique pour trouver 4 personnes, censées être mortes 3 semaines auparavant mais apparemment vivantes et en possession de pouvoirs élémentaires (Feu, eau, terre et air). Shapeshifter les a attaqué pour évaluer leur valeur alors qu'ils étaient hébergés par le père d'un des Elementals (nom du groupe que forment ces 4 personnes). Il y a: - Fathom (Rebecca Golden), femme sexy devenue verte, qui commande à l'eau et peut se transformer en eau. La villa qui les héberge appartient à son père. - Monolith (Tommy Czuchra), jeune garçon de 14 ans qui peut se transformer en créature de pierre-roc. - Vortex (Jeff Murphy), beau blond, ancien pilote qui vole et commande à l'air. - Morningstar (Jeanette Crane), blonde caractèrielle, ancien policier, qui commande, crée et est invulnérable au feu. Le combat, bien parti pour être remporté par Shapeshifter, prend un tournant quand Morningstar brule Shapeshifter qui doit fuir en la maudissant. La police et le père de Rebecca arrivent sur les lieux du combat... L'"employeur" de Shapeshifter lui annonce que, bien que les Elementals paraissent intéressants, il sera impossible d'en faire des alliés car il sait qu'ils ont été "créés pour le contrer"! Il demande à Shapeshifter de retourner la-bas avec le reste de son équipe et de les tuer! A suivre... Shapeshifter est une sadiste qu'on oublie pas! Commentaire: Une première apparition qui surprend et annonce une série de super-héros pas comme les autres! Alors que le thème des "4 élements" est du déja vu, Willingham réussit à donner de l'épaisseur à ses persos et à son récit et ose ce qu'on ne voit jamais dans des séries super héros maintream classique, tout en en conservant le fun! Son dessin, encore un peu ingrat niveau visage, est un régal de dynamisme et a indéniablement de la personnalité, loin d'un style maison. Les innovations et audaces qui sautent le premier aux yeux dans ce numéro sont: l'absence de "issue origin" ou d'histoire de réunion de ces 4 personnages; Shpaeshifter qui fume; Vortex, seul mec, qui se fait tabasser par Shapeshifter; Monolith, qui est un enfant et Morningstar qui "crâme" shapeshifter qui lui lance un "You hurt me, you little bitch! " Vortex, mon préféré, , seul présence "mâle" du groupe. Une première apparition très réussie. A essayer de toute urgence! Une série qui combine mainstream et indé avec délice!
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Fort intéressant ! Il y a eu combien de séries de combien de numéros ?
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http://www.comicsvf.com Les récaps (rigolotes) de Game of Thrones Saison 5 Stannis à Davos : On n'a rien pu faire, ils étaient au moins genre vingt-deux et puis y en avait un torse nu. |
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Merci beaucoup, XXL, de faire découvrir les premiers comics de Willingham.
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