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The Avengers Annual #1
Final facile et décevant ; pas mauvais, mais pas bon non plus. Derek Landy achève cette saga avec Captain Marvel et Thor qui vont retrouver les porteurs de Pierres d'Infini, alors que Thanos bloque les autres Avengers dans The Impossible City. Le duo retrouve Phil Coulson et Nick Fury Jr, alors que les autres porteurs s'engueulent. Tous se rassemblent, Star lance une bagarre qu'Apex suit, avant que Thanos arrive et tabasse tout le monde. Il tue quasiment tout le monde, mais Overtime provoque un paradoxe temporel qui bloque Thanos et le force à renoncer. Les victimes sont ressuscitées, les porteurs disparaissent mais vont revenir. C'est loupé. Derek Landy tape à côté, avec un scénario qui livre une bagarre entre super-héros bien ratée car bien trop basique, puis un massacre fluide par Thanos mais une résolution fainéante. C'est fort dommage et frustrant, car la saga était plutôt correcte jusque-là, et ça finit petitement l'ensemble. Salvador Larroca illustre ça dans son style, sans briller mais sans fauter comme d'autres fois. Une fin piteuse et frustrante. |
#857
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Chasm: Curse of Kaine #2
Quelle déception. Le #1 m'avait plu, le #2 me refroidit complètement. Steve Foxe se perd et me perd dans un numéro poussif, où Kaine repousse difficilement la créature formée des cadavres de Vermine et Freak, créée par Ben sous l'influence de Druig. Kaine tente de remonter la piste, alors que Ben demande à Hallow's Eve de l'aider et celle-ci passe un masque psychique pour rentrer dans son esprit. Elle y voit Druig, il les bloque tous deux et les fait enlever par des Moloïdes pour les amener sous terre, où Mole Man espère pouvoir enfin avoir sa vengeance en étant sous la coupe de Druig. Une déception, oui. Steve Foxe tape à côté avec un numéro basique et lourd, où la bagarre de Kaine est trop longue et la plongée psychique bien trop prévisible. Ca n'avance pas, c'est maladroit, mal fichu, et les dessins d'Andrea Broccardo sont très légers et faibles, avec de trop grosses facilités à plusieurs endroits. Cruelle déception. |
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Namor #3
Petite déception. Jason Aaron baisse dans l'intensité et l'intérêt avec cet épisode un peu long, un peu poussif. On y voit, dans le passé, un jeune Namor envoyé cela mater une rébellion, et obligé de massacrer les rebelles sur exigence de son grand-père ; puis châtier des pêcheurs avec qui il avait sympathisé, car ils maltraitaient des Atlantes envoyés à sa recherche. Au présent, on voit Namor avouer qu'il "parle" avec Neptune, le dieu qui exige de lui vengeance. Kailani, son ancienne amie désormais prétendante au Trône d'Atlantis, l'a enlevé et l'emprisonne, et elle avoue que Neptune lui parle aussi. Un Seaweed Man l'attaque et enlève Namor, alors que d'autres prétendants se révèlent et que les heures passent avec l'attaque à venir des Humains. Namor se retrouve dans les profondeurs, seul et désarmé... Il y a de bonnes choses, en soi. Les flashbacks sont prévisibles dans leur déroulé mais pertinents, et Kailani révèle une idée intéressante : lors de la chute d'Atlantis, les Atlantes "purs" ont rejeté les émigrés de leur ville, qui ont été chassés et ont créé des cités sous-marines cachées. Notamment Talokan, l'Atlantis du MCU, qui évoque les Mayas ; cool et pertinent. L'idée aussi du dieu qui oriente est intéressante, même si ça rappelle un peu le propos du Punisher du même scénariste, mais ça reste poussif à la lecture et un peu long. D'autant que Paul Davidson & Alex Lins livrent des planches correctes, mais elles aussi moins inspirées. Ca cale un peu, à voir la suite. |
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Phases of the Moon Knight #2
Sympathique. L'anthologie continue agréablement, en brassant plusieurs Moon Knights. Jed MacKay et Jorge Fornes commencent en plongeant dans le passé de Marc Spector, encore aidé par Frenchie, et qui poursuit ici un tueur en série de chirurgiens esthétiques. La confrontation est brutale, et il est révélé qu'il s'agit de Un bon segment. Jed MacKay gère bien le Marc "presque innocent" du passé, avec un bon retour d'un personnage méconnu mais dont l'opposition ici est pertinente. C'est sympathique, glauque mais juste, et les dessins "à l'ancienne" de Fornes fonctionnent très bien ici. Ensuite, Declan Shalvey montre un futur où une éclipse longue est sur le point de disparaître, ce qui provoque la colère de plusieurs suiveurs de Khonshu. Ceux-ci traquent alors le Moon Knight actuel, Sol, pour le tuer en sacrifice au dieu lunaire. La bagarre se déroule dans l'Espace et sur la Lune, où Sol gagne mais meurt - et est ressuscité par Khonshu, qui refuse d'abandonner ses enfants et de les laisser mourir. Dynamique et efficace. Le scénariste et dessinateur livre un récit basique mais intense, avec surtout des planches très bondissantes et réussies. Le graphisme est l'argument essentiel ici, et ça fonctionne fort bien. Un nouveau bon chapitre de l'anthologie. Cool ! |
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