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Avengers: Rage Of Ultron.
J'ai reçu ce GN hier et je me suis jeté comme la vérole sur le bas clergé breton : Avengers + Ultron + Remender + Opena, je me suis dit que ça allait être bonnard! Bin, j'ai dû vite revoir mes standards d'entrée : il faut dire que j'avais appris il y a quelques semaines que Pepe Larraz allait participer pour permettre au bouquin de sortir dans les délais (il paraît qu'il y a un film qui sort bientôt avec une certaine tête d'affiche). Dommage qu'il en fasse 20-30 pages, l'encrage de Mark Morales tentant de masquer ceci. D'ordinaire, j'apprécie sans souci le trait de l'espagnol mais le voir en bouche-trou d'un GN annoncé depuis des mois sur autant de pages passe assez mal. Ajoutez-y 3 coloristes et vous avez une idée du rush qu'a dû être ce GN. Ensuite, en lieu et place de la rage d'Ultron, ça aurait dû s'appeler les chouineries de l'incompris Hank Pym : tout est fait pour le rendre antipathique, en tout je l'ai ressenti comme tel et c'est franchement dommage car c'est assez éloigné du remonte-pente enclenché pour le personnage depuis des années et il me semble que ses convictions(?) vis-à-vis des I.A est à l'opposé de la purge que fut Avengers A.I (je dis bien semble car je ne fais que survoler cette bouse en VF). Voilà les points noirs de cet ouvrage qui commence pourtant fort bien avec un 1er chapitre de 20 pages dans le passé (sur 100 pages donc grosso modo un arc qui ne porte pas son nom) où les Vengeurs version 80's sont bien retranscrits. Quand, ça arrive dans le présent, l'auteur l'ancre dans la continuité actuelle avec une intrigue de Rick Remender sur Secret Avengers tout en faisant intervenir son casting d'Uncanny Avengers (que devrait donc rejoindre Spider-Man?) tout en mettant en avant Hank Pym (déjà dit tout le mal que j'en pensais) et en intégrant Thor version femme (pas de spoilers à son sujet, j'apprécie de ne pas voir l'herbe coupée sous le pied du run de Aaron). Il y a aussi l'intervention de Firefox (un de mes membres préférés) pour donner de l'ampleur à la crise (Rick a dû apprécier Annihilation: Conquest). C'est bien fait et ne pas voir d'autres personnages intervenir parfaitement logique. Son équipe fonctionne plutôt bien et si Uncanny Avengers devait ne pas continuer, il peut s'en souci prendre le titre phare. Quant à Jerome Opena et à Pepe Larraz (malgré son parachutage), ils font tout péter. Alors, ok à 25$, je l'aurais eu mal au fondement pour un arc mais comme je l'ai précommandé longtemps à l'avance (pour le combo Remender/Opena) pour 17 euros, ça passe mieux. Je lui donne un bon B-.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Et j'ai pensé à toi quand je l'ai reçu : I Told You So!
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De mon côté, alors que je l'avais depuis un bon moment, j'ai enfin pris le temps de lire Nexus Omnibus volume 4 :
Bon, il m'a fallu quelques épisodes pour me replonger dans ce tome aussi foisonnant que les précédents, mais une fois qu'on a retrouvé ses repères, c'est le grand 8 ! Visuellement, c'est le plus beau des quatre volumes : Steve Rude signe 9 épisodes (dont le #50, qui fait plus de 40 pages, et qu'il encre lui-même), et Paul Smith fait le reste (5 épisodes donc : comme fill-in de luxe, on ne trouve guère mieux). Les épisodes 40-41 qui ouvrent l'album sont extraordinaires, Rude s'y essayait à un style très épuré (inspiré de ses échanges musclés avec le Maître Alex Toth, qui ne le ménagea pas quand le "Dude" lui demanda de juger ses pages de "Jonny Quest"). Mais tout le reste est d'un niveau ahurissant, avec des compositions incroyables, un trait splendide, des décors incroyables. Smith est également un bonheur pour les yeux, d'une élégance folle : quelle frustration qu'il ne dessine pratiquement plus (même s'il poste régulièrement sur son blog de superbes pin-ups). Mike Baron boucle ici l'intrigue autour de Gravity Well, ramène ce dingo de Badger dans la partie, orchestre des batailles jubilatoires et d'une ampleur vraiment cosmique (et tout ça, sans prêchi-prêcha - Hickman, prends-en de la graine !). Le subplot avec les filles du général Loomis est développé admirablement. Bon, malheureusement, j'hésite un peu à continuer car le volume 5 ne compte que 6 épisodes dessinés par Rude et le volume 6 plus un seul. Même si ces Omnibus ne sont pas chers et bien garnis (400 pages par album), ça m'ennuie un peu car sans le "Dude", la fête est moins folle, la série y perd beaucoup. Mais si vous voulez investir dans du solide, procurez-vous déjà ces 4 premiers volumes, vous ne le regrettez pas ! (Merci spécial à Doop, sans qui je n'aurai jamais acheté cette série et qui me l'a faite connaître dans une de ses critiques) |
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Je viens tout juste de finir Xombi de John Rozum, dessiné par Frazer Irving
C’est essentiellement pour ce dernier que j’ai acheté ce tpb, étant fan de ce qu’il fait. Virgule m’avait conseillé cette lecture, et je n’ai pas été déçu. Ce comics regroupe les 6 numéros de la mini de 2011 ainsi qu’un one shot. Cette mini, “The Ninth Stronghold”, est très cool à lire. J’ai bien aimé l’histoire qui démarre plutôt sur les chapeaux de roues, avec une présentation des différents protagonistes et pas mal d’action. Cette mise en bouche m’a plutôt surpris d’ailleurs, puisqu’au bout des deux premiers numéros assez denses, l’auteur réussit à surprendre le lecteur pour aller sur le plot principal qui mélange un classique combat contre un salopard et une réflexion sur le changement qui s’opère chez le héros. David Kim a été infecté par un virus nanotechnologique qui lui permet de se régénérer, ce qui le rend ainsi immortel. Comment vivre dans un monde qui change et qui subit les effets du temps quand on est immortel, et donc témoin impuissant? Mais Xombi est avant tout une histoire d’action avec une équipe bien barrée regroupant des super nonnes, un rabin mystique, etc... Il y a une ambiance assez fraîche, qui n’est pas sans me rappeler Tarantino, que j’imaginerai bien adapter Xombi sous forme de pseudo nanar avec une galerie de personnages tous plus barriolés les uns que les autres. Bref, j’ai bien aimé Xombi, et j’irai probablement jeter un oeil à la série originale de 1994. |
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Je viens de finir le kiosque 15 de Marvel Knights et si les THUNDERBOLTS n'auront pas été à mon goût, DAREDEVIL par WAID aura été un pur régal, sublimé par de superbes dessins.
Vivement que je choppe les deux HS pour avoir la suite. |
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J'ai pu enfin lire 1602 de Neal Gaiman.
J'aime beaucoup cette version alternative des nombreux héros, l'ambiance renaissance est très présente et l'histoire est très agréable à lire. Il y a un grand respect pour les personnages, ils sont là pour servir l'histoire et pas juste pour faire des cameo (à part Peter... je n'ai pas compris l'intérêt de l'utiliser comme ça...), et il n'y a pas de massacre inutile sous prétexte que c'est un univers alternatif. Par contre, le dernier épisode part pas mal en sucette en tenant de raccrocher tout ça à l'univers 616, c'est une conclusion vraiment très spéciale... Est-ce que les autres histoires de cet univers valent le coup, ou bien c'est assez dispensable ?
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
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Je viens de terminer Uncanny X-Force, the complete collection vol.2 de Rick Remender.
Ce volume regroupe les n°19.1 à 35, soit les arcs Otherworld et Final Execution. Que dire, si ce n’est que la qualité scénaristique est toujours au rendez-vous. J’ai par contre eu énormément de mal à accrocher à Otherwold, à cause du dessin de Greg Tocchini, vraiment pas terrible. J’ai préféré Final Execution, qui vient conclure le travail de Remender sur cette série. Étant un grand fan des séries X période Claremont, je dois avouer que j’ai vraiment apprécié Uncanny X-Force et son côté badass. Je classe la série aux côtés des New X-Men de Morrison et des Astonishing X-Men de Whedon, du bon titre X qui captive. Prochaine lecture : Hellblazer vol.3 The Fear Machine. |
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Toujours avide de nouveautés, je me suis jeté sur Tomorrow Knights, mini-série signée Roy Richardson et Rod Whigham, publiée en 1990 et se projetant dans le lointain avenir de 2012.
Dans l'intervalle, le monde a échappé de peu à une guerre atomique après la destruction de Washington. Les gouvernements, affaiblis, ont perdu leur influence au profit des corporations qui emploient des forces armées en exosquelettes. Les Tomorrow Knights sont une bande de mercenaires internationaux menés par un ancien agent de la CIA et comprenant également une ex-espionne française, son frère cloné dès qu'il meurt en mission, une cyborg capable de prendre le contrôle de machines, un hacker, etc. (à noter : l'histoire aurait été adaptée en RPG), tout ce beau monde aux ordres du Président US. Meilleure qu'on pourrait le penser, cette série fait la part belle aux personnages, hantés par leur passé ou condamnés à court ou moyen terme (le personnage qui passe de clone en clone voit sa mémoire partir un peu plus à chaque résurrection). Au final, une série peu originale mais sympathique Dernière modification par JB ; 07/04/2015 à 16h37. Motif: Ajout des crédits |
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Lectures en vitesse, toujours sur des équipes bizarres (que dire, j'aime bien le principe) :
Lazarus 5 (Tony harris, Dan Jolley, Ray Snyder / Dusty Abell / Jim Royal), où un prêtre a échangé le Paradis contre le pouvoir de ressusciter des hommes pour combattre des horreurs Lovecraftiennes, dont un légiste perdant coup sur coup son job, sa fille et sa propre vie, un manchot sacrifié enfant par sa mère et très littéralement hantés par les tomes interdits qu'il a lu, un diacre passé sur la chaise électrique pour avoir découpé à coup de hache sa femme, sa fille et sa congrégation (ils étaient possédés) et un homme difforme armé de la main d'un démon. Chacun des 5 numéros de cette mini-série s'intéresse à l'un des personnages et met en parallèle son histoire personnelle et le fil narratif (l'arrivée imminente d'un Grand Ancien) Plus délirant, Hero Hotline (Bob Rozakis / Stephen DeStefano / Kurt Schaffenberger), série de 1989 mettant en scène des héros à louer. Un adepte du Gingold qui se voit régulièrement assigné les chats coincé dans les arbres, le Monsieur Muscle de service judicieusement appelé "Mister Muscle", un homme à la vision télescopique et aux rayons X qui admire régulièrement la paire de poumons de sa pulpeuse fiancée chanteuse de Country, un autre accompagné de son frère invisible et intangible (ou qui est un excellent ventriloque), un jeune lanceur de feu devant composer avec une mère envahissante, une mère de famille jonglant entre sa carrière et ses 3 gamins, etc. Ensemble, ils affrontent des avocats véreux, des terroristes prenant en otage un bus armés de fausses grenades, des faux martiens, une bombe cachée dans un simulacre de héros de la second guerre mondiale figé dans la glace avant de découvrir leur machiavélique némésis : Calculator (avant qu'il ne devienne un anti-Oracle) Ambiance sitcom ici : le graphisme et l'écriture font la part belle au slapstick et aux running gags sans devenir énervant. Dernière modification par JB ; 08/04/2015 à 12h44. |
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J'ai enfin lu, enfin dévoré le Captain britain Deluxe chez Panini par Alan Mooore et Alan Davis (que j'avais depuis des années dans un carton).
Du comic de haute volée! Quel plaisir de voir d'où viennent certaines références d'Excalibur, série que j'adorais dans Titans. Ca me donnerait presque envie de lire la suite. Elle existe en tpb? Il faut dire que Meggan est juste aperçue et elle a l'air moins nunuche (pardon Meggan) et voir leur rencontre doit être assez intéressant.
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